Ce défi permet aux jeunes innovateurs de lancer leur «start-up» avec un mandat durable. C’est un tremplin pour les futurs entrepreneurs dans le secteur de l’eau. Ceux-ci courront la chance de remporter jusqu’à 20 000 $ en fonds de démarrage.
«Nous nous réjouissons de revenir dans notre chère province québécoise afin de présenter, en collaboration avec le C.I.EAU, notre 9e édition du Défi AquaHacking. J’invite tous les jeunes innovateurs intéressés à trouver des solutions technologiques innovantes aux enjeux de la rivière des Milles Îles à visiter le site web d’AquaHacking [<a href="http://aquahacking.com">aquahacking.com</a>] pour en savoir plus», souligne Désirée McGraw, P.D.G d’Aqua Forum.
«L’impact d’un projet aussi novateur sur le bassin versant de la rivière des Mille Îles contribuera à la préservation de l’eau, tant d’un point de vue qualitatif que quantitatif. Le C.I.EAU est confiant que cette compétition permettra de faire des avancées prometteuses pour la protection de l’eau au Québec», ajoute Brigitte Bérubé, présidente du Centre d’interprétation de l’eau.
En préparation de cette compétition, <a href="https://bit.ly/34Gua46">un appel à enjeux</a> a été adressé auprès des différents acteurs de l’eau de la région qui auraient des besoins en solutions technologiques et durables. Le lancement officiel du Défi AquaHacking avec l’annonce des enjeux aura lieu en janvier 2021. Les dates officielles seront diffusées sous peu dans les réseaux respectifs des deux organisations responsables.
Cette initiative a été créée par la Fondation de Gaspé Beaubien, est propulsée par la Fondation RBC et se déroule avec le soutien financier du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, dans le cadre du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité.
«La rivière des Mille îles est une richesse pour les Lavallois, de même que pour les citoyens des Basses-Laurentides et de la communauté urbaine de Montréal. Je suis fier que le Fonds régions et ruralité aide à soutenir des projets de mise en valeur de cet endroit à découvrir», souligne le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, Benoit Charette.

«Pour moi, c&#8217;est une passion, c&#8217;est un mode de vie», dit d&#8217;emblée l&#8217;entrepreneure qui a fait du créneau rétro sa grande spécialité.
Un parcours hors du commun
Diplômée en design de mode du Collège LaSalle, Mme Therrien évolue dans ce domaine depuis 1998. Propriétaire pendant neuf ans de la boutique Scarlett, située à Montréal, elle a décidé en 2014 de se lancer à nouveau en affaires. Une démarche qui lui a valu, en avril 2015, l&#8217;obtention d&#8217;un prix dans la catégorie «Commerce» lors de la 17e édition du Concours québécois en entrepreneuriat, secteur MRC Matawinie, dans Lanaudière. Karine Therrien, qui habitait à l&#8217;époque à Chertsey, a accueilli cette reconnaissance avec grande fierté. Ainsi est née la Boutique Flamingo.
«J&#8217;ai remarqué qu&#8217;il y avait, encore plus qu&#8217;au début des années 2000, un engouement pour le vintage, le style pin-up, le rockabilly, et tout ce qui est ancien», souligne la femme d&#8217;affaires, qui vit maintenant à Sainte-Sophie.
Elle a d&#8217;abord choisi d&#8217;aller directement à la rencontre de sa clientèle. Puis, son projet a pris de l&#8217;ampleur, si bien qu&#8217;elle a décidé de s&#8217;installer au Marché aux puces Saint-Eustache, y allant d&#8217;une proposition résolument différente.
Des clients de partout au Québec 
La Boutique Flamingo offre plusieurs collections de vêtements et d&#8217;accessoires pour hommes et femmes inspirées des années 1950, du look rétro et de la scène rockabilly. Certains adoptent le style au quotidien, d&#8217;autres pour des occasions spéciales, comme des mariages ou des bals de finissants. Du XS au 4XL, toutes les silhouettes y trouvent leur compte.
Son concept unique attire une clientèle de partout au Québec. L&#8217;entrepreneure se réjouit d&#8217;ailleurs d&#8217;avoir franchi le cap des 7 500 J&#8217;aime sur sa page Facebook @boutiqueflamingovintage. Il faut dire qu&#8217;elle consacre beaucoup d&#8217;énergie à la gestion de cette page qui est devenue, encore plus dans le contexte actuel, une vitrine incontournable pour ses différentes collections.
&nbsp;

Boutique Flamingo: incursion dans l’univers rétro

Et à la tête de cette équipe de six femmes, il y a les copropriétaires Cynthia Simoneau et Nathalie Sabourin, qui font équipe depuis 2002, année où elles ont racheté le commerce que la propriétaire d’alors, Marie-Denise Côté, avait ouvert quelques années plus tôt, en 1996. Une association qui a d’ailleurs vu le jour par hasard puisque les associées ne se connaissaient même pas à l’époque.
Un changement de carrière
«J’ai d’abord étudié en tourisme et travaillé dans le domaine pendant que j’étais au Collège Montmorency, notamment à l’hôtel Hilton, à Laval. J’y ai acquis une grande expérience en management. C’est à ce moment que j’ai su que j’avais ce qu’il fallait et que voulais avoir un jour mon propre business. Je ne savais juste pas dans quoi», de résumer Cynthia Simoneau, une native d’Asbestos, une ville en Estrie maintenant connue sous le nom de Val-des-Sources.
La jeune femme décide alors de se tourner vers la massothérapie et les soins de corps en suivant une formation à l’École d&#8217;esthétique et d&#8217;électrolyse France Laure, à Montréal. C’est là qu’on lui parle de Marie-Denise Côté qui souhaite se départir de son commerce à Deux-Montagnes. De fil en aiguille, Cynthia Simoneau, alors âgée de 28 ans, la rencontre, et fait par la même occasion la connaissance de Nathalie Sabourin qui, déjà, travaille là comme esthéticienne. Cette dernière se montre intéressée à avoir des parts dans l’entreprise et les deux femmes conviennent d’aller de l’avant ensemble dans cette acquisition.
<h3>Un endroit chaleureux et confortable</h3>
Une association qui s’est avérée plus qu’heureuse. Depuis, la gamme de services offerts au départ, tout comme l’équipe, se sont en effet élargies et la Maison de beauté En toute simplicité a également agrandi ses espaces là où elle loge depuis les tout premiers débuts, au 1607-A, chemin d’Oka, à Deux-Montagnes. Pour une, Cynthia Simoneau, au fil des ans. a notamment ajouté à ses cordes la podologie, devenue sa spécialité.
«Nous avons voulu créer un endroit chaleureux et confortable, tant pour les employées que les clientes. Ce n’est pas stressant que de venir ici. Pas besoin d’être tirés à quatre épingles Les gens viennent ci pour se faire plaisir, pour se sentir bien. Durant notre fermeture, au printemps dernier, pendant trois mois, qui a été difficile pour nous, on s’est cependant demandé si l’esthétisme avait encore sa place. Les gens sont toutefois de retour, et même plus qu’avant puisque certaines places, comme chez Mathers, ont fermé», d’indiquer Cynthia Simoneau qui est d’avis que sa clientèle, féminine à 65 % et masculine à 35 %, voudra profiter du temps des Fêtes pour s’offrir ou offrir à un proche un moment de détente fort bien mérité.
Pour en savoir davantage sur Maison de beauté En toute simplicité, les services, cadeaux et forfaits offerts, il suffit de consulter le [<a href="http://www.mbsimplicite.com">www.mbsimplicite.com</a>].

Lancement du Défi AquaHacking pour la rivière des Mille Îles