
<p>Cette réalisation remarquable le place à égalité avec le légendaire skieur alpin Ingemar Stenmark pour le plus grand nombre de victoires en Coupe du monde chez les hommes.</p>



<p>La deuxième journée d’événements consécutifs au Waterville Valley Resort, situé au dans l&#8217;État du New Hampshire, aux États-Unis, a été électrisante, avec des fans et des athlètes impatients pour la compétition de bosses en parallèle. Après une troisième place la veille, Kingsbury a abordé la compétition avec détermination, cherchant à retrouver sa position dominante au classement de la Coupe du monde.</p>



<p>Dans l’épreuve masculine, tous les regards étaient tournés vers la lutte acharnée entre Mikael Kingsbury et son rival le plus proche, Ikuma Horishima du Japon. Horishima avait été le seul athlète cette saison à représenter un défi significatif pour le skieur canadien, et la compétition était intense. La performance de Kingsbury sur les pentes était une véritable histoire de rédemption, mettant en valeur son talent et sa résilience inégalés.</p>



<p>La très attendue grande finale s’est déroulée avec Kingsbury et Horishima s’affrontant dans un affrontement palpitant. Malgré les efforts louables de l’athlète japonais, il n’a pas pu suivre le rythme effréné de Kingsbury. Un glissement dans la section médiane a finalement permis à Kingsbury de remporter une victoire convaincante, marquant sa 86e victoire en Coupe du monde et égalant le record établi par le légendaire Ingemar Stenmark.</p>



<h2>Une troisième position lors de l&#8217;épreuve en simple</h2>



<p>La veille, le vendredi 26 janvier, l&#8217;athlète qui résifde maintenant à Saint-Joseph-du-Lac avait obtenant, lors de l&#8217;épreuve en simple, une troisième place. Malgré sa réputation redoutable, la performance de Kingsbury a été en deçà des attentes, laissant la foule surprise et l’athlète lui-même visiblement déçu de ce résultat.</p>



<p>Le jugement rendu n’a pas été sans controverse. Kingsbury a exprimé son mécontentement quant à la déduction de 6 points par les juges, affirmant qu’il s’agissait de sa meilleure descente de la semaine.</p>



<h2><strong>Cinq autres épreuves à venir</strong></h2>



<p>Avec cinq autres événements prévus pour cette saison, Kingsbury est maintenant en bonne voie pour dominer le classement de la Coupe du monde. La détermination et l’habileté du skieur canadien ont une fois de plus consolidé son statut de force dominante dans le monde du ski de bosses.</p>



<p>Alors que le circuit de la Coupe du monde de ski acrobatique de la FIS se déplace vers l’ouest, tous les yeux sont désormais tournés vers Deer Valley pour l’événement phare de bosses et de sauts de la saison.</p>



<p>Prévue du 1er au 3 février, la prochaine compétition promet encore plus de moments palpitants et de rivalités féroces alors que les meilleurs skieurs freestyle du monde luttent pour la suprématie sur les pentes.</p>



<p>Les projecteurs sont fermement braqués sur Mikael Kingsbury alors qu’il vise à poursuivre sa série de victoires et à inscrire davantage son nom dans les annales de l’histoire du ski.</p>



<p>Source: Freestyle Canada</p>



<p>Regroupant l’an dernier 23 athlètes féminines et un athlète masculin âgés de 13 à 18 ans provenant du Grand Montréal, l’équipe Phoenix, de catégorie « U18 Small Coed niveau 5 », a remporté ce titre mondial en avril 2023 lors de sa participation au « Cheerleadings Worlds », la plus importante compétition à laquelle peuvent prendre part les athlètes qui pratiquent le cheerleading. Cet ultime sacre concluait une saison 2022-2023 marquée par quatre titres au total.</p>



<p>Dans cette équipe championne, on comptait sur la présence de deux athlètes féminines résidant sur le territoire de la MRC de Deux-Montagnes, soit Alexandra Perreault-Soudeyns, de Pointe-Calumet, et Juliette Savard, de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, âgées de 16 ans et 17 ans au moment de ce triomphe.</p>



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="640" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/01/ceremonie-des-bagues-2-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-89532" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/01/ceremonie-des-bagues-2-960x640.jpg 960w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/01/ceremonie-des-bagues-2-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/01/ceremonie-des-bagues-2-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/01/ceremonie-des-bagues-2-768x512.jpg 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/01/ceremonie-des-bagues-2-615x410.jpg 615w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/01/ceremonie-des-bagues-2.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>La cérémonie remise officielle des bagues.</figcaption></figure>



<h2><strong>Un rôle de supportrice pour Alexandra</strong></h2>



<p>Tandis que Juliette aura l’occasion de performer à nouveau sur le tapis avec les autres membres du Phoenix lors de cette compétition à venir en Ontario, Alexandra devra malheureusement se contenter du rôle de… supportrice. Celle-ci a, en effet, quitté momentanément le cheerleading afin de permettre à son corps de se rétablir de multiples blessures, explique sa mère Sophie Perreault.</p>



