Sur tout le territoire de Saint-Eustache, les ventes-débarras sont permises, pour les résidents et résidentes, la première fin de semaine complète (samedi et dimanche seulement) des mois de mai, juin, août et septembre, entre 10 h et 19 h. Donc, les 3 et 4 septembre sont les dernières dates autorisées pour tenir une vente-débarras en 2022.



Vous trouverez toutes les informations concernant la réglementation municipale à respecter au sujet des ventes-débarras en consultant le site Web&nbsp;: <a href="/Communications/COMMUNICATIONS%20-%20dossiers%20partagés/COMMUNIQUÉS/2022/Communiqués%20usuels%202022/www.saint-eustache.ca/citoyens-habitation-et-permis/ventes-debarras">www.saint-eustache.ca/citoyens-habitation-et-permis/ventes-debarras</a>. On y indique, entre autres, les normes d&#8217;affichage, la procédure d’inscription pour les résidents et résidentes de Saint-Eustache qui veulent faire publier gratuitement leur vente-débarras sur la carte du site Web de la Ville, et comment consulter cette carte en ligne. Pour renseignements, vous pouvez aussi communiquer avec le SEM au 450 974-5000.

« Ce spectacle est pour nous une façon bien modeste, mais très sincère, de dire merci à toutes ces personnes qui ont tenu le fort, à bout de bras, au point culminant de la tempête, et qui, jour après jour, continuent de le tenir de façon admirable », d’expliquer le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, au cours d’un point de presse organisé devant la mairie de Saint- Eustache, où deux des membres du groupe Beatles Story Band, habillés et coiffés aux couleurs des années 1960 qui ont fait la renommée du célèbre ‘’Fab Four’’, ont donné un petit aperçu de ce qu’ils présenteront lors de ce spectacle.



Outre le maire Charron et les deux musiciens, ce point de presse a aussi réuni Raymond Tessier, conseiller municipal responsable des dossiers culturels, Nicole Carignan-Lefebvre, conseillère municipale responsable des dossiers communautaires, Josée Allard, chef de service à la direction des soins infirmiers à l’Hôpital de Saint-Eustache, Lyne Des Trois Maisons, directrice générale de la Fondation Hôpital Saint-Eustache, et des membres du personnel du Service des arts et de la culture de la Ville de Saint- Eustache qui offre un soutien pour cet événement.



Outre le Beatles Story Band, qui a la réputation de recréer « à la perfection l’esprit, le charme et le charisme » du mythique groupe, le Grand ensemble jazz de Saint-Eustache sera aussi invité à se produire sur scène afin d&#8217;assurer la première partie de ce spectacle.



ET PLUSIEURS CADEAUX AUSSI



Également, plusieurs cadeaux seront offerts au personnel de la santé et aux aidants naturels qu’ils soient présents ou non. « Tout le personnel de la santé qui recevra l’infolettre pourra également s’inscrire à un concours permettant de remporter plusieurs prix: une fin de semaine de repos à l’Oasis de l’Île : Hôtel et Refuge Urbain, des accès au spa et massages, ainsi que de nombreux chèques-cadeaux pour la billetterie de La petite église à Saint-Eustache. Il sera donc possible de participer au concours, même sans être présent au spectacle », de préciser Mme Carignan-Lefebvre.



Rappelons que l’accès à cet événement sera réservé seulement aux personnes détenant un billet. Le personnel de la santé de la région recevra d’ailleurs, si ce n’est déjà fait, une infolettre dans laquelle se trouvera un lien menant vers la réservation des billets.



Quant à eux, les aidants naturels pourront contacter le Service des arts et de la culture par téléphone, en composant le 450 974-2787 ou se rendre à la billetterie (275, rue Saint-Eustache) pour obtenir un maximum de deux billets par personne.



Les détenteurs de billets seront invités à se présenter dans les jardins du manoir Globensky le dimanche 11 septembre, dès 13 h 30, avec leur chaise et leur bouteille d’eau en prévision du spectacle qui débutera à 14 h 30. Ils pourront se stationner à l’arrière de Centre aquatique Saint-Eustache et du Complexe Walter-Buswell. En cas d’intempéries, le spectacle sera remis au dimanche 25 septembre.



Enfin, pour plus d’information, il suffit de communiquer avec le Service des arts et de la culture au 450 974-2787 ou d’écrire à l’adresse courriel artsetculture@saint- eustache.ca.



Pour visionner l’invitation : https:// fb.watch/eYF-dIG6rm/.

Le personnel de la santé et les aidants naturels invités à un spectacle exclusif

Il s’agit d’un seul événement avec trois visions différentes. Les policiers parlent de sécurité routière, les automobilistes de pouvoirs abusifs et la direction du circuit fermé ICAR de mauvaise stratégie policière. 



