Les deux liquidateurs testamentaires, soit madame Diane D. Lavallée et monsieur Serge Constantin, se sont rendus au bureau de la Fondation pour remettre officiellement ce don à l’équipe. M. Constantin a rappelé le parcours de M. Jetté, un employé fidèle chez



Terre Constantin depuis la fin des années 1990 à titre d’opérateur de machinerie lourde. « Il était un employé dévoué, toujours au poste. », a-t-il souligné.



C’est à la suite d’un rendez-vous médical à l’Hôpital de Saint-Eustache, à l’époque, que M. Jetté a rencontré Mme Lavallée. Ensemble, et avec l’appui d’un conseiller en dons planifiés ainsi que de son notaire, ils ont planifié ce legs, un geste réfléchi pour soutenir la mission de la Fondation.



<h2>Un don qui change des vies</h2>



Ce don planifié permettra à la Fondation Hôpital Saint-Eustache de continuer à financer des équipements médicaux à la fine pointe de la technologie, à améliorer la qualité des soins de santé offerts aux patients et à répondre aux besoins croissants de son hôpital.



<h2>Qu’est-ce qu’un don planifié?</h2>



Un don planifié est un engagement philanthropique réfléchi qui permet d’assurer un soutien à long terme pour les causes qui nous tiennent à cœur. En intégrant un don à son testament, il est possible de laisser un héritage significatif et de contribuer au mieux-être de la communauté pour les générations à venir.



Pour en savoir plus sur les dons planifiés, pour faire un don ou pour participer à nos activités, visitez le site Internet de la FHSE à fondationhopitalsainteustache.com ou contactez-les au 450 974-8229.

Stéphane Michaud, le président du Parc régional du Bois de Belle-Rivière, est vraiment fier de son sommet. Il en parle comme d’une expérience presque mystique en mentionnant le yin et le yang, puisque la piste est orientée vers les sud, donc le matin, à la gauche, il est possible de voir le lever du soleil, le jour, les montagnes et en soirée, vers la droite, le coucher du soleil. «&nbsp;On a presque l’impression d’être ailleurs&nbsp;», s’exclame M. Michaud.



La glissade sur tube est l’une des nombreuses activités très prisées par les familles depuis l’inauguration du sommet en 2015. Certains irritants, qui ont inspiré ces améliorations, sont maintenant atténués avec ces nouvelles infrastructures. Lors de la conférence de presse, nous avons été accueillis sous un dôme géodésique aménagé d’un foyer, de tables hautes de style cabaret, ainsi que de plusieurs fauteuils pour le repos des glisseurs entre deux, ou douze, descentes. Un espace de service était occupé pour l’occasion par le Café Pixel—le projet d’un barista nomade des Laurentides. Une cinquantaine de personne peuvent s’y rassembler.



En plus de cet espace chauffé, la somme investie a permis au Parc du Bois-de-Belle-Rivière d’installer une remontée mécanique pour les glisseurs et leur tube. Pendant le temps des fêtes, le maire de Mirabel, Patrick Charbonneau, était déçu du nombre de jeunes qu’il ait côtoyés qui étaient rivés à une télévision, un écran ou une tablette. Il est heureux d’être en mesure d’offrir une infrastructure de cette envergure dans le parc et espère inspirer ses citoyens à bouger.



Il était d’ailleurs très enthousiaste puisqu’il sait, comme jeune papa, comment «&nbsp;tous les enfants sont paresseux!&nbsp;» Après deux descentes, les enfants utilisent généralement leur père pour remonter la pente. Maintenant, avec la remontée mécanique, «&nbsp;les parents n’ont plus rien qu’à regarder les enfants glisser&nbsp;», se réjouissait-il.



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/01/cg-remonteemecanique-2-edited.jpg" alt="" class="wp-image-95146" width="578" height="385" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/01/cg-remonteemecanique-2-edited.jpg 864w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/01/cg-remonteemecanique-2-edited-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/01/cg-remonteemecanique-2-edited-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/01/cg-remonteemecanique-2-edited-768x512.jpg 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/01/cg-remonteemecanique-2-edited-615x410.jpg 615w" sizes="(max-width: 578px) 100vw, 578px" /><figcaption>Crédit photo: Christophe Godon Le maire Patrick Charbonneau était le premier à essayer la remontée mécanique après une descente de plusieurs secondes dans la tempête.</figcaption></figure>



En plus de la remontée mécanique et du dôme chauffé, le Parc a ajouté une troisième piste de glisse, s’est muni d’un canon à neige pour augmenter la période de glisse et s’est procuré des équipements d’entretien nécessaire à l’opération de ses installations. Cette deuxième phase du projet a été rendue possible grâce au ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, la Ville de Mirabel, l’entente de partenariat régional et de transformation numérique en tourisme (EPRTNT) et la Caisse Desjardins de Mirabel.



