«Nous sommes ravis d’avoir l’occasion d’élargir nos activités et de renforcer notre présence au Québec, a déclaré Hugues Nepveu, marchand-propriétaire du Centre de rénovation St-Augustin. En plus d’offrir un service amical et compétent, nous sommes fiers d’offrir des prix concurrentiels et des produits de qualité.»
Hugues et Isabelle se sont joints à la bannière Home Hardware il y a sept ans et continuent de faire croître leur entreprise de façon dynamique. Le Centre de rénovation St-Augustin est leur cinquième magasin. Leurs quatre autres emplacements sont situés à Brownsburg-Chatham, L’Épiphanie, Laval (Fabreville) et Sainte-Marthe-sur-le-Lac.
Combinés, leurs cinq centres de rénovation disposent d’aires de vente de 75 000 pieds carrés, d’entrepôts de 85 000 pieds carrés et de cours à bois extérieures de 300 000 pieds carrés. Ils ont également un parc de 15 camions de livraison.
«Nous tenons à féliciter Hugues et Isabelle pour leur nouvel emplacement, a déclaré Mario Durocher, directeur des opérations pour le Québec. L’acquisition du Centre de rénovation St-Augustin leur permet de renforcer leur présence sur la Rive-Nord de Montréal.»

« Quelle belle opportunité de redonner à la société tout en adressant notre problème de main d’œuvre ! », lance d’emblée Julie Gamache, directrice des Ressources humaines chez Plaisirs gastronomiques. C’est elle qui a eu l’idée de contacter Intégration Travail Laurentides, organisme membre du Regroupement des organismes spécialisés pour l’emploi des personnes handicapées (ROSEPH), dont la mission est justement d’assurer l’intégration, le suivi et le maintien en emploi des personnes en situation d’handicap.
« Les emplois que nous avons à offrir sont non spécialisés. Il est donc plus facile de s’y adapter. La plupart ont commencé à temps partiel, à deux ou trois jours semaines, avec des horaires différents. Grâce à l’assurance qu’ils ont gagnée, la majorité sont aujourd’hui à quatre ou cinq jours par semaine et sont tout aussi fonctionnels que n’importe quel employé », explique Julie Gamache.
Des qualités essentielles
Les personnes souffrant d’un handicap sont souvent laissées à elles-mêmes lorsqu’elles atteignent l’âge de 21 ans. Pourtant, elles sont aptes à travailler, mais les entreprises hésitent à les embaucher de peur de se retrouver avec un problème plutôt qu’une solution. Toutefois, s’ils sont bien accompagnés, qu’ils effectuent au départ des tâches non contraignantes, il n’en est rien, estime Julie Gamache.
« Ce n’est pas tout de les accueillir, mais il faut qu’ils restent et qu’ils soient présents au travail. Ces gens sont si reconnaissants que leur assiduité est impeccable et que leur fierté au travail est bien présente ! »
Mettre un couvercle ou des produits dans des boîtes, déballer des produits et ramasser sont au nombre des tâches qui leur sont confiés, au départ.
« Lorsque le contremaître voit que la personne a une certaine habileté ou que celle-ci vient le voir pour lui demander d’effectuer des tâches plus difficiles, on regarde ce que l’on peut faire de façon à répondre à leurs limitations ou à leur donner de petites victoires. »
Quant aux employés qui les entourent, ils deviennent plus tolérants et inclusifs. Tous y gagnent quelque chose.
« Ça amène une tout autre dynamique dans l’entreprise ! Et nous n’avions pas le choix, il fallait trouver des solutions qui sortaient de l’ordinaire. L’inclusion fait partie de nos valeurs chez PG. Ça allait donc de soit », de dire Mme Gamache qui a aussi récemment procédé à l’embauche de 28 Malgaches pour combler des besoins de main-d’oeuvre. Une vingtaine d’autres travailleurs sont attendus.
ROSEPH
C’est « un coup de foudre professionnel », rien de moins, qui a rejailli de la relation qui s’est développée entre Plaisirs gastronomiques et le Regroupement des organismes spécialisés pour l’emploi des personnes handicapées (ROSEPH) au fil des mois.
De nombreuses rencontres entre les deux parties, tout comme des visites de lieux, ont précédé l’embauche. On voulait s’assurer des deux côtés que le profil des employés recommandés convenait.
« J’ai rencontré plusieurs entreprises depuis cinq ans qui ont embauché une ou deux personnes. Mais du côté de Plaisirs gastronomiques, nous sommes en communication constante à savoir quand aura lieu la prochaine cohorte d’entrevues », explique Jocelyne Labelle du ROSEPH. Pour elle, tout commence par une volonté de la direction de régler une problématique.
« À partir de là, on passe à l’action, lance Mme Labelle. Depuis septembre, poursuit-elle, nous sommes rendus à huit cohortes chez Plaisirs gastronomiques, avec une moyenne de trois ou quatre embauches par cohorte. C’est incroyable ! Un beau succès ! »
Pour en savoir plus ou postuler, il suffit de visiter le <a href="http://i-tl.org">i-tl.org</a> ou encore la section « carrières » de la page Facebook de Plaisirs gastronomiques.

PG a trouvé une solution au manque de main-d’oeuvre

L’entente en question a été ratifiée lors d’assemblées qui se sont déroulées du 8 au 12 mars dernier. Entré en vigueur le 30 mars suivant, ce contrat de travail touche plus de 130 employés syndiqués de ce commerce, selon les informations fournies par Roxane Larouche, représentante nationale pour TUAC Canada.
Quatrième convention à être négociée depuis que les employés de cet établissement se sont syndiqués avec les TUAC 500 en décembre 2003, celle-ci inclus notamment la création d’une structure salariale qui prévoit des augmentations pour les salariés en progression et au maximum des échelles; la création du statut d’emploi de salarié régulier flex 32/40 heures; l’affichage de quatre postes de salariés réguliers flex 32/40 heures; l’introduction de la semaine réduite de travail; ainsi que l’introduction d’une cinquième semaine de vacances après 17 années de service.
<h3>Un président de syndicat satisfait</h3>
«Je suis très heureux de la ratification de ce contrat de travail par nos membres TUAC 500. En faisant preuve de solidarité, le comité de négociation a démontré, encore une fois, notre engagement à défendre la qualité des emplois et l’amélioration des conditions de travail pour nos travailleurs et nos travailleuses», de faire savoir le président des TUAC 500, Antonio Filato.
Notons, au passage, que le syndicat des TUAC 500 a également conclu, en mars dernier, un autre contrat de travail de sept ans dans un autre magasin d’alimentation Metro de la région des Laurentides, plus précisément au Metro Dominic Potvin, situé à Mont-Tremblant.
Rappelons, enfin, que le syndicat des TUAC se veut le plus important syndicat de l’alimentation et du commerce de tout le Québec avec plus de 55 000 membres, dont 2 617 sont regroupés au sein de la section locale 500 dans la région des Laurentides. Au Canada, 250 000 travailleurs sont membres des TUAC et au-delà de 1,3 million en Amérique du Nord.

Un nouveau contrat de travail chez Alimentation François Éthier

Le Centre de rénovation St-Augustin change de mains

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