En présence de quelques exposants et partenaires qui y sont associés, dont la Caisse Desjardins du lac des Deux-Montagnes et le parc national d’Oka, de même que de la députée provinciale de Mirabel, Sylvie D’Amours, le maire Pascal Quevillon a donné le coup d’envoi à cette neuvième édition du Marché public d’Oka qui se déroulera tous les dimanches à venir, de 10 h 30 à 16 h 30, jusqu’au 3 septembre prochain inclusivement.



<h2>« Un emplacement idyllique »</h2>



En plus de la grande variété de produits qui seront proposés sur place, celui-ci n’a pas manqué de souligner que le Marché public d’Oka bénéficie « d’un emplacement idyllique qui crée une ambiance conviviale et vibrante ». C’est en effet en bordure du lac des Deux Montagnes, tout près de l’église de l’Annonciation d’Oka et de la Traverse Oka-Hudson, que ce rendez-vous dominical sera donné.



<figure class="wp-block-image size-full"><img loading="lazy" width="775" height="476" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/06/mpo-carte-acces.jpg" alt="" class="wp-image-86183" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/06/mpo-carte-acces.jpg 775w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/06/mpo-carte-acces-327x201.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/06/mpo-carte-acces-96x59.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/06/mpo-carte-acces-768x472.jpg 768w" sizes="(max-width: 775px) 100vw, 775px" /><figcaption>C&#8217;est face à la mairie d&#8217;Oka, au 183, rue des Anges, que se déroulera le Marché public d&#8217;Oka.</figcaption></figure>



Outre les incontournables fruits et légumes de saison, les visiteurs pourront se procurer une grande variété de produits, qu’il s’agisse de champignons et de micropousses, en passant par les produits de l’érable et les boissons alcoolisées. Il y aura aussi des kiosques de prêts-à-manger offrant de la pizza préparée sur place, des beignets chauds, du café torréfié et même des douceurs glacées. Également, des artisans locaux seront du rendez-vous pour offrir bijoux, produits de tissage fait à la main ou savons.



Les organisateurs, avec en tête Tourisme Basses-Laurentides, n’ont évidemment pas oublié d’inclure des activités d’animation qui mettront en vedette, entre autres, le duo musical Garden Groove, l’accordéoniste Dominique Poirier ainsi que Récréoka qui sera de retour avec ses tams-tams!



<h2>Un premier marché antique</h2>



Une fois terminé, le Marché public d’Oka fera place, le dimanche 10&nbsp;septembre, au même endroit et aux mêmes heures, à la première édition du Marché antique d’Oka&nbsp;; une nouveauté qui s’inscrit en marge de la fermeture, l’an dernier, du célèbre Marché Finnegan qui était en activité depuis 50&nbsp;ans à Hudson.



« Ce marché antique sera un rendez-vous incontournable pour les amateurs d’antiquités, les chasseurs de trésors et les curieux avides de remonter le temps&nbsp;!&nbsp;», a précisé le maire Pascal Quevillon au sujet de cette nouvelle activité.



Pour plus d’informations, il est possible de communiquer avec Tourisme Basses-Laurentides au 450 491-4444, de consulter le <a href="https://www.municipalite.oka.qc.ca/mpo-2023/">https://www.municipalite.oka.qc.ca/mpo-2023/</a> ou de suivre la page <a href="https://www.facebook.com/MarchedOka/">www.facebook.com/MarchedOka/</a>.

La compagnie argue que le logement de 4 pièces et demi est habitable pour expliquer sa décision incompréhensible qui conduit à une situation absurde où le logement n’est pas habitable pour les perroquets, mais le serait pour la locataire.



« Mes assurances prétendent que je peux rester dans mon logement. Par conséquent, ils refusent de me dédommager. C&#8217;est inacceptable. Seriez-vous disposé à rester ici ? » demande Mme Turmel, à l&#8217;auteur de ces lignes, qui a répondu par la négative à la suite d’une visite des lieux.



En effet, l&#8217;hebdomadaire L&#8217;Éveil s&#8217;est rendu sur les lieux afin de constater l&#8217;ampleur des dégâts. Des murs ont été démolis, des plafonds sont en ruine, des planchers sont boursoufflés, la douche est impraticable, la toilette est endommagée, la salle de bain transformée en chantier de construction et des portes ont été enlevées. De plus, tous les meubles ont été entassés dans une seule pièce, ou déplacés dans la cuisine ou le salon, comme la laveuse qui est maintenant collée à la table à manger.



« Même l&#8217;entreprise experte en sinistre a recommandé de tout démolir, car ses employés ont jugé que la situation était trop dangereuse, avec une énorme bulle d&#8217;eau menaçant d’éclater à tout moment et de nous tomber sur la tête », ajoute celle qui n’en revient pas croyant être victime d’une mauvaise blague de la défunte émission « Surprise, sur prise ».



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<h2>28$ par jour pour se relocaliser</h2>



Ce dégât d&#8217;eau est survenu chez la voisine du haut de l’édifice à logement, le 5 mai dernier. Le 12 mai, Desjardins Assurances a envoyé un chèque de 240 $ à Mme Turmel, déduction faite des 300 $ de franchise, n’ayant pas encore à ce moment-là déterminé les coûts des dommages. Cependant, depuis le 29 mai, l&#8217;assurance refuse catégoriquement de verser un centime de plus, au motif que le logement est habitable.



« Je dois verser une indemnité à un ami qui m&#8217;héberge, car non je ne reste pas ici. Malheureusement, il ne pourra pas me garder longtemps. Je veux simplement pouvoir retourner dans mon logement, qui, contrairement à ce que prétend l&#8217;assurance, n&#8217;est pas habitable », assure sur un ton ferme, Valérie Turmel.