Avec une capacité d’accueil accrue et l’amélioration de l’expérience des glisseurs, le résultat de cet investissement permettra également d’accueillir des activités événementielles et locatives tout au long de l’année.



Une fois la conférence de presse terminée, le ruban protocolaire bleu découpé, quelques bons vivants se sont laissés glisser et remonter afin de mettre à l’épreuve les installations malgré la tempête. Votre humble, et peu athlétique, journaliste a préféré retourner dans le dôme et discuter avec les dignitaires et autres invités, un verre de chocolat chaud à la main. À chacun sa façon d’apprécier l’hiver. Bonne glissade!

Le Parc du Bois de Belle-Rivière améliore sa butte de glisse￼

Pesant 7,3&nbsp;livres et bien portante, Olivia est aussi le premier enfant de Mathilde Roberge et Pierre-Yves Carrier, lesquels sont fiancés depuis quatre ans et résident à Morin-Heights depuis environ six mois. S’il a accepté de partager son expérience, le couple a cependant choisi de ne pas fournir de photo aux médias.



«&nbsp;Nous sommes très heureux; c’est notre premier enfant. C’est très excitant de vivre cela. C’est beaucoup d’amour et de bonheur&nbsp;», confie, en entrevue téléphonique, la maman. «&nbsp;Elle est belle comme un cœur&nbsp;», renchérit, de son côté, le papa.



<h2>Un choix rencontrant les valeurs du couple</h2>



Mme Roberge relate être arrivée à la Maison des naissances du Boisé-de-Blainville, vers minuit, après avoir parcouru, de Morin-Heights à Blainville, 45&nbsp;minutes de route avec son conjoint. Immédiatement, le travail d’accouchement en présence d’une sage-femme a débuté pour se terminer presque 17&nbsp;heures plus tard.



Pour Mathilde et Pierre-Yves, le fait d’avoir un suivi (grossesse et accouchement) avec une sage-femme, comme cela est offert depuis plus de 17&nbsp;ans maintenant à la Maison des naissances du Boisé-de-Blainville, était fort important et rencontrait surtout les valeurs que tous deux partagent concernant l’accouchement naturel.



«&nbsp;C’est beaucoup plus personnalisé, sans médication, sans anesthésie péridurale. Donc, il faut être ‘’mindé’’ à ce type d’accouchement. C’est sûr que d’être en lien avec ces valeurs m’a aidé à passer au travers d’un aussi long accouchement, sinon, ça risque d’être difficile. C’est ce que je voulais dès le départ&nbsp;», relate Mathilde Roberge qui dit avoir appris l’existence de la Maison des naissances du Boisé-de-Blainville par l’entremise de sa belle-sœur qui a aussi accouché à cet endroit.



«&nbsp;Je suis toujours fébrile et heureux. Surtout d’avoir vu ma conjointe passer toute cette étape-là naturellement. Cela montre que l’on peut encore donner naissance à des enfants de façon naturelle&nbsp;», d’ajouter Pierre-Yves Carrier.



<h2>Plus de 4&nbsp;000 naissances depuis 17&nbsp;ans</h2>



Située au 15, 70e&nbsp;Avenue Ouest, à Blainville, la Maison des naissances du Boisé-de-Blainville est une installation du Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides (CISSS) des Laurentides qui se dit «&nbsp;fier de pouvoir offrir ce service aux familles des Laurentides&nbsp;».



L’établissement compte maintenant sur une équipe composée de 13&nbsp;sages-femmes, incluant la cheffe de département, sept aides-natales et trois agentes administratives. L’équipe de la Maison de naissance assure entre 250&nbsp;et 325&nbsp;suivis de grossesse par année, qui se traduisent entre 200&nbsp;à 250&nbsp;naissances par année, aux soins des sages-femmes. La balance des naissances est effectuée avec les équipes médicales des hôpitaux des Laurentides.



Aussi, une sage-femme supplémentaire assure les suivis à Maniwaki et la réserve algonquine de Kitigan Zibi et les environs.



Depuis son ouverture, en 2007, ce sont ainsi plus de 4&nbsp;000&nbsp;enfants qui sont nés dans la région des Laurentides grâce à l’accompagnement d’une sage-femme de la Maison de naissance du Boisé-de-Blainville, que ce soit à domicile, à la Maison de naissance, à l’Hôpital régional de Saint-Jérôme ou à l’Hôpital de Saint-Eustache, dont plus du tiers au cours des trois dernières années.



Pour en apprendre plus sur un suivi de grossesse par une sage-femme, <a href="https://www.santelaurentides.gouv.qc.ca/soins-et-services/grossesse-et-accouchement/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">cliquez ici</a>.

Le premier bébé de l’année 2025 s’appelle Olivia Carrier

La Fondation Hôpital Saint-Eustache reçoit un  don testamentaire de 350 000 $

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