André a toujours entretenu une excellente relation avec notre père Jean-Claude, avec qui il a débuté cette belle aventure en 1969 en cofondant La Concorde. Déjà reconnu dans la région à cette époque, André a contribué à la notoriété de l’entreprise au cours des 50 années qui ont suivi, en y ajoutant cette touche de crédibilité, essentielle à la pérennité d’un journal tel le nôtre. Complice de la première heure, André est demeuré fidèle à l’entreprise pendant plus de 50 ans et nous l’en remercions du fond du cœur. Ton départ laissera un énorme vide qu’il sera difficile de combler. Bonne retraite, mon cher!
Claude, Serge et Michel Langlois
On dit que l’on peut percevoir la véritable nature d’un individu en jouant au golf avec lui. Ce que j’ai pu observer chez André dans ces occasions, c’est son application, sa droiture, sa modestie quand il réussissait un bon coup, et surtout, sa manière toute personnelle de trouver le bon mot pour encourager ses compagnons. Tel est l’homme au golf, tel est l’homme dans la vie; un vrai gentleman. La réussite de sa vie professionnelle a reposé sur ces qualités, et je suis certain qu’elles lui permettront à présent de vivre une retraite tout aussi réussie.
Pierre Charron, maire de Saint-Eustache
Du temps que j’étais journaliste sportif, au contact de différentes personnes, certains individus ne se gênaient pas pour critiquer le travail de certains de mes confrères journalistes. Aussi impressionnant que cela puisse paraître, il n’y a jamais eu une personne qui s’est plainte à moi du travail d’André Roy. C’est vous dire à quel point cet homme, de par son professionnalisme, sa courtoisie, son empathie et son ouverture aux autres, s’est établi comme une figure marquante du paysage sportif de la région des Deux-Montagnes, et ce, pendant pas moins d’un demi-siècle. Bref, s’il y a bien un homme et un travailleur qui peut partir avec la satisfaction du devoir accompli, c’est bien André Roy.
Stéphane Proulx, ancien collègue de travail
Jamais je n’aurais imaginé qu’un simple texte paru dans un hebdo allait dicter ma vie professionnelle. C’est pourtant ce qui s’est produit au début des années 1970 quand on m’a accordé une première chance de signer un article sur l’actualité sportive. Ce fut l’élément déclencheur d’une carrière qui m’a comblé à plusieurs égards depuis. C’est André qui m’a permis d’entrer modestement à l’époque dans le domaine des communications et du journalisme sportif. Je lui en suis reconnaissant et j’espère qu’il profitera d’une retraite pleinement méritée. Après avoir passé tant de temps à continuellement parler des autres avec le plus grand bien, il est de mise qu’il savoure ces moments en pensant enfin à lui. Mes meilleurs vœux.
Michel Lacroix, «voix» des Canadiens de Montréal et animateur sportif pour RDS
Sachant combien déchirante a dû être cette décision d’«accrocher ta plume» (parce que je soupçonne que tu étais encore aujourd’hui plus à l’aise avec elle qu’avec ton clavier), je n’en rajouterai pas. Pour t’avoir maintes fois vanté les délices de la retraite (je sais, tu ne me croyais pas tant que ça…), j’ai la certitude que tu vas en profiter pleinement et finalement me concéder que j’avais raison. Peu de gens peuvent se vanter d’une carrière de plus de 50 ans. Je te souhaite une longue, heureuse et sportive retraite! Profites-en!
Richard Marr, ami et ancien collègue de travail
J’ai toujours lu et regardé les photos d’André avec beaucoup d’enthousiasme! En plus d’être un excellent journaliste, c’est un homme incroyable. Je me sens privilégié d’avoir pu le côtoyer durant toutes ces années. Santé et longue vie à cet homme d’exception!
Marc Lamarre, conseiller municipal à la Ville de Saint-Eustache
Cher André. Que cette retraite méritée t’apporte du temps de grande valeur avec ceux que tu aimes! Un excellent repas ensemble s’impose! Tu as mes coordonnées. Merci pour ton amitié, André. Excellente continuation et à très bientôt.