<p>« C&#8217;est avec le cœur gros, rempli d&#8217;émotion, qu&#8217;Alexandra regardera l’équipe Phoenix, qui est gravée sur son cœur à vie, lors de cette compétition. Cette merveilleuse équipe lui a permis de réaliser son rêve. Elle n&#8217;oubliera jamais la gamme d&#8217;émotions qu’elle a vécues. D&#8217;ailleurs comme plusieurs de ses coéquipiers, elle s&#8217;est fait tatouer ‘’Phoenix’’. Elle encouragera l&#8217;équipe, le jour de la compétition, en envoyant des messages personnalisés aux athlètes et en criant dans la ‘’fan zone’’ pour transmettre son énergie à l&#8217;équipe. On se cogne [un rituel chez les Flyers] la tête », raconte la maman.</p>



<p>Toute aussi désolée de la situation, Mme Perreault n’aura, comme sa fille, que des ondes positives à transmettre au Phoenix dans sa quête d’un nouveau titre mondial.</p>


Cheerleading: Deux athlètes féminines de la région championnes mondiales


<p>Parmi les quelque 500&nbsp;films soumis par des réalisateurs et réalisatrices des quatre coins de la planète, ce film québécois a réussi l’exploit de se retrouver dans la sélection officielle de la 48<sup>e</sup>&nbsp;édition Festival du film de montagne de Banff tenu l’automne dernier.</p>



<p>Ce film relate l’extraordinaire aventure qu’ont vécue Guillaume Moreau et Nicolas Roulx en 2021, mais aussi cinq de leurs amis venus les accompagner pour certaines sections, avec l’expédition AKOR, soit celle de réaliser la première traversée documentée nord-sud du Canada qui figure parmi les plus longues expéditions en région sauvage de l’histoire canadienne. Les membres de cette équipe ont, de fait, parcouru pas moins de 7&nbsp;600&nbsp;km en 234&nbsp;jours sur terre et sur mer, en ski, en canot et en vélo, à travers le Nunavut et les Territoires du Nord-Ouest, jusqu’à la pointe Pelée, en Ontario.</p>



<p>«&nbsp;Un bravo au film québécois ‘’Canada Vertical’’, qui relate un extraordinaire accomplissement, s’impose. Au cours des 20 dernières années, seule une poignée de films du Québec ont eu ce privilège à réussir à se hisser dans le club sélect des films de la sélection officielle du Festival. C’est avec fierté qu’on le présente comme film principal lors de la tournée québécoise&nbsp;», mentionne Stéphane Corbeil, producteur de cette tournée québécoise qui vient tout juste de débuter et qui s’arrêtera dans 23&nbsp;villes à travers le Québec (35&nbsp;représentations) d’ici le 2&nbsp;mars prochain.</p>



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<iframe loading="lazy" title="Introduction mondiale du Festival du film de montagne de Banff 2024" src="https://player.vimeo.com/video/890013983?dnt=1&amp;app_id=122963" width="580" height="326" frameborder="0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture"></iframe>
</div></figure>



<h2><strong>Des images renversantes sur grand écran</strong></h2>



<p>«&nbsp;Cette année, la programmation compte huit films dont la matière première est composée d’adresse et de maîtrise, de complicité et de plaisirs, d’urgences de vivre et de pieds de nez à l’adversité. D’autres aventures interpellent nos attentes de voyageurs ou imposent le respect face à la ténacité exigée pour accomplir des traversées inédites. Et comme toujours, les images projetées sur grand écran sont renversantes&nbsp;», ajoute le producteur.</p>



<p>Également, il sera possible de découvrir sur place une exposition d’une dizaine de photographies prises pendant l’Expédition Transboréale 2023. Les membres de l’équipe qui y ont pris part, qui était formée des Québécois Simon-Pierre Goneau et Samuel Lalande-Markon, ont réalisé à l’hiver 2023 la traversée intégrale du Québec, du sud au nord, à vélo et en ski. Il s’agissait d’un périple de près de 3 000 km réalisé en 88 jours qui les ont menés à parcourir notamment la banquise côtière de la baie d’Hudson.</p>



<p>Des billets pour assister à cette représentation de la tournée québécoise du Festival du film de montagne de Banff, qui aura lieu le lundi 29 janvier à la salle Le Zénith, dès 19 h, sont toujours disponibles au <a href="https://lezenithsteustache.ca/programmation">https://lezenithsteustache.ca/programmation</a>. Pour connaître les détails de cette tournée: <a href="https://banffquebec.ca/">https://banffquebec.ca/</a>.</p>


Une 86e victoire en Coupe du monde pour Mikaël Kingsbury

Une troisième position lors de l’épreuve en simple

Cinq autres épreuves à venir