Le marcheur a d’ailleurs été aperçu avec son sac à dos où on peut lire « Je suis à traverser le Canada à pied pour le cancer » à Pointe-Calumet, Oka et Saint-Joseph-du-Lac en fin de semaine. 



C’est après avoir perdu sa conjointe et sa mère à la suite d’un cancer que le quinquagénaire originaire de Drummondville a décidé de se lancer dans cette longue escapade. C’est en mars 2023 que Sylvain Latreille est parti de Terre-Neuve pour marcher des dizaines de kilomètres chaque jour en direction de Vancouver.&nbsp;



Il est possible de faire un don directement au marcheur pour l’encourager dans sa cause et ainsi contribuer dans la recherche contre le cancer à l’adresse courriel [sylvainlatreille8@gmail.com]. On peut également le suivre dans son périple en visitant son profil Facebook <a href="https://www.facebook.com/people/Sylvain-Latreille/pfbid0h6AiCHufzqWA3oZRRKLd4AJJfCGPzw7mSPHxWvPc8BvmjgXnqBhDTuxp23xUvVJSl/">www.facebook.com/profile.php?id=61559697594019</a>.

Initié par les bénévoles du Regroupement écocitoyen de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, le jardin porte l’emblème du colibri, car sa légende veut qu’il porte dans son bec des gouttes d’eau servant à éteindre un feu qui ravage une forêt. Ainsi, il symbolise la création d’un projet qui portera à bien l’avenir d’une collectivité.&nbsp;



« Ensemble, aujourd’hui, ici, on souligne quelque chose d’extraordinaire; l’espoir. Comme ça, avec ce beau jardin. Pas en claquant des doigts, mais avec la sueur de notre front. On a créé quelque chose de concret. Nous avons réalisé ensemble le premier jardin collectif et solidaire de Sainte-Marthe-sur-le-Lac », a déclaré Josée Deslauriers de Nature Vivante, lors de son inauguration le 15 août dernier. Cette dernière a mené la construction du jardin avec l’aide d’une soixantaine de bénévoles de la région.&nbsp;



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri2-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-92283" width="549" height="365" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri2-960x640.jpg 960w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri2-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri2-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri2-768x512.jpg 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri2-615x410.jpg 615w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri2.jpg 1024w" sizes="(max-width: 549px) 100vw, 549px" /><figcaption>Photo André Gauvin Situé entre les rues de l’Érablière et de l’Aubier, le Jardin collectif et solidaire le Colibri se situe sur terrain de 11 000 pieds carrés. </figcaption></figure>



« J’espère que ce jardin, tout droit sorti de notre cœur, puisse donner inspiration, espoir et puisse amener peu à peu des changements concrets pour notre avenir et surtout, pour celui de nos enfants », espère-t-elle. D’ailleurs, en plus de rassembler la communauté, le jardin le Colibri se veut solidaire, car le surplus des récoltes sera remis à des organismes œuvrant dans l’aide alimentaire.&nbsp;



Ce nouveau jardin collectif s’ajoute aux autres jardins de la MRC de Deux-Montagnes qu’on retrouve à Saint-Placide, Saint-Joseph-du-Lac, Pointe-Calumet et Deux-Montagnes. « Ce projet fait partie d’une table de conservation qui fait partie des autres jardins de la région. On veut aller dans la direction des communautés nourricières », ajoute Sylvie Clermont, présidente du Regroupement écocitoyen de Sainte-Marthe-sur-le-Lac.



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-92284" width="475" height="316" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri-960x640.jpg 960w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri-768x512.jpg 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri-615x410.jpg 615w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/jardincolibri.jpg 1024w" sizes="(max-width: 475px) 100vw, 475px" /><figcaption>Photo André Gauvin Guylaine Thibodeau, vice-présidente du Regroupement écocitoyen de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, a dévoilé le logo du jardin, symbolisant toutes les énergies qui ont été mises ensemble dans le projet. </figcaption></figure>



Après la réussite de ce projet, le regroupement prend déjà action pour poursuivre son implication au profit de l’environnement et de la qualité de vie des citoyens. « On a aussi un deuxième projet qui s’en vient bientôt, un projet de forêt nourricière. On va beaucoup s’investir cet automne et cet hiver dans ce projet-là », promet Mme Clermont.&nbsp;

Un tout premier jardin collectif inauguré à Sainte-Marthe-sur-le-Lac

Ce n’est que le 17 juillet dernier que le syndicat a signé les conventions collectives, alors que les représentants de la Ville ont indiqué que la signature se ferait à leur retour de vacances, le 5 août dernier.



« Les membres des deux groupes se sont tenus debout tout au cours des pourparlers. Sans convention collective depuis quatre ans et demi, ils se sont résignés à accepter la recommandation du médiateur », a décrit Stéphane Paré, conseiller syndical au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) par le biais d’un communiqué de presse. Le maire de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, François Robillard, a, quant à lui, refusé de partager ses commentaires.&nbsp;



« Nous souhaitons remercier la population de Sainte-Marthe-sur-le-Lac pour leur soutien pendant ce conflit de travail. Ce fut très apprécié par l’ensemble des salarié(e)s », rajoutent Johanne Parent, présidente du syndicat des cols blancs, et Marc-Antoine Lucas, président du syndicat des cols bleus.



Ce sont 75% des cols bleus qui ont voté en faveur de l’entente, suivi de 88% des cols blancs qui auront droit à une augmentation rétroactive de 14% pour les années 2020 à 2024. D’une autre part, l’entente prévoit des augmentations annuelles de 2,5% pour les années 2025 et 2026.&nbsp;



Le plancher d’emploi des cols bleus sera augmenté de 10 à 15 employés réguliers. Deux de ces postes seront dédiés au secteur de l’aqueduc et des égouts et deux autres postes de chauffeurs-opérateurs devront être comblés en cas de départ.&nbsp;



Quant aux cols bleus, le plafond hebdomadaire des heures de travail des commis aux prêts de la bibliothèque passera de 25 heures à 31,5 heures et les travailleurs surnuméraires et étudiants obtiendront une compensation de 8 % du salaire gagné en guise de compensation des bénéfices et avantages auxquels ils ne sont pas éligibles.&nbsp;

Il traverse le Canada à pied pour la recherche contre le cancer