Ce soutien proviendra plus précisément des fonds qu’amassera le Club Kiwanis à l’issue de son Tournoi amical de poker, qui aura lieu le mercredi 5 novembre prochain.



Placé sous la présidence d&#8217;honneur du Kiwanien Serge Duthé, l’événement est, on le devinera, d’une grande importance pour Richard Boily, membre du conseil d’administration de l’AEH depuis 2014 et président de celui-ci depuis 2016.



<h2>Du répit pour les parents</h2>



«&nbsp;Ce camp de jour de six semaines est destiné aux enfants handicapés qui ne sont pas acceptés dans les camps des municipalités, mais c’est aussi un camp fortement apprécié par leurs parents qui ont besoin d’un répit à un certain moment. Cet été, ce sont 11&nbsp;enfants qui en ont bénéficié&nbsp;», mentionne M. Boily, précisant que chaque enfant participant est associé à un intervenant, ce qui explique pourquoi l’AEH a besoin de plus ou moins 55&nbsp;000&nbsp;$ (5&nbsp;000&nbsp;$ par enfant) pour être en mesure de l’offrir chaque année.



«&nbsp;Nous recevons des subventions et les parents contribuent financièrement, mais cela ne couvre pas tous les frais. La somme manquante est comblée avec le Tournoi de poker amical du Club Kiwanis et notre souper bénéfice annuel du mois d’avril au restaurant L’Impressionniste&nbsp;», d’ajouter Richard Boily qui, aux membres du Club Kiwanis, expliquait son engagement de longue date avec l’AEH par le fait qu’il a toujours eu le bénévolat à cœur depuis ses années comme scout dans sa région natale, au Saguenay–Lac-Saint-Jean.



Cette année, c’est un montant de 25&nbsp;000&nbsp;$ que souhaite remettre à l’AEH le comité organisateur de cette 15e&nbsp;édition du Tournoi amical de poker. Cette somme s’ajoutera au quelque 125&nbsp;000&nbsp;$ que le Club Kiwanis a versé à l’AEH depuis la toute première édition de ce tournoi amical.



<h2>Renseignements additionnels et billets</h2>



L’événement rassemblera, de 17&nbsp;h à 22&nbsp;h, le 5&nbsp;novembre prochain, autour de 125&nbsp;à&nbsp;150&nbsp;personnes à la salle de billard Le Patriote (215, rue Saint-Laurent, local&nbsp;205, Saint-Eustache), commanditaire depuis le tout début. Ces participants, qu’ils soient expérimentés ou pas, pourront miser et bluffer dans le but de mettre la main sur d’intéressants prix, mais auront surtout l’occasion de s’amuser pour une bonne cause. Un buffet, commandité fièrement depuis la toute première édition par la Cabane à sucre Constantin, ouvrira la soirée.



Les billets pour prendre part à ce Tournoi amical de poker sont en vente dès maintenant au coût de 100&nbsp;$ par personne. Il est également possible pour les entreprises et commerces intéressés de s’associer à l’événement en optant pour une commandite.



Pour d’autres renseignements ou pour acheter des billets, il suffit de consulter la <a href="http://www.facebook.com/kiwanis.steustache" target="_blank" rel="noreferrer noopener">page Facebook</a>, d’appeler au 514 212-9387 ou de <a href="https://bit.ly/PokerKiwanis2025" target="_blank" rel="noreferrer noopener">cliquez ici</a>.

<h2>L’amour maternel dans l’assiette</h2>



Pour la maman à temps plein et directrice de formation en esthétique et de la création de contenu, Anne-Catherine considère que de participer à l’émission tombait sous le sens&nbsp;: « On fait à manger tout le temps. Je transmets l’amour dans mes assiettes à mes proches. C’est pour ça que je me suis inscrite à MasterChef. »



« J’étais tellement impressionnée en regardant les autres versions de l’émission. C’est mon agence de création de contenu qui m’a poussée à m’inscrire. C’est comme une montagne à gravir, si je réussis à faire ça, je vais vraiment être fière. »



« Tu penses que tu sais ce que c’est de cuisiner sous pression parce que tu écoutes une compétition de cuisine, mais [participer à cette émission] a été une grande école pour moi. Tu n’as pas le temps de douter, il faut foncer et faire confiance à son instinct parce que tu n’as pas le choix ! Ça m’a appris tellement de choses. C’est une grande étape clé qui m’a donné confiance pour bâtir mes autres projets culinaires et partager ma passion avec le public », partage Anne-Catherine.



