C’est donc dire qu’il n’y a pas de transport scolaire et que les services de garde sont fermés, tout comme le centre administratif du CSSMI situé sur le boulevard Arthur-Sauvé, à Saint-Eustache.



Enfin, le CSSMI mentionne dans un message envoyé plus tôt ce matin que la présence de son personnel au travail est non requise aujourd’hui.

Le RFF est un réseau solidaire de producteurs maraîchers et de consommateurs soucieux de leur alimentation et de l&#8217;environnement. Initié et développé par Équiterre en 1996, il est depuis le 1er&nbsp;janvier 2020 porté par la Coopérative pour l&#8217;agriculture de proximité écologique (CAPÉ) et regroupe plus de 150&nbsp;fermes certifiées ou en précertification biologique au Québec et au Nouveau-Brunswick. Chaque année, c&#8217;est plus de 30&nbsp;000&nbsp;familles qui choisissent de leur faire confiance et de les soutenir



<h2>Six fermes certifiées dans les Basses-Laurentides</h2>



Du nombre des fermes certifiées, neuf ont pignon dans la région des Laurentides, dont six dans les Basses-Laurentides. Il s’agit plus précisément de la ferme coopérative Aux Champs qui chantent et de la ferme La Roquette, à Brownsburg-Chatham, dans la MRC d’Argenteuil&nbsp;; de la Ferme Complètement Légume, dans le secteur de Saint-Augustin, à Mirabel&nbsp;; de la ferme Les jardins de la Fourchette, dans le secteur de Saint-Janvier, à Mirabel&nbsp;; ainsi que de la Ferme aux Trois Petits Pois, à Oka, et de la micro ferme maraîchère biologique Les Jardins Kaizen, à Saint-Joseph-du-Lac, dans la MRC de Deux-Montagnes.



Alors qu’ils sont à se préparer, et depuis quelques semaines déjà, pour une nouvelle saison, les maraichers membres du RFF se disent excités de renouveler leur engagement auprès des citoyens de la région des Laurentides.



C’est le cas, entre autres, de la ferme La Roquette, porte-parole de cette édition 2023 des paniers estivaux. «&nbsp;Pour nous, être fermier et fermière, c’est plus que simplement cultiver des légumes. Au centre de nos ambitions, il y a un objectif plus grand qui nous anime; celui de contribuer à notre communauté et à un projet de société au service de l’intérêt collectif. Nous souhaitons de tout cœur que tout le monde puisse s’alimenter de légumes frais et locaux cultivés dans le respect de l’environnement et de la biodiversité&nbsp;», explique Léandre Chagnon, cofondateur de la ferme brownsbourgeoise-chathannaise.



«&nbsp;La relation avec un ou une fermier ou fermière de famille va au-delà de la relation client habituelle. Il s’agit d’un partenariat solidaire qui permet aux maraîchères et aux maraîchers de produire des légumes de manière soutenable, abordable et durable qui profite à tous. Nous appelons ce mode de fonctionnement l’agriculture soutenue par la communauté (ASC)&nbsp;», précise Léon Bibeau-Mercier, président de la CAPÉ dans ce même communiqué de presse.



<h2>Le fonctionnement</h2>



Et comment ça fonctionne? Il faut d’abord accéder à la carte interactive du réseau, au <a href="http://www.fermierdefamille.com">www.fermierdefamille.com</a>. Une fois sur la carte, le point de collecte le plus proche s&#8217;affichera selon votre géolocalisation. Si vous n&#8217;acceptez pas la géolocalisation, vous pouvez entrer manuellement votre adresse postale ou de naviguer directement sur la carte.



Des détails du point de collecte et de la ferme associée à celui-ci se trouveront à votre gauche, si l&#8217;offre vous convient, vous devez cliquer sur «&nbsp;Je m&#8217;abonne&nbsp;» pour accéder au formulaire d&#8217;inscription. Il est également possible de choisir une autre ferme avec une offre différente en naviguant sur la carte interactive.



Une fois cela fait, il suffira, le moment venu, début juin ou à la mi-juin, d’aller cueillir des mains des fermiers eux-mêmes son premier panier de la saison au point de livraison choisi.



Vous voulez en savoir davantage&nbsp;? Il suffit de consulter le <a href="http://www.fermierdefamille.org/">www.fermierdefamille.org</a> ou la page <a href="http://www.facebook.com/Fermierdefamille/">www.facebook.com/Fermierdefamille/</a>.

Paniers estivaux: C’est le temps de s’abonner auprès d’une ferme de famille

Et c’est plus particulièrement le secteur situé aux alentours de l’église Saint-Eustache et de la mairie de Saint-Eustache, incluant la rue Saint-Eustache entre les rues Dorion et Saint-Louis, ainsi que la rue Dorion entre la rue Saint-Eustache et le boulevard Arthur-Sauvé, qui sera touché par ces interdictions. Dans certains cas, celles-ci seront en vigueur dès le mercredi 5&nbsp;avril, à 7&nbsp;h.



Selon l’avis de tournage qui a été distribué la semaine dernière, le stationnement sera effectivement interdit du mercredi 5&nbsp;avril, à 7&nbsp;h, au jeudi 6&nbsp;avril, à midi, sur la rue Saint-Eustache entre les rues Dorion et Saint-Louis. Même chose pour la rue Dorion entre la rue Saint-Eustache et le boulevard Arthur-Sauvé, qui servira de corridor sécuritaire pour le transport de matériel nécessaire au tournage.



En ce qui a trait à la rue Saint-Louis, elle sera fermée le mercredi 5&nbsp;avril par intermittence de quatre minutes à la fois de 19&nbsp;h à 1&nbsp;h pour les besoins du tournage.



Le retrait de l’ensemble des interdictions mises en place s’effectuera donc, selon l’endroit, à partir de 1&nbsp;h, le jeudi matin, et devrait être complété en fin d’avant-midi avec le départ des dernières roulottes de tournage qui se seront stationnées à l’arrière de l’église Saint-Eustache.



Pendant la durée de ces interdictions, il sera permis de se stationner à côté de la salle des Chevaliers de Colomb de Saint-Eustache ou à l’arrière du Complexe Walter-Buswell, mais pas dans les stationnements publics situés dans les secteurs fermés à la circulation.



<h2>Une série sur le « vol de sirop d&#8217;érable du siècle »</h2>



Tout ce branle-bas vise à permettre le tournage de la série «&nbsp;The Sticky&nbsp;», une comédie policière de plusieurs épisodes d’une demi-heure qui se déroule au Québec et qui s&#8217;inspire du célèbre « vol de sirop d&#8217;érable du siècle », une histoire qui a fait les manchettes après qu&#8217;une quantité de près de 3 000 tonnes de sirop d&#8217;érable, d&#8217;une valeur de 18&nbsp;M$&nbsp;CA (plus de 70 % de l&#8217;approvisionnement mondial en sirop d&#8217;érable) fut volée sur une période de plusieurs mois en 2011 et 2012 d’un site exploité par la Fédération des producteurs acéricoles du Québec (FPAQ).



Lauréate d’un Oscar, Jamie Lee Curtis qui agit déjà à titre de productrice déléguée de cette série, aura aussi un rôle à titre d’actrice ‘’invitée’’. Elle rejoindra sur le plateau de tournage l’actrice américaine Margo Martindale qui personnifiera Ruth Clarke, une productrice canadienne de sirop d&#8217;érable d&#8217;âge mûr qui va élaborer avec deux complices ce spectaculaire vol.



Également, les acteurs québécois Guy Nadon et Guillaume Cyr feront partie de la distribution.

Tous les établissements du CSSMI fermés aujourd’hui