<h3>Dysfonctionnement temporaire du réseau d&#8217;égout municipal</h3>
<p>La plage a été fermée à la suite d’une situation déclarée par la Municipalité d’Oka en lien avec le dysfonctionnement temporaire du réseau d’égout municipal. Cette fermeture de la plage et l’interdiction d’usage resteront en vigueur jusqu’à ce que des correctifs soient réalisés.</p>
<p>Le Ministère demeure en contact étroit avec la Municipalité et l’exploitant de la plage afin de s’assurer que toutes les mesures soient mises en place pour assurer un retour rapide à la conformité. En conséquence, la population doit s’abstenir de fréquenter cette plage à des fins de baignade tant qu’un avis contraire n’aura pas été diffusé par le Ministère.</p>


<p>En fait, ils sont une vingtaine, tous membres de l&#8217;Association des producteurs de fraises et framboises du Québec, à proposer depuis quelques jours l’autocueillette des fraises dans leurs champs. À ceux-ci s’ajouteront, d&#8217;ici peu, les producteurs de framboises. On les retrouve plus précisément à Oka, Saint-Joseph-du-Lac, Saint-Eustache, Mirabel, Blainville et Sainte-Anne-des-Plaines.</p>
<h3><strong>De premières récoltes satisfaisantes</strong></h3>
<p>Du nombre, il y a la Ferme Roland Cloutier, située chemin Fresnière, à Saint-Eustache, où les propriétaires Roland Cloutier et Carole Lauzon cultivent le petit fruit depuis 31 ans déjà, tout en tenant leur kiosque de fruits légumes de juin à octobre. Et on y trouve aussi, disons-le, d’excellentes tartes aux fraises (et autres fruits) cuisinées sur sur place. Le couple sera en outre du nombre de la quarantaine de producteurs et d’exposants qui seront présents cet été, les samedis, au Marché public du Vieux-Saint-Eustache.</p>
<p>De l’avis de Roland Cloutier, même si les fraises sont arrivées avec du retard, celui-ci anticipe une bonne saison. «<em>Ça s’annonce bien. Les fraises sont belles. On voit que les plants ont eu un peu de misère cet hiver. Pour le reste, c’est beau. Les premières fraises ne seront pas les plus grosses que nous récolterons, mais les autres qui s’en viennent seront plus belles encore, car elles auront bénéficié de plus de soleil et de chaleur. Et on ne pourra pas dire qu’elles auront manqué d’eau</em>», de signaler, sourire en coin, celui-ci, alors que quelques clients s’arrêtent justement au kiosque pour acheter des fraises.</p>
<h3><strong>Des fraises jusqu’à la mi-octobre</strong></h3>
<p>Si la saison des fraises du Québec débute ces jours-ci, sachez, enfin, qu’il y en aura durant tout l’été, puisque d’autres variétés prendront la relève, selon la période, comme la Seascape et l’Albion, disponibles celles-là jusqu’à la mi-octobre chez certains producteurs.</p>
<p>Pour justement connaître la liste des producteurs de fraises (et de framboises), on peut consulter le site Web de l’Association des producteurs de fraises et de framboises du Québec, à l’adresse [<a href="http://fraisesetframboisesduquebec.com">http://fraisesetframboisesduquebec.com</a>], où s’y trouvent plusieurs informations, recettes, promos et concours.</p>
<p>On peut aussi communiquer, pour des informations plus locales, avec Tourisme Basses-Laurentides, dont le bureau touristique est situé au 600, rue Dubois, à Saint-Eustache, à la hauteur de la sortie 14 de l’autoroute 640, au 450 491-4444, ou consulter le [<a href="http://www.basseslaurentides.com">www.basseslaurentides.com</a>].</p>


La saison des fraises du Québec bat son plein dans la région!