Que pense-t-elle faire après la diffusion de l’émission&nbsp;: « Je suis en train de le découvrir. C’est une vague d’amour. J’ai hâte de voir la suite. Pour l’instant, c’est de l’inconnu. Ce n’est pas seulement une compétition de cuisine, c’est des souvenirs, de la créativité. On continue de développer des amitiés extraordinaires, c’était une très belle gang. »



Les tournages sont terminés depuis quelques semaines, mais le public découvre cette nouvelle cohorte depuis peu. « J’adore ce qu’ils montrent à la télé. C’est vrai, c’est beau. C’est comme une surprise parce qu’on n’a pas vu le montage. J’essaye de l’écouter en direct quand ça passe pour ne rien manquer. Tout le monde paraît super bien, tout le monde est beau. C’est juste de belles émotions pour le moment.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="683" height="455" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/10/mcqj5-20-edited.jpg" alt="" class="wp-image-98837" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/10/mcqj5-20-edited.jpg 683w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/10/mcqj5-20-edited-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/10/mcqj5-20-edited-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/10/mcqj5-20-edited-615x410.jpg 615w" sizes="(max-width: 683px) 100vw, 683px" /><figcaption>Photo Catherine Bilodeau La roseméroise Anne-Catherine Leclerc a beaucoup appris et gagné en confiance en participant à l&#8217;émission. </figcaption></figure>



<h2>Manger avec les yeux</h2>



De son côté, Valérie Heppel de Mirabel (Saint-Canut), étudiante en comptabilité et employée d’un restaurant à temps partiel, est l’une des plus jeunes de l’aventure Masterchef cette année. Pour elle, « on mange avec les yeux. Dès qu’un plat est attrayant, j’ai le goût de le manger. Il faut que ce soit réconfortant dès qu’on le voit. »



En plus de viser le titre de Comptable professionnel agréé (CPA), elle se dirige vers la fiscalité. Même si plusieurs personnes lui ont déjà suggéré de « faire quelque chose avec sa cuisine », elle ne souhaite pas ouvrir un restaurant ni écrire un livre de cuisine. Toutefois, son intérêt pour l’émission l’a vraiment motivé à se lancer dans l’aventure&nbsp;: « Même si, lorsque je la regardais avec ma famille et mes amis dans mon salon, j’avais souvent des idées sur la façon que je m’y serais prise pour faire tel ou tel plat, je me trouvais vraiment courageuse de m’inscrire à cette émission-là. »



Elle n’y allait pas pour gagner, elle pensait y aller seulement pour cuisiner pour les autres. Elle avait d’ailleurs déjà une expérience des plateaux de tournage puisqu’elle a fait de la figuration lorsqu’elle était plus jeune.



Même si elle a peur d’avoir un peu de commentaires sur son jeune âge, elle est très fière de partager la scène à 26&nbsp;ans avec les différentes générations des candidats. Même si plusieurs candidats partagent déjà leur passion en créant du contenu, elle choisit de se consacrer à sa formation. Pour elle, ses photos et vidéos de « bouffe » doivent rester un loisir, rien de plus.



À ceux qui pourraient partager sa passion pour la cuisine, elle suggère de regarder beaucoup de vidéos ! « Je m’éduque comme ça. Dès que je vois des repas sur le web, je vais le changer pour l’adapter. Je ne suis jamais de recette. Vis le moment. Tu as le goût de faire plaisir à quelqu’un avec tes plats, fais-le ! »



Masterchef Québec est diffusé à TVA les dimanches soirs à 20&nbsp;h&nbsp;30 et en semaine du lundi au mercredi à 19&nbsp;h&nbsp;30.

Deux passionnées de cuisine de la région à la télévision

Miser et bluffer pour une bonne cause avec le Club Kiwanis

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Christophe Godon (Initiative de journalisme local)

Benoit Bilodeau