Fernand Biard, administrateur à la Fondation Sercan
Cher André. Déjà la retraite, que le temps passe vite. Je me souviens de tes débuts. Je jouais alors midget au hockey et on attendait avec impatience tes reportages pour voir si tu parlerais de nous. Merci pour ta disponibilité et ta coopération exemplaires pour la couverture de tous les événements dont je me suis occupé, qui nous permettaient d’en faire un succès et une réussite. On voyait bien que, pour toi, ce n’était pas un travail, tu le faisais tellement avec cœur, amabilité, passion et rectitude. Et tu avais le don de mettre tout le monde à l’aise. Pour tous les bons moments qu’on a vécus ensemble et tous ceux qui restent à venir, merci, mon chum.
Paul Labelle, ami de longue date
C’est une grande et belle carrière qui se termine pour André Roy, qui a permis à tant d’athlètes de la région de se faire connaître. Pour ma part, j’ai toujours su que je pouvais lui faire confiance. Lorsque je lui disais «off the record» , il respectait toujours ma volonté tout en gardant un intérêt sincère pour tout ce que je lui racontais, peu importe si c’était publié ou non. D’une grande intégrité, il a su faire vivre à travers les pages du journal L’Éveil les plus grands moments des athlètes de chez nous. J’en garde une boîte pleine de souvenirs impérissables. C’est une page complète de l’histoire du journal qui est tournée avec l’annonce de son départ. Bonne retraite, cher André, et merci!
Jacinthe Taillon, journaliste pour Ici Radio-Canada et médaillée olympique
André Roy et moi avons une amitié qui date de plus de 40 ans. Nous avons aussi la même passion pour le golf. Je lui souhaite beaucoup de santé et plusieurs autres «birdies» avec ses amis des Basses-Laurentides.
André Rousseau, journaliste sportif
Je connais André depuis 1966, il n’a pas changé d’un iota… Toujours intentionné et attentif aux besoins des gens. Un ami sur lequel on peut compter. À mon arrivée au Club Laval-sur-le-Lac, je l’ai rencontré à son salon de barbier à Laval-Ouest. J’ai été reçu comme un de ses vieux amis. Imaginez, il était encore très jeune… Hum! Hum! À la suite de cette première coupe de cheveux, André m’avait interviewé. Il était alors pigiste au journal La Victoire. Il m’avait avoué que c’était sa première entrevue avec un «professionnel» . 54 années ont passé, et je sais qu’André Roy ne changera jamais… et ça, je le sais. Je lui lève mon chapeau! Une très belle carrière!
André Maltais, ami de longue date et professionnel de golf
Le journal L’Éveil perd hélas son meilleur ambassadeur. Il savait plaire à tous et il est probablement l’homme le plus connu à Saint-Eustache et la région. Il pourrait certainement se présenter à titre indépendant et remporter facilement un titre de maire ou de député. J’ai été grandement honoré de travailler avec André. Bonne retraite!
Martin Leclerc, ancien collègue de travail
Mon cher André. Après s’être côtoyés pendant 47 ans, une belle complicité s’est développée entre nous, ce que j’apprécie grandement. Il me fait plaisir de te souhaiter une belle retraite remplie de santé, de bonheur et de sérénité.
Carole Côté, ancienne collègue de travail
Cher André. Tu auras été le premier journaliste à souligner les exploits sportifs de mes petits. Il y a eu tant de photos d’équipes que j’allais te porter au journal les lundis matin. C’était une telle fierté pour les enfants, les miens et leurs amis de pouvoir se voir dans le journal. Merci pour ta bienveillance auprès des sportifs de notre région. Je me fais la porte-parole de ma famille en te souhaitant une bonne retraite. Que cette nouvelle étape te permette de vivre pleinement tout ce qui te tient à cœur. Profite bien des prochaines années et de toutes les activités qui t’attendent. Tendresse.
Julie Thibaudeau, au nom de la famille Kingsbury (Robert, Maxime, Mikaël et Audrey)
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