
<h2><strong>Création d’une bande dessinée en réalité augmentée</strong></h2>



<p>À l’école Val-des-Ormes, Mme&nbsp;Julie Godin a guidé ses élèves de 5ᵉ&nbsp;année dans la création de bandes dessinées multimodales, intégrant des éléments de réalité augmentée. Leur travail, acclamé sur le site de L’École branchée, peut être revécu grâce au parcours d’autoformation « La création BD augmentée » disponible sur Caméléon.tv, comprenant toutes les ressources et explications vidéo nécessaires.</p>



<h2><strong>Production d’un récit littéraire augmenté</strong></h2>



<p>À l’école Curé-Paquin, Mme&nbsp;Nadia Bruno a dirigé un projet où ses élèves de 6ᵉ&nbsp;année ont combiné les arts plastiques et le français pour créer des « oiseaux hybrides » dans un récit littéraire augmenté. Leur projet a été présenté sur le site de L’École branchée et en vidéo sur Caméléon.tv sous le titre « Les oiseaux hybrides ».</p>



<h2><strong>Une source d’inspiration</strong></h2>



<p>Julie Godin et Nadia Bruno ont partagé leur expertise lors de la dernière édition de l’Association Québécoise des Utilisateurs d’Outils technologiques à des fins Pédagogiques et Sociales (AQUOPS), inspirant la communauté éducative du CSSMI. Leur contribution est chaleureusement félicitée pour son impact éducatif.</p>



<p>Alloprof a visité de nombreuses écoles à Québec, Montréal, Laval et en Montérégie pour présenter aux élèves divers outils pratiques et gratuits afin de les aider à comprendre la matière et à se préparer efficacement pour leurs examens.</p>



<h2><strong>Impact des outils Alloprof durant les cours d’été&nbsp;2023&nbsp;:</strong></h2>



<p>&#8211; 525 000 interventions auprès des élèves</p>



<p>&#8211; 55 000 demandes traitées dans la Zone d’entraide (augmentation de 50&nbsp;% par rapport à l’année précédente)</p>



<p>&#8211; 250 000 fiches notionnelles consultées sur le site web</p>



<p>–&nbsp;Les mathématiques et le français sont les matières les plus demandées</p>



<p>Pascal Bonaldo, gestionnaire des services aux élèves d’Alloprof, souligne&nbsp;: « Apprendre qu’on doit suivre des cours d’été ou faire des examens de reprise peut être difficile pour les élèves, augmentant leur sentiment d’échec et diminuant leur confiance en eux. Notre équipe valorise leur persévérance et leur fournit les meilleures ressources pour bien comprendre la matière. »</p>



<h2><strong>Outils spécifiques pour les examens du ministère</strong></h2>



<p>Alloprof propose divers exercices, fiches, vidéos et aide-mémoire pour maîtriser les concepts des examens du ministère. Les élèves peuvent poser leurs questions via clavardage, texto ou téléphone du lundi au jeudi de 17&nbsp;h à 20&nbsp;h et le dimanche de 14&nbsp;h à 17&nbsp;h. Le site web offre des exercices, des simulations d’examen et des vidéos MiniRécups pour valider la compréhension. Pour l’épreuve de français de 5e&nbsp;secondaire, une séance d’aide est disponible sur YouTube et TikTok.</p>



<h2><strong>Prévenir la perte d’apprentissages estivale</strong></h2>



<p>Alloprof reconnaît l’importance des vacances d’été pour se reposer, mais souligne que cette période peut aussi entraîner une perte d’acquis scolaires, connue sous le nom de « glissade de l’été ». Pour prévenir cela, Alloprof propose des activités pour que les enfants s’amusent tout en maintenant leur cerveau actif.</p>


Alloprof prolonge sa période de cours d’été et de reprises d’examen


<p>Cette annonce provinciale a été dévoilée lors d’une conférence de presse tenue au poste du Service de police de la Ville de Blainville, en présence du directeur de la cellule locale, Yves Tessier, du directeur du Service de police de la Ville de Québec et vice-président de l’ADPQ, ainsi que du directeur général des directeurs de police, Didier Deramond, et de la mairesse de l’endroit, Liza Poulin.&nbsp;</p>



<p>Donnant la parole à des policiers en exercice, la vidéo tournée par l’équipe du Service de police de la Ville de Québec permet d’en apprendre un peu plus sur le travail des policiers, ce que souhaite vivement l’ADPQ.&nbsp;</p>



<p>Il s’agit de la 14<sup>e</sup>&nbsp;capsule vidéo enregistrée en vue d’être diffusée publiquement.&nbsp;</p>



<p>En plus de faire découvrir le quotidien d’un policier et accroître les comportements sécuritaires des citoyens, l’ADPQ veut rehausser la fierté de ses membres et laissant voir l’humain derrière l’uniforme, souvent masqué par les rappels à l’ordre.&nbsp;</p>



<p>Au cours de la dernière année, l’ADPQ a lancé le projet de produire une dizaine de capsules vidéo afin de valoriser la fonction de policier, surtout que les candidatures sont moindres que par le passé.</p>



<p>C’est que ces agents de l’ordre jouent un rôle crucial pour garantir que chacun puisse profiter de ces événements en toute tranquillité et en toute sécurité, rappelle-t-on.&nbsp;</p>



<h2><strong>Festivals et sécurité</strong></h2>



<p>Annuellement, pas moins de 300 festivals et événements festifs se tiennent dans la Belle Province.&nbsp;</p>



<p>« Au cœur de ces festivités, les services de police sont présents pour prévenir les actes criminels et les désordres publics, pour assurer la sécurité des participants, des organisateurs et des artistes, faciliter la circulation routière et piétonnière autour des lieux, fournir une assistance immédiate en cas d’urgence médicale ou d’incidents », a indiqué Didier Deramond.</p>



<p>Et le travail des policiers ne se limite pas à l’interventionnisme, mais est minutieusement préparé et planifié dans les moindres détails&nbsp;: circulation, points d’accès, évaluation des risques et divers scénarios d’urgence, ont laissé savoir les directeurs des corps policiers présents.&nbsp;</p>



<p>Même en région, leur travail n’est pas si simple comme le faisait remarquer le directeur de la Régie de police du Lac des Deux-Montagnes, Patrick Denis. Les effectifs étant moindres, les policiers outrepassent souvent leur horaire normal afin d’assurer une présence policière lors d’événements festifs le week-end et en soirée. « Ce qui exige une grande implication de leur part », souligne M. Denis.&nbsp;</p>



<p>Rappelons que la formation d’un agent de police relève d’un programme technique collégial de trois ans offerts par huit cégeps à travers le Québec. Et le directeur du SPVB assure que les étudiants sont désormais mieux préparés à intervenir en situation de crise. </p>


CSSMI : Deux projets innovants pour créer et développer la compétence numérique

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