jeudi 14 août, 2025
Les Trois Accords – Ingrid St-Pierre

Les Trois Accords: Joie d’être gai –

 

Les Trois Accords – Ingrid St-Pierre

Publié le 23/12/2015

Les Trois Accords: Joie d’être gai (La Tribu) – [www.lestroisaccords.com] – Alors que la nouvelle année 2016 se pointe déjà le bout du nez, que pourrait-on se souhaiter? Le groupe Les Trois Accords, lui, a déjà choisi: la joie d’être gai! C’est, en effet, le titre de leur cinquième album qui vient récemment de paraître, et c’est aussi la pièce-titre qui ouvre ce nouvel opus du groupe drummondvillois. Cette fois, Pierre-Luc Boisvert, Charles Dubreuil, Alexandre Parr et Simon Proulx nous font découvrir 10 nouvelles chansons originales, toutes signées Simon Proulx, qui ont la particularité, outre de contenir des textes toujours originaux, d’être portées par des arrangements musicaux qui, dès la première écoute, restent imprégnés dans nos mémoires. C’est déjà le cas avec La joie d’être gai, ce sera le cas avec St-Bruno (Nuit de la poésie III), Les dauphins et les licornes et ainsi de suite. Toujours imprévisible, toujours absurde, le groupe Les Trois Accords demeure cependant toujours aussi pertinent dans le paysage musical québécois après presque une vingtaine d’années de carrière. Quand on sait que ce n’est pas facile de manier l’absurde sur une longue durée, on peut dire que le groupe Les Trois Accords relève à nouveau, avec ce nouvel album, le défi avec brio. En spectacle à la salle Le Zénith, à Saint-Eustache, le samedi 27 février prochain.

Ingrid St-Pierre: Tokyo (La Tribu) – [www.ingridstpierre.com] – Considérée par certains comme une «magicienne des mots», comme une «amoureuse des mots», l’auteure-compositrice-interprète Ingrid St-Pierre nous propose déjà, mine de rien, un troisième album en carrière, un troisième depuis l’album Ma petite mam’zelle de chemin qui nous l’avait fait découvrir. En tout, 10 nouvelles pièces tout à fait intimistes et qui portent toutes la signature d’Ingrid St-Pierre, paroles et musique. Du nombre, mentionnons une pièce instrumentale, Lucie, composée en l’honneur de son grand-père décédé il y a quelques mois. Cet album, c’est surtout l’occasion de renouer avec cette voix si délicate et céleste que possède la chanteuse et qui nous rappelle qu’il ne faut pas obligatoirement pousser au maximum une voix pour en apprécier toute la beauté, toute la finesse. Voilà, c’est dit, et ça fait du bien! En spectacle au Centre d’art La petite église, à Saint-Eustache, le vendredi 29 janvier prochain.

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Ludovico Einaudi: [elements] (Ponderosa)

Angélique Ionatos: Reste la lumière – ΜΕΝΕΙ ΤΟ ΦΩΣ (Ici d’ailleurs…)