<p>Annoncée le mardi 25 juin dernier, après quelques jours de rumeurs, l’entente définitive conclue entre les deux parties prévoit que Mitsubishi fait donc l’acquisition du programme CRJ (Canadair Regional Jet), dont les premiers appareils sont entrés en service en 1992. Depuis, quelque 2 000 appareils CRJ ont été livrés dans plus de 90 pays.</p>
<p>Outre les 550 millions de dollars américains que versera le géant japonais à Bombardier, celui-ci assumera également des «passifs» d’un montant approximatif de 200 M$ US. La transaction doit normalement être complétée dans la première moitié de l’année 2020.</p>
<h3>Des conséquences pour les travailleurs</h3>
<p>La transaction aura bien évidemment des conséquences pour des centaines de travailleurs. Selon les chiffres qui ont circulé, 375 des employés qui travaillent pour l’ingénierie et le service aux clients à Mirabel devraient devenir des employés de Mitsubishi, tout comme 850 autres œuvrant à divers endroits dans les centres d’entretien du CRJ.</p>
<p>Quant aux 370 travailleurs affectés à la production du CRJ, ils demeureront pour l’instant à l’emploi de Bombardier à Mirabel puisque 42 derniers avions de ce programme restent encore à être livrés et le seront donc dorénavant pour le compte de Mitsubishi. Une fois passée cette période de 18 mois, ces employés devraient être transférés vers d’autres programmes de Bombardier.</p>
<h3>Un syndicat aux aguets</h3>
<p>«<i>Notre principale préoccupation est de trouver des réponses à nos questions et de travailler pour limiter les dégâts pour nos membres touchés. Nous allons d’abord travailler pour relocaliser les emplois chez Bombardier</i>» , a soutenu Yvon Paiement, président de la section locale 712 de l’AIMTA, le syndicat représentant les travailleurs de Mirabel.</p>
<p>«<i>Nos membres travaillant sur le CRJ qui ne pourront être replacés chez Bombardier pourront probablement être relocalisés du côté d’Airbus Canada grâce à l’entente de réciprocité que nous avons fait mettre en place en 2018</i>» , a estimé, de son côté, Éric Rancourt, agent d’affaires du district 11, responsable de l’unité Bombardier.</p>
<h3>D’autres préoccupations pour le maire Bouchard</h3>
<p>La transaction n’a pas retenu outre mesure l’attention du maire de Mirabel, Jean Bouchard, encore enthousiaste de sa participation au Salon international de l’aéronautique et de l’espace de Paris-Le Bourget, plus connu sous le nom de Salon du Bourget, qui s’est déroulé du 17 au 21 juin dernier.</p>
<p>«<i>Tout au long de la semaine, on m’a parlé de Mirabel comme étant en voie de devenir un mini-Toulouse!</i>» , a-t-il commenté disant qu’il s’était dégagé de ce salon un «grand enthousiasme» autour du potentiel de croissance de la zone aéroportuaire mirabelloise, maintenant appelée l’Aérocité internationale de Mirabel.</p>
<p>Le maire Bouchard était d’ailleurs présent lorsque Airbus a annoncé la vente de 50 appareils A220 qui seront fabriqués à Mirabel. D’autres annonces durant la semaine ont porté à 85 le nombre total d’avions A220 ajoutés au carnet de commandes d’Airbus, la grande majorité d’entre eux devant être assemblés à Mirabel.</p>
<p>Aussi, Mecachrome Canada a confirmé qu’elle investira plus de 18 M$ à ses installations de Mirabel pour augmenter sa capacité de production. Pas moins de 80 nouveaux emplois pourraient ainsi être créés.</p>
<p>«<i>Ce sont d’excellentes nouvelles pour notre ville et pour les travailleurs qualifiés qui œuvrent à l’Aérocité!</i>» , a déclaré M. Bouchard dans un communiqué diffusé&#8230; le jeudi 27 juin dernier.</p>


Fermeture préventive de la plage du Parc national d’Oka

Dysfonctionnement temporaire du réseau d’égout municipal