La pandémie a été un véritable défi pour la directrice, qui a craint de voir tous les efforts de ses membres tomber à plat. «Les personnes présentant un TDL sont anxieuses, donc c’était difficile pour elles», confie-t-elle.
Qu’à cela ne tienne, l’équipe du centre a vite fait preuve de créativité. Une panoplie d’activités et de services sont désormais offerts en ligne. L’organisme, qui compte 150 familles membres, a même déployé deux plateformes pour mieux les desservir.
Et c’est un immense succès. «Il fallait se mobiliser, supporter nos membres et maintenir leur santé mentale», soutient Mme Filiatrault, qui pense sans cesse à de nouvelles initiatives. «En mars, on ira à la cabane à sucre pour accueillir les familles qui viendront chercher une boite repas», lance-t-elle fièrement.
(R.C.)
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