Ironiquement, les deux perroquets de Mme Turmel, inscrits sur le bail, ont été relogés dans un refuge, et la moitié des frais, soit 20 $ par jour par perroquet, sont pris en charge par l&#8217;assureur.



« Je dois comprendre que c&#8217;est dangereux pour mes perroquets de rester ici, mais pour moi, une femme, une humaine, ce ne l&#8217;est pas. C&#8217;est aberrant ! » s&#8217;exclame-t-elle, toujours aussi colérique.



<h2>Desjardins Assurances ne peut répondre au téléphone</h2>



Incapable de joindre un interlocuteur chez Desjardins Assurances, Valérie Turmel a tenté à maintes reprises de parler à quelqu&#8217;un au téléphone afin d&#8217;expliquer personnellement la situation, persuadée que l&#8217;assureur n&#8217;a tout simplement pas compris l&#8217;histoire ou qu’il a mélangé deux dossiers par inadvertance. Malheureusement, chaque tentative de contact s&#8217;est soldée par un échec.



« On me dit que je dois uniquement communiquer par courriel. « Il n&#8217;est pas possible de me joindre par téléphone », m&#8217;a répondu une agente par courriel », raconte Mme Turmel, désabusée.



Pour aggraver l&#8217;insulte, l&#8217;employée de Desjardins Assurances ajoute : « J&#8217;ai un nouveau téléphone et j&#8217;ai changé de poste. Je ne sais pas comment passer des appels », relate Mme Turmel, déconcertée, précisant que la personne responsable de son dossier est « souvent en vacances et demande de deux à trois jours ouvrables pour répondre à un simple courriel ».



Pourtant, Valérie Turmel n&#8217;est pas une locataire exigeante dans ses demandes. « Je veux simplement obtenir une indemnité journalière rétroactive de 28 $ à partir du 29 mai, ce qui couvrira les frais de mon logement, s&#8217;élevant à 840 $. Je ne pense pas exagérer », exprime-t-elle avec découragement.



Désemparée, elle a finalement déposé une plainte formelle. Un haut dirigeant de Desjardins Assurances l&#8217;a contactée pour réaffirmer que le logement était considéré comme habitable. Il lui a également conseillé de prendre son mal en patience, car les travaux de réparation ne pourront pas commencer avant trois ou quatre mois. Une réponse dénuée de bon sens selon Mme Turmel. « À quoi cela sert-il de payer près de 500 $ par an pour être assurée, si je suis confrontée à un tel service médiocre ? », s&#8217;interroge-t-elle, convaincue que d’autres assurés sont dans des situations semblables au Québec. « Je veux dénoncer pour éviter à d’autres personnes de vivre un tel calvaire ».



Desjardins Assurances a retourné nos appels demandant un délai pour répondre à notre demande d&#8217;entrevue. Ils devront fournir des explications concernant cette décision plus que douteuse, qui pousse une locataire dans une situation précaire et sans solution, alors même que ses perroquets ont, rappelons-le, trouvé refuge.&nbsp;

Des perroquets relocalisés, mais pas la propriétaire

Comme vous avez été en mesure de le lire dans nos précédentes éditions ainsi que dans cette présente édition, nos marchés publics et leurs exposants accueilleront à nouveau cet été les visiteurs désireux de se procurer des fruits et légumes frais, mais aussi des produits du terroir, d’artisanat et autres. Dans la région immédiate, ils seront présents les samedis, de 9 h à 13 h 30, du 1er juillet au 23 septembre, sur la rue Saint-Eustache, dans le Vieux-Saint-Eustache ; les dimanches, de 10 h 30 à 16 h 30, face à la mairie d’Oka (183, rue des Anges), du 2 juillet au 3 septembre ; ainsi que les dimanches, de 10 h à 16 h, dans le stationnement du centre culturel du Domaine-Vert Nord (17530, rue Jacques-Cartier, secteur du Domaine-Vert, à Mirabel), jusqu’au 17 septembre. Peu importe l’endroit où vous irez faire le plein de produits, sachez que vous allez contribuer de façon très concrète à l’achat local et à encourager les producteurs et artisans d’ici.



C’est sous le thème « Place à l’interprétation » que se dérouleront cette année les Journées des moulins réalisées par les propriétaires/gestionnaires de moulins en collaboration avec l’Association des moulins du Québec. Le moulin Légaré (232, rue Saint-Eustache, Saint-Eustache) y prendra évidemment part et offrira chaque jour, les 30 juin, 1er et 2 juillet, trois visites commentées et gratuites, soit à 10 h 15, 13 h et 15 h. Pour en savoir davantage : <a href="https://www.lesjourneesdesmoulins.com/les-moulins-du-qc32#JDM">www.lesjourneesdesmoulins.com/les-moulins-du-qc32 &#8211; JDM</a>.



Un dernier mot pour vous signaler que la présente chronique fera relâche pour la saison estivale et vous reviendra le mercredi 6 septembre prochain, au lendemain de la fête du Travail. D’ici là, j’aimerais souhaiter à tous nos lecteurs et nos annonceurs un bel été. Profitez-en pour découvrir notre belle région qui regorgent d’attraits touristiques, pour encourager, comme je l’écrivais précédemment, nos producteurs et artisans, et pour participer aux nombreuses activités qui seront organisées ici et là. Bref, profitez de ces prochaines semaines pour faire le plein de bon temps et faites-le, surtout, avec prudence sur les routes.



Sur ce, bon été et bonnes vacances, ici chez vous&nbsp;!

Le Marché public d’Oka est de retour pour une neuvième édition

« Un emplacement idyllique »

Un premier marché antique