
<p>Le jeune aspirant est d’ailleurs toujours à la quête des 50&nbsp;signatures de résidents de Saint-Eustache nécessaires au dépôt de son bulletin de candidature. Il a lancé un appel en ce sens dimanche dernier, toujours sur sa page Facebook, précisant que «&nbsp;cette signature n’indique pas votre vote et ne vous oblige à rien&nbsp;».</p>



<p>«&nbsp;Je suis fier d’entrer dans la course à titre d’indépendant, mais surtout avec un programme, à être divulgué au courant de l’année, qui place le citoyen au-dessus de ma liste de priorités. Le thème de ma campagne, ‘’L’avenir n’est plus une option’, sera axé sur l’avenir&nbsp;», d’écrire celui qui, à 24&nbsp;ans, pourrait fort bien devenir le plus jeune à être candidat à la mairie de Saint-Eustache une fois cela officialisé auprès du Directeur général des élections (DGE).</p>



<h2><strong>Retour sur les élections de 2021</strong></h2>



<p>Disant être pleinement intéressé par la politique, Samuel Lévesque a été chef et candidat Mouvement eustachois lors des élections municipales de novembre 2021. Sa formation avait alors présenté des candidats dans six des 10&nbsp;districts électoraux et ceux-ci avaient obtenu des pourcentages de votes variant entre 10&nbsp;% et 32&nbsp;%.</p>



<p>Pour un, candidat dans le district des Moissons après avoir pensé se présenter dans le district des Îles, Samuel Lévesque n’avait recueilli que 12,67&nbsp;% du suffrage exprimé et avait donc été défait par la conseillère municipale sortante, Isabelle Lefebvre.</p>



<p>À la mairie, la candidate du Mouvement eustachois, Jacinthe&nbsp;Ladouceur, avait obtenu le vote de 22,26&nbsp;% des électeurs contre 77,74&nbsp;% pour le maire sortant Pierre Charron, et chef d’Option Saint-Eustache, réélu pour un quatrième mandat avec neuf des dix membres de son équipe.</p>



<p>La formation politique de Samuel Lévesque a été dissoute à la fin de l’année 2022 et Samuel Lévesque avait alors laissé entrevoir un éventuel retour en politique pour ensuite annoncer, en mars 2023, que sa réflexion était alors terminée et qu’il allait annoncer ses intentions au mois d’avril suivant. Ce qu’il a effectivement fait en invitant les citoyens à «&nbsp;reprendre leur ville en main&nbsp;».</p>



<p>Suivez Samuel Lévesque sur sa <a href="http://www.facebook.com/levessam?locale=fr_FR" target="_blank" rel="noreferrer noopener">page Facebook</a>.</p>



<p>Selon une enquête réalisée par la firme Léger, 90 % des adultes québécois âgés de 18 à 59 ans considèrent l’éducation comme primordiale dans la vie des jeunes. </p>



<p>Toutefois, seulement 39 % des répondants jugent que les jeunes de leur entourage manifestent une motivation élevée pour l&#8217;école. « Cette réalité souligne l’urgence d&#8217;une mobilisation collective pour soutenir la réussite éducative », affirme madame Reddy, présidente du Conseil d’administration des Partenaires pour la réussite éducative dans les Laurentides (PREL).&nbsp;</p>



<p>La région des Laurentides, autrefois à la traîne en matière de diplomation, se distingue aujourd’hui par la plus forte progression au Québec. « Ces résultats sont le fruit d’un engagement collectif soutenu », précise Valérie Pichot, directrice générale du PREL.&nbsp;</p>



<h2><strong>Valorisation et accès aux ressources communautaires </strong></h2>



<p>Si 82 % des répondants estiment qu’un diplôme d’études secondaires est plus important qu’il y a cinq ans, seulement 74 % des jeunes de 18 à 24 ans partagent cette perception. Par ailleurs, 23 % croient qu’il est possible d’obtenir un emploi bien rémunéré sans diplôme. Ces données montrent la nécessité d’une sensibilisation accrue à l’importance des qualifications, alors que le marché de l’emploi évolue constamment.&nbsp;</p>



<p>L’enquête révèle également que 89 % des participants encouragent les initiatives éducatives à long terme, telles que le mentorat et le soutien en santé mentale. Pourtant, seulement 29 % connaissent les ressources communautaires disponibles, un recul par rapport à l’année précédente. Madame Pichot souligne l’importance de rendre ces ressources plus visibles et accessibles.&nbsp;</p>