La Sûreté du Québec (SQ), en collaboration avec le Service de police de la Ville de Mirabel, ont réalisé une opération visait à effectuer de la prévention et un contrôle des véhicules modifiés, le 31 juillet dernier.&nbsp;&nbsp;



Les policiers ne cachent pas avoir ciblé un endroit stratégique pour passer à l’action, aux abords de l’autoroute 50, sur la rue Henri-Fabre, la route menant directement au circuit ICAR, endroit de prédilection pour les amateurs de conduite automobile qui veulent « essayer » en toute sécurité leur bolide, généralement modifié.&nbsp;



Une stratégie payante



Une stratégie payante pour les policiers qui, en quelques heures à peine, ont pu vérifier des centaines de véhicules puisque cette journée-là se tenait un événement où les amateurs de voiture s’étaient donnés rendez-vous ayant fait une grosse campagne de marketing sur les réseaux sociaux. « Plus de170 constats d’infraction ont été émis et des véhicules particulièrement dangereux ont été remisés pour des raisons de sécurité », a précisé la SQ.



« Les amendes données sont principalement pour des silencieux modifiés. Ces jeunes repartent après avec leur voiture et dérangent les habitants dans les quartiers résidentiels. Il est interdit de modifier son silencieux&nbsp;»,&nbsp;renchérit Jacques Caza, du Service de police de la Ville de Mirabel.



Colère sur les réseaux sociaux



Une stratégie frustrante pour les automobilistes qui n’ont pas hésité à exprimer leur colère sur les réseaux sociaux, la journée même et ça se poursuit. Des commentaires de toutes sortes inondent la page Facebook de « ICAR Route 66&nbsp;», accessible au&nbsp;<a href="http://www.facebook.com/Icarroute66">www.facebook.com/Icarroute66</a>.



« La police ne veut plus que nous allions à ICAR. Parfait, on fera nos courses et notre ‘’racing’’ dans les rues de Mirabel », écrit un internaute.



« Les policiers devraient surveiller ceux qui se promènent avec des bagnoles, pas de break, au lieu d’écœurer les jeunes fiers de montrer leur bébé sur 4 roues », ajoute un homme qui semble être un père de famille.&nbsp;



« Je vais garder mes distances d’ICAR car je ne veux pas avoir de contravention pour rien », de dire un jeune amateur de voiture ‘’montée’’.&nbsp;&nbsp;



Ce sont d’ailleurs des commentaires comme ce dernier qui choque ICAR estimant être le bouc émissaire.



« Nous voulons être très clairs, nous ne savions pas que cette opération devait avoir lieu et nous déplorons le fait que celle-ci ciblait directement notre clientèle causant ainsi des conséquences monétaires à nos clients et des répercussions négatives importantes sur le futur de notre entreprise », jure Élie Arsenault, le directeur d’ICAR Route 66.



Ce dernier croit que les policiers font fausse route. « Notre intention n’est nullement de discréditer les corps policiers mais plus de les sensibiliser sur l’approche qu’ils ont choisi, une approche que nous considérons plus destructive que constructive, qui nuit non-seulement à notre entreprise mais aussi à leur image auprès des jeunes. Pourquoi ne pas choisir la collaboration et la sensibilisation plutôt que l’oppression?», se demande-t-il.



Sensibilisation et collaboration



Le porte-parole de la police de Mirabel refuse ses reproches. « Dès le mois de mai, nous rencontrons les commerçants de la région pour les informer qu’il est interdit de modifier un silencieux. Nous réalisons des campagnes d’information et de sensibilisation, notamment sur Facebook, auprès des jeunes durant l’été, mais vient un temps où il faut passer à la répression si le message n’est pas compris », de dire M. Caza.&nbsp;



N&#8217;en demeure pas moins que la direction d’ICAR se pose de sérieuses questions&nbsp;: « Qu’est-ce qui se passe avec la campagne publicitaire; &#8221;Les rues ne sont pas une piste de course!&#8221; ? On envoie les gens qui écoutent, qui vont sur des pistes de courses, pour ensuite leur donner des milliers de dollars en contraventions parce qu’on fait une trappe à ticket en face de l’endroit même où on les envoie? ».&nbsp;



Peu importe, Élie Arsenault, espère qu’il s’agit d’un cas isolé et qu’au prochain événement tout se passera bien. Il est persuadé qu’il doit faire partie de la solution et non du problème.



« On s’entend, les courses et les modifications de voitures ne vont jamais disparaître. La seule chose qu’on peut contrôler, c’est l’endroit où les gens vont le faire ».



Dans une optique de police de proximité, les policiers soulignent avoir rencontré la direction d’ICAR dans le but d’entreprendre des campagnes de prévention au niveau de sa clientèle, notamment pour rappeler l’importance de se conformer au Code de la sécurité routière et de circuler sur le réseau routier avec un véhicule conforme et sécuritaire.



« Nous sommes toujours prêts à collaborer avec les corps policiers, que ce soit afin d’améliorer nos opérations ou sensibiliser nos clients à respecter les règles sur la route. En réalité notre passion c’est de donner à nos clients un endroit où ils peuvent vivre la leur ».&nbsp;



Notons que depuis la fermeture de l’Autodrome St-Eustache, à l’automne 2019, ICAR Route 66 est l’un des derniers endroits de la province où les passionnés de sports motorisés peuvent « pousser à fond leur machine pour connaître ses limites » de manière sécuritaire.

Ventes-débarras permises à Saint-Eustache les 3 et 4 septembre 2022￼

Ventes-débarras permises à Saint-Eustache les 3 et 4 septembre 2022