<p>Cette gratuité du transport collectif est offerte dans une volonté commune de réduire la circulation routière, le nombre de voitures stationnées et de rendre les festivités facilement accessibles à tous, jeunes et moins jeunes, affirme le communiqué.</p>
<p>Les festivaliers souhaitant se prévaloir de la gratuité n’ont qu’à se procurer le laissez-passer disponible sur le site Web [www.festivaldelagalette.com], sous l’onglet &lt;<em>Info-Festival</em>&gt;, en cliquant sur le bouton «Laissez-passer 15 et 16 septembre 2018», et l’imprimer pour le présenter au chauffeur, ou encore, via leur appareil mobile.</p>
<p>Le laissez-passer est valide pour une personne ou une famille et permet des déplacements illimités les 15 et 16 septembre sur les lignes qui transigent par Saint-Eustache, selon l’horaire en vigueur des autobus Exo. Ce laissez-passer doit être présenté au chauffeur à chaque embarquement.</p>
<p>Il est important de noter que les autobus disposent d&#8217;un nombre de places limité et que les chauffeurs ne sont pas autorisés à embarquer plus de personnes qu’il n’y a de places assises dans l’autobus, selon le gabarit du véhicule.</p>
<p>Enfin, voici la liste des lignes d’autobus qui transigent par le Terminus Saint-Eustache, situé à l’intersection de la rue Dorion et du boulevard Arthur-Sauvé: no 8: Saint-Eustache–Laval (métro Montmorency); no 80: Saint-Eustache–Pointe-Calumet; no 81: Saint-Eustache–Pointe-Calumet, no 88: Saint-Eustache–Sainte-Thérèse; no 89: Saint-Eustache–secteur rue Dubois; no 90: Saint-Eustache–secteur boulevard Arthur-Sauvé et boulevard Industriel; no 91: Saint-Eustache–secteur est (rue Saint-Laurent); no 92: Saint-Eustache–secteur centre; no 93: Saint-Eustache–Deux-Montagnes.</p>


<p>Selon celle qui était partie prenante du projet de loi 54 visant l’amélioration du statut juridique des animaux, l’approche utilisée pour sensibiliser la population à la cruauté animale relève du sensationnalisme et atteint négativement l’ensemble du milieu agricole.</p>
<p><em>«Ce n’est pas avec des campagnes comme celle-ci que nous ferons avancer le dossier du bien-être animal. Afin de conserver sa légitimité comme interlocutrice privilégiée dans le secteur du bien-être animal, la SPCA doit se raisonner et admettre que le ton de sa campagne était une erreur. On s’attend à ce que cet organisme soit constructif et travaille en partenariat avec le milieu pour améliorer les pratiques</em>», soutient-elle.</p>
<p>La députée fait valoir que la société québécoise discute plus que jamais des questions éthiques et environnementales reliées à l’élevage. Elle soutient que les éleveurs font des efforts notables et adaptent leurs installations pour atteindre cet objectif commun qu’est le bien-être animal.</p>
<p>Elle ajoute que les producteurs agricoles travaillent d’arrache-pied, dans un univers de plus en plus compétitif et où les marges bénéficiaires sont de plus en plus maigres, se lèvent tous les matins et mettent plus de 70 heures de travail par semaine afin de nourrir la population et lui permettre une qualité de vie acceptable. Du même souffle, elle mentionne qu’il est sans équivoque que certaines pratiques d’élevage doivent encore être améliorées, mais que ce n’est pas en traitant les producteurs ainsi qu&#8217;il sera possible d&#8217;y arriver.</p>