<h2><strong>Vers une mobilisation collective</strong></h2>



<p>Pour assurer la réussite éducative, la collaboration entre parents, éducateurs, élus, employeurs et acteurs communautaires est primordiale. La responsabilité de l’éducation doit être partagée. « Profitons des JPS pour passer de la parole aux actes et offrir à chaque jeune un environnement favorable à son développement », conclut Mme Reddy.&nbsp;</p>



<h3><strong>Soutien :</strong></h3>



<p>&#8211; Diffusion des visuels de campagne avec le mot-clic #JPS2025.</p>



<p>&#8211; Remise de cartes d’encouragement ou de certificats de reconnaissance aux élèves.</p>



<p>&#8211; Participation au Jeudi PerséVERT, le 13 février, en portant une touche de vert et en partageant une photo avec #JPSLaurentides.</p>



<p>&#8211; Inscription aux webinaires régionaux des Instances régionales de concertation (IRC).</p>



<p>Pour plus d’informations sur les activités ou pour télécharger les outils de campagne, visitez le <a href="http://www.prel.qc.ca">www.prel.qc.ca</a>.</p>


Journées de la persévérance scolaire 2025 


<p>Au fil des années, le nouveau DG a gravi tous les échelons au sein de Desjardins, de conseiller en finances personnelles à directeur adjoint, avant d’atteindre son poste actuel. « J’ai fait toutes les étapes, un poste à la fois, à chaque deux ou trois ans, j’évoluais », explique-t-il avec humilité. Son parcours l’a mené à s’investir activement dans la région au cours de la dernière décennie, devenant une figure incontournable dans le milieu des affaires et communautaire.</p>



<h2><strong>Une continuité inspirée par Neil Hawthorne</strong></h2>



<p>Pour M. Lachance, chaque étape de son parcours chez Desjardins l&#8217;a préparé à relever les défis actuels. Suivant les traces de son prédécesseur, Neil Hawthorne, il souhaite maintenir un haut niveau d’engagement social. Parmi les projets marquants du règne de M. Hawthorne, il cite le soutien à la Fondation Hôpital Saint-Eustache ainsi qu’à la Maison Sercan, ou encore les initiatives en faveur du développement durable et de l’achat local qu’il souhaite poursuivre coûte que coûte. « C’est une région riche et variée, avec un écosystème unique qui allie agriculture, commerce et industrie. On peut toucher à tout, et c’est ce qui me séduit le plus », confie-t-il avant de préciser qu’il ne s’agit pas seulement d’une vision personnelle, mais bien de culture d’entreprise. « Chaque gestionnaire de la Caisse est impliqué dans un conseil d&#8217;administration local. Cette implication régulière renforce notre ancrage communautaire et nous permet de mieux comprendre et répondre aux besoins de la région », souligne-t-il.</p>



<h2><strong>Un leadership humain et dynamique</strong></h2>



<p>« Ce que j&#8217;aime, c&#8217;est aider les gens. Travailler en finances, ce n&#8217;est pas seulement des chiffres, c&#8217;est avoir un impact concret dans leur vie », confie-t-il. Il embrasse chaque aspect de son travail et de son parcours, qu’il s’agisse d’aider une famille à acquérir une maison, de soutenir un entrepreneur dans le lancement de son entreprise ou encore de contribuer au financement d’un projet unique. « Chaque cas est différent, et c&#8217;est cette personnalisation qui rend notre travail pertinent et humain », ajoute-t-il.</p>



<p>Qu’il s’agisse des zones inondables, d’une possible escalade tarifaire avec nos voisins du sud, ou d’une période de turbulence que pourrait rencontrer certains organismes. M. Lachance assure que la Caisse reste attentive aux besoins de la population. « Nous travaillons main dans la main avec [nos partenaires] pour renforcer le tissu économique local et soutenir les entreprises dans leurs projets, qu’ils soient en croissance ou en rétablissement », affirme-t-il.</p>



<p>Les initiatives qu&#8217;il soutient, qu&#8217;il s&#8217;agisse de causes pour la jeunesse, de préservation du patrimoine ou d&#8217;encouragement des sports locaux, reflètent les besoins réels de la communauté et témoignent de son engagement à bâtir un avenir solide pour la région.</p>


Samuel Lévesque toujours intéressé par le poste de maire

Retour sur les élections de 2021