Cet organisme régional soutient la cause des enfants handicapés, particulièrement la Maison des parents d’enfants handicapés des Laurentides qui offre à un prix abordable des camps de jour adaptés pendant la période estivale, d’une durée de six semaines. Ces camps, dont&nbsp;l’un se tient à Deux-Montagnes, sont destinés à des jeunes handicapés ayant des besoins très importants qui ne leur permettent pas d’être admis dans les camps de jour offerts par les municipalités de la région.



Cette 13e&nbsp;édition du Tournoi amical de poker se déroulera à nouveau à la Salle de billard Le Patriote, située au 215, rue Saint-Laurent (local&nbsp;205), à Saint-Eustache, où 150&nbsp;amateurs de cartes, qu’ils soient expérimentés ou non, sont attendus à partir de 17&nbsp;h pour une soirée durant laquelle générosité, plaisir, bouchées et prix offerts par les commanditaires seront au rendez-vous.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="640" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/10/bb-kiwanis-poker-2023_02-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-87321" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/10/bb-kiwanis-poker-2023_02-960x640.jpg 960w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/10/bb-kiwanis-poker-2023_02-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/10/bb-kiwanis-poker-2023_02-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/10/bb-kiwanis-poker-2023_02-768x512.jpg 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/10/bb-kiwanis-poker-2023_02-615x410.jpg 615w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/10/bb-kiwanis-poker-2023_02.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Photo Benoît Bilodeau – Roger Hamel, membre kiwanien et l&#8217;un des principaux commanditaires de l&#8217;événement, en compagnie de Stéphane Messier. nouveau président du Club Kiwanis Saint-Eustache.</figcaption></figure>



L’an dernier, c’est une somme de 20&nbsp;000&nbsp;$ qui avait été amassée à l’issue de l’événement qui était alors de retour après deux ans d’absence en raison de la pandémie de la COVID-19 qui avait forcé, on rappelle encore, les organismes de la région, tel le Club Kiwanis Saint-Eustache, à annuler plusieurs de leurs activités de financement. Les organisateurs ont évidemment bon espoir de recueillir à nouveau cette même somme.



«&nbsp;La vente de billets progresse, mais nous ne relâchons pas nos efforts ! Un grand merci à ceux qui ont déjà réservé leurs places. Chaque billet vendu contribue à notre mission de soutien à la communauté&nbsp;», ont fait savoir les membres du comité organisateur à l’occasion d’un point de presse pour annoncer la tenue de ce Tournoi amical de poker. À ce moment, 78&nbsp;billets avaient déjà trouvé preneurs.



<h2>Billets</h2>



Il est possible de se procurer un ou plusieurs billets dès maintenant auprès des membres du Club Kiwanis Saint-Eustache. Ils sont en vente au coût de 95&nbsp;$ par personne. Également, les entreprises et commerces intéressés peuvent s’associer à l’événement à titre de commanditaires.



Pour d’autres renseignements ou pour acheter des billets, il suffit de joindre Nichola Barbe au 514&nbsp;212-9387, de suivre la page <a href="http://www.facebook.com/kiwanis.steustache">www.facebook.com/kiwanis.steustache</a> ou de cliquer de directement sur le lien suivant&nbsp;: <a href="https://bit.ly/PokerKiwanis?fbclid=IwAR1vg43iRICfaJWqqkVCy95eF5DeSAKw71XtJQk0HMGjLExc7sZOrUnKR30" target="_blank" rel="noreferrer noopener">bit.ly/PokerKiwanis</a>.

Et ceux-ci ont bien l’intention de poursuivre le travail de leurs prédécesseurs et cette mission qui est, rappelons-le, de soutenir les organismes et les établissements scolaires qui viennent en aide aux enfants issus de familles à faible revenu de la MRC de Deux-Montagnes.



Ces deux arrivées coïncident avec la décision de René Goyer de quitter, en mai dernier, le poste de président de la Fondation Émile-Z.-Laviolette qu’il occupait depuis six ans pour mieux se consacrer à sa fonction de président de la Fondation Sercan qu’il occupe depuis huit-neuf ans.