Cruauté animale: Sylvie D’Amours dénonce le ton de la campagne de la SPCA

<p>Pour une 20e année consécutive, l’été actuellement en cours sera l’occasion pour bon nombre de jeunes de Mirabel, âgés de 14 à 17 ans, d’amasser un peu d’argent en effectuant divers boulots par l’entremise des Coopératives jeunesse au travail (CJT), chapeautées par l’Association des maisons de jeunes de Mirabel dans les secteurs de Saint-Augustin, Saint-Canut et Saint-Janvier. </p>
<p>Ces jeunes sont, en effet, ainsi disponibles depuis le 28 juin dernier pour effectuer, et cela, à prix très compétitifs, plusieurs menus travaux, qu’il s’agisse d’entretien de piscine, d’entretien ménager, de gardiennage, de jardinage, de lavage de voiture, de peinture, de promenade d’animaux, de tonte de gazon et bien d’autres. </p>
<h3>Trente jeunes au travail cet été</h3>
<p>C’est à l’été 1998 que la toute première CJT a ouvert ses portes dans le secteur de Saint-Augustin. Puis, ont suivi, les deux années suivantes, celles du secteur de Saint-Janvier, en 1999, et du secteur de Sant-Canut, en l’an 2000. </p>
<p>Bon an, mal an, autour d’une quarantaine de jeunes y sont associés et voient, outre l’exécution des travaux proprement dite, au bon fonctionnement de leur coopérative, que ce soit aux niveaux du marketing, des ressources humaines, de la comptabilité, du service à la clientèle et ainsi de suite. Cet été, ils seront cette fois une trentaine au total à œuvrer pour les trois coopératives. </p>
<p>Dès l’ouverture de la première CJT, à l’été 1998, Annie Durette, qui fréquentait alors la Maison des jeunes de Saint-Augustin, se disait déjà confiante du succès qu’allait connaître éventuellement cette initiative. </p>
<p>«<i>Je me suis dit: enfin une opportunité pour les jeunes!</i>» se rappelle celle qui a, les 20 dernières années, été impliquée au sein de l’organisme communautaire. Celle-ci aime aussi à signaler que ce sont, depuis, plusieurs centaines d’adolescents qui ont eu l’occasion de vivre, souvent, une première expérience de travail, mais aussi de développer leur estime de soi et leurs compétences personnelles et sociales. </p>
<h3>Un 20 saison exceptionnelle</h3>
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<p>De son côté, Étienne Montreuil, coordonnateur des CJT, se dit d’avis que cette 20e saison sera tout simplement exceptionnelle. «<i>Nous avons procédé à l’achat de remorques que les jeunes pourront arrimer à leurs vélos et y placer la tondeuse et autres outils dont ils ont besoin pour effectuer leurs travaux. Il y en aura sept au total qui seront déployées et elles seront aux couleurs des CJT. Ça devrait faire beaucoup parler</i>» , de mentionner celui-ci. </p>
<p>Aussi, d’ajouter le coordonnateur, les jeunes ont même distribué fin juin, puis dans la première semaine du mois de juillet, des ballons gonflés jaunes fluo à chaque résidence des trois secteurs pour promouvoir leurs services.</p>
<p>Ces ballons ont remplacé les accroches-portes jusqu’alors utilisés pour promouvoir les services offerts par les jeunes coopérants. </p>
<h3>Des 5@7 pour amorcer la saison</h3>
<p>Cette 20e saison des CJT de Mirabel a donc débuté le jeudi 28 juin dernier, journée d’ouverture officielle. Pour l’occasion, les trois nouvelles cohortes de CJT avaient d’ailleurs invité les citoyens à venir les rencontrer lors d’un 5@7 avec hot-dogs, musique et bien d’autres surprises. Cette journée d’ouverture maintenat chose du passé, l’aventure se poursuivra maintenant jusqu’au vendredi 10 août prochain. </p>
<p>Mentionnons, enfin, que les trois CJT logent dans les maisons de jeunes des secteurs concernés: Saint-Augustin, au 8503, rue Saint-Jacques (tél.: 450 475-7277); Saint-Canut, au 9625, boulevard Saint-Canut (tél.: 450 565-2585); et Saint-Janvier, au 13908, boulevard du Curé-Labelle (tél.: 450 435-8137.</p>


Transport collectif gratuit durant le Festival de la galette