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L’auteure jeunesse Isabelle Larouche au Salon du livre de Montréal

Photo : courtoisie –

L’auteure jeunesse Isabelle Larouche et son plus récent roman, « Yuka et Qimmiq », publié par la maison d’édition Québec Amérique.

L’auteure jeunesse Isabelle Larouche au Salon du livre de Montréal

Publié le 19/11/2025

Comme elle aime le faire depuis ses tout débuts, en 2001, l’auteure jeunesse Isabelle Larouche ira à nouveau à la rencontre de ses lecteurs, elle qui participe à la 48e édition du Salon du livre de Montréal qui débute aujourd’hui, ce mercredi 19 novembre, au Centre des congrès de Montréal, pour se poursuivre jusqu’au dimanche 23 novembre.

Elle y sera pour son plus récent roman jeunesse intitulé « Yuka et Qimmiq » (Québec Amérique), sorti en septembre dernier, mais aussi pour trois autres nouveautés parues en 2025 : « Entre les crocs des Torngat » (Les Z’aillées), « L’école des chiens » (Dominique et compagnie), mettant en vedette une troisième fois les chiens saucisses Mango et Fusain, et le collectif « Ma meilleure journée de vacances » (Soulières éditeur).

En outre, elle signera des dédicaces au kiosque de la maison d’édition du Phoenix qui a réédité, à la demande du public, ses romans « Le Grand Sault iroquois » et « Prophéties », parus respectivement en 2015 et 2017 et devenus depuis introuvables.

Elle participera aussi, ce jeudi 20 novembre, de 16 h à 19 h, au lancement collectif de nouvelles œuvres organisé par l’Association des écrivains du Québec pour la jeunesse (AÉQJ) qui se déroulera à la Librairie Bertrand (430, rue Saint-Pierre, Montréal), située non loin du Centre des congrès.

À cela s’ajoute une animation à l’Espace jeunesse Le Lait, ce jeudi matin, à 10 h 15, pour parler de sa nouveauté à la maison d’édition Les Z’ailées, « Entre les crocs des Torngat », un autre récit à se dérouler au Nunavik.

Pour la native de Chicoutimi, maintenant une fière ambassadrice de Saint-Eustache, participer à de tels événements fait partie de son « ADN » d’auteure. « C’est très important, parce qu’on incarne les livres qu’on écrit. Un livre, si l’auteur ne l’incarne pas, c’est-à-dire qu’il n’en parle pas, qu’il n’est pas physiquement dans les endroits pour rencontrer les lecteurs, ce livre aura une chance de passer plus inaperçu », souligne l’ancienne enseignante devenue auteure jeunesse à temps plein.

Un mot sur le roman « Yuka et Qimmiq »

Avec l’enthousiasme qu’on lui connaît, Isabelle Larouche parle avec une grande joie de son tout récent roman jeunesse, « Yuka et Qimmiq », son premier avec Québec Amérique. Celui-ci se déroule dans le village nordique de Kangiqsualujjuaq, dans le Nunavik, là où elle se rend fréquemment depuis une trentaine d’années et qu’elle aime mettre en scène dans plusieurs de ses ouvrages.

Les jeunes lecteurs (6 ans et +) feront connaissance avec Yuka, un jeune Inuk âgé de 8 ans, qui va tomber en amour avec l’un des bébés chiens nordiques qu’il a trouvés sous une maison. Il va l’adopter et entraîner Qimmiq à tirer un traîneau, tout en rêvant de participer, un jour, lorsqu’il sera plus grand, à la course de traîneaux à chiens Ivakkak, un événement sportif des plus populaires au Nunavik.

Pour connaître les dates et heures des séances de signature de l’auteure eustachoise au Salon du livre de Montréal, cliquez ICI.

Pour en savoir davantage sur Isabelle Larouche, on visite son site web ou sa page Facebook.

NOTE : Un texte plus complet est à venir dans l’édition papier de L’ÉVEIL du mercredi 26 novembre prochain.