Dans les Laurentides, 57 conférences sont présentées. Ce sont ainsi des centaines d’élèves et d’étudiants qui ont l&#8217;occasion de rencontrer un entrepreneur de leur communauté. Cette belle participation des milieux scolaires et économiques est à souligner dans un contexte où la motivation scolaire et l’importance des entreprises d’ici sont plus que jamais d’actualité.
Un aperçu des conférences à venir dans la région
Le 16 nov. Centre de formation agricole de Mirabel | Éléonore Macle d’Intermiel
Le 17 nov. École Polyvalente Saint-Joseph | Erik Tardif de la charcuterie Les Bucherons
Le 18 nov. École primaire Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus | Frédéric Turgeon Savard et Léandre Chagnon de la ferme coopérative La Roquette
Le 18 nov. École secondaire Augustin-Norbert-Morin | Alex Filion de Performance Boardshop
Derick Fonseca, fondateur de l’entreprise de marketing Le Bon Plan, participe à nouveau cette année. En plus de l’École secondaire de Mirabel, il visitera la Polyvalente Sainte-Thérèse et la Polyvalente Jean-Jacques-Rousseau qu’il a fréquentées.
«Les conférences me permettent de transmettre ma passion à des jeunes en recherche d&#8217;identité et de motivation durant une période très difficile de leur vie. En participant à la semaine des entrepreneurs dans des écoles que j&#8217;ai déjà fréquentées, il est plus simple pour moi de me mettre à leur place et les comprendre», dit-il.
À propos de la Semaine des entrepreneurs à l’école
La Semaine des entrepreneurs à l’école est une réalisation d’OSEntreprendre et une initiative de la Caisse de dépôt et placement du Québec, appuyée par le Gouvernement du Québec. Dans les Laurentides, le Carrefour jeunesse-emploi de Mirabel est l&#8217;organisme mandataire qui coordonne l&#8217;évènement en collaboration avec les Carrefours jeunesse-emploi de Deux-Montagnes, Thérèse-de Blainville, Rivière-du-Nord, Pays-d’en-Haut, Laurentides et Zone emploi.

Dans le contexte unique de pandémie et de crise économique qui touche le Québec et le monde, il est essentiel de comprendre ce qui permet aux entreprises du Québec de planifier l’avenir et d’activer la relance. C’est dans cet état d’esprit que QuébecInnove, en collaboration avec le Fonds de solidarité FTQ, Ernst &amp; Young LLP (EY Canada) et la Commission des partenaires du marché du travail, rend publique la deuxième édition de l’enquête de Léger sur les PME et l’innovation réalisée auprès de plus de 710 dirigeants de PME du Québec, dont 56 dans les régions des Laurentides et de Lanaudière. Les résultats apportent un éclairage unique sur l’impact de la pandémie, sur l’état de l’innovation et sur les transformations que la crise a pu accélérer.
«Les PME du Québec ont été affectées par la pandémie, mais l’innovation semble être un des facteurs qui explique leur résilience. La crise actuelle accélère les changements technologiques et organisationnels au sein des PME. Plus que jamais, les PME sont conscientes de la valeur de l’innovation pour elles, pour leur croissance et pour leur avenir. La collaboration demeure toutefois la clé du succès pour elles. L’enquête nous démontre également que plus elles sont structurées en matière de gouvernance et mieux elles s’entourent, plus les PME réussissent à innover. À nous tous de trouver des solutions adaptées pour que cette culture de l’innovation soit présente chez encore plus d’entreprises», fait valoir la présidente-directrice générale de QuébecInnove, Isabelle Foisy.
Des transitions importantes en cours
Selon l&#8217;étude, 42% des PME de la région ont fait évoluer leur modèle d’affaires en raison de la crise et 67 % d&#8217;entre elles ont accéléré des projets de numérisation. D&#8217;ailleurs, dans les Laurentides et Lanaudière, une entreprise sur trois (35 % très exactement) estime avoir vu leurs ventes en ligne augmenter, le plus haut total au Québec.
Ajoutons que 34% affirment avoir intégré davantage de composantes locales dans leurs chaînes d’approvisionnement, un taux nettement supérieur à la moyenne québécoise.
L’innovation : un moteur et des défis 
Au cours de la dernière année, trois entreprises sur quatre indiquent avoir développé un projet concret en innovation dans les Laurentides et Lanaudière. Il s’agit d’une nette augmentation comparativement à 2019 (53 %). De ce nombre, 40% des PME mentionnent avoir développé un nouveau produit ou service et 24% parlent de projets créés en raison de la COVID-19.
Les investissements moyens en recherche et développement et en innovation sont d&#8217;ailleurs à la hausse. Ils représentent 5,7 % du chiffre d&#8217;affaires cette année, alors qu&#8217;ils étaient estimés à 4,2 % l&#8217;an passé.
Les défis ne sont pas moins importants pour autant. Parmi ceux-ci, on note la modernisation des équipements et l&#8217;embauche de main-d&#8217;oeuvre spécialisée.
Pour en savoir plus, les faits saillants et l’analyse des résultats nationaux, tous les résultats régionaux ainsi que le rapport complet de l’étude Léger Les PME et l’innovation en temps de pandémie sont disponibles sur le site Web de QuébecInnove au <a href="http://www.quebecinnove.com/enquete2020/">http://www.quebecinnove.com/enquete2020/</a>.

Une crise qui accélère les transitions

«J’ai toujours œuvré dans le domaine de l’esthétisme de l’automobile. D’abord, comme laveur d’autos. Après, j’ai travaillé pour différentes compagnies, dont une qui effectue de la sous-traitance dans des concessionnaires automobiles, notamment chez HGrégoire. Et j’ai finalement décidé d’aller de l’avant avec ma propre entreprise», raconte l’homme âgé aujourd’hui de 34 ans. Celui-ci a donc déniché, en septembre 2019, les locaux d’un commerce qui avait fait faillite au 509, boulevard Antoine Séguin, à proximité de la rue Dubois, tout près des concessionnaires automobiles.
Marouane Sdiri insiste sur le fait que Perfoclean n’est pas un lave-auto où l’on travaille à la chaîne. «Notre objectif, c’est d’offrir des services de qualité et c’est ce que les gens de Saint-Eustache recherchent. Pour cela, nous utilisons les meilleurs produits sur le marché, avec des