Membre du conseil d’administration depuis octobre 2010, Mme Bélisle a alors accepté de prendre la relève. Elle pourra cependant toujours compter sur l’appui de M. Goyer qui a promis de n’être pas «&nbsp;bien loin&nbsp;» en cas de besoin.



Aussi, presque au même moment, le directeur général Pierre Legault quittait son poste pour rejoindre la Fondation Sercan où il agit depuis à titre de responsable du financement. Pour le remplacer, on a choisi de faire appel à Erik Johnson en raison, entre autres, de sa «&nbsp;solide compréhension des projets et des défis auxquels [la Fondation] est confrontée. »



<h2>La « satisfaction du devoir accompli&nbsp;»</h2>



Le flambeau ayant été passé avec succès, M. Goyer, rencontré fin septembre dans les locaux de la Fondation Émile-Z.-Laviolette avec Marie-France Bélisle et Erik Johnson, dit quitter son poste de président avec la « satisfaction du devoir accompli&nbsp;» et avoir donné «&nbsp;le meilleur de lui-même&nbsp;» au cours de ces six années.



Celui-ci se montre particulièrement fier de l’instauration, pendant sa présidence, du programme d’aide aux devoirs qui est assuré cette année dans deux écoles primaires, comparativement à trois l’an dernier; une école s’étant désistée par manque de personnel. «&nbsp;C’est un succès; ça fonctionne très bien et ça produit les résultats escomptés. Les notes des enfants qui en ont bénéficié ont augmenté, selon ce qui nous a été rapporté&nbsp;», se réjouit-il.



Aussi, pendant cette même présidence, une nouvelle formule de financement appelée « Parrainer un enfant » a été mise de l’avant en janvier dernier. Elle permet aux donateurs qui se rendent sur le <a href="http://www.emile-z-laviolette.com/parrainer-enfant/">www.emile-z-laviolette.com/parrainer-enfant/</a> de soutenir concrètement, et pour une année scolaire, une des facettes de la mission de la Fondation (effets scolaires&nbsp;: 150&nbsp;$; aide aux devoirs&nbsp;: 250&nbsp;$; repas et collations : 600&nbsp;$) ou les trois volets (1&nbsp;000&nbsp;$). Cette nouvelle source de financement permettra de combler une partie des 300&nbsp;000&nbsp;$ dont a besoin chaque année la Fondation pour opérer.



Pour M. Goyer, mais aussi pour Mme Bélisle et M. Johnson, ce programme a pour avantage de permettre d’amasser des fonds qui n’entraînent aucune dépense et d’illustrer véritablement ce que l’aide coûte par enfant.



«&nbsp;Quand tu organises des activités de financement, il faut prévoir tous les frais qui y sont associés. Avec ‘’Parrainer un enfant’’, c’est de l’argent qui va directement aux jeunes démunis que nous soutenons&nbsp;», explique Marie-France Bélisle. À ce jour, une trentaine de donateurs ont souscrit à ce nouveau programme.



Malgré toute l’aide qu’elle apporte, la Fondation Émile-Z.-Laviolette n’a pas la notoriété voulue du grand public, regrette, par ailleurs, M. Goyer. «&nbsp;À part des utilisateurs, les gens la connaissent peu. Et quand tu connais peu une fondation, tu es peu porté à la soutenir lors d’une activité de financement, à donner&nbsp;», mentionne-t-il sous l’œil approbateur des deux nouveaux venus qui, eux, se donnent justement le défi de « faire connaître&nbsp;» davantage la Fondation Émile-Z.-Laviolette.



<h2>Spectacle-bénéfice de Martin Fontaine</h2>



Et justement, l’occasion de mieux connaître cette fondation et de la soutenir financièrement s’offre actuellement aux gens de la MRC de Deux-Montagnes puisqu’il y aura présentation, le dimanche 26&nbsp;novembre prochain, à compter de 20&nbsp;h, d’un spectacle-bénéfice qui mettra en vedette Martin Fontaine. Celui-ci, dont il s’agira d’une rare visite dans les Basses-Laurentides, présentera un spectacle intitulé «&nbsp;Party Time&nbsp;» mettant à l’honneur de grands succès des années 1950, 1960 et 1970.



Les billets pour assister à ce spectacle, qui aura lieu à la salle Le Zénith, à Saint-Eustache, sont d’ailleurs déjà en vente au coût de 60&nbsp;$ ou 80&nbsp;$ (parterre) sur le site de la Fondation Émile-Z.-Laviolette, à l’adresse <a href="http://www.emile-z-laviolette.com/evenements/">www.emile-z-laviolette.com/evenements/</a>.

Fondation Émile-Z.-Laviolette: Des changements à la présidence et à la direction générale

« Nous appelons les décideurs politiques à reconsidérer le projet de loi 15 (PL15). Il est de leur responsabilité de protéger les intérêts des citoyens et de préserver le bien commun. Ensemble, nous pouvons bâtir une société plus équitable, plus démocratique et plus résiliente », explique Réjean Leclerc, président de la Fédération de la Santé et des Services sociaux – CSD (FSSS-CSN).



Des travailleurs de la santé de la région des Laurentides, membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs en santé et services sociaux – CSN (STTLSSS-CSN), se sont réunis récemment pour exprimer leurs préoccupations à propos du PL15 devant le bureau du député de Saint-Jérôme et adjoint parlementaire du ministre de la Santé, Youri Chassin.



Les inquiétudes ne se limitent pas aux travailleurs de la santé des Laurentides. Depuis l&#8217;introduction du projet de loi, de nombreuses voix dans la société civile se sont élevées pour décrier PL15.



« Il est essentiel que la société québécoise reconnaisse l’importance des services publics dans la vie quotidienne de chacun et de chacune. Ils garantissent l’accès égalitaire, universel et surtout gratuit à des services essentiels tels que la santé et l’éducation. Leur privatisation menace de créer des inégalités croissantes, un Québec où seuls ceux qui ont les moyens financiers pourront en bénéficier pleinement. C’est inacceptable dans une société juste et égalitaire », souligne Dominic Presseault, président du STTLSSS-CSN.



Plus de pouvoir au gouvernement



Le projet de loi prévoit également une centralisation excessive des pouvoirs au sein de la nouvelle agence Santé Québec, ce qui pourrait entraîner un manque de transparence, une absence de reddition de comptes et une diminution de la participation citoyenne.



Le syndicat, qui regroupe quelque 8400 membres dans la région, souligne que les citoyens risquent d’être privés dans leur capacité à prendre des décisions qui les concernent directement. « Au final, cela nuit à la démocratie et à la responsabilité publique ».



Les médecins aussi sont inquiets&nbsp;



Les médecins aussi s’interrogent sur le pourquoi du PL15. « On ne se remet pas encore de la désorganisation profonde du réseau causée par la réforme Barrette, que déjà Christian Dubé propose une nouvelle mouture comptable centralisatrice, qui ne répond en rien aux besoins actuels des soignants et des patients. Ce n’est plus la qualité de la relation clinique entre le prestataire et le patient qui sera fondamentale, mais plutôt la quantité de contacts par jour, et c’est grave. La santé n’est pas un produit commercial à acheter au prix le plus économiquement viable, mais un droit humain pour toute personne d’accéder gratuitement à tous les soins médicaux nécessaires », souligne le Dr Arnold Aberman, porte-parole de la Coalition Riposte au Plan santé.&nbsp;



« Non seulement le gouvernement tente de nous imposer des changements titanesques n’allant pas dans le sens d’une meilleure réalisation du droit à la santé et ouvrant grand la porte à la privatisation, mais qui plus est, il tente de le faire sans débat public qui soit à la hauteur de l’ampleur de son plan. Encore une fois, le gouvernement tente d’escamoter le débat démocratique essentiel, et auquel nous sommes en droit de nous attendre », déplore Laurence Guénette, porte-parole de la Ligue des droits et libertés.



Les travailleurs de la santé et de nombreux citoyens du Québec demandent donc que le gouvernement reconsidère la réforme PL15 et veille à préserver le caractère public et démocratique de notre système de santé.



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Club Kiwanis : Une 13e édition du Tournoi amical de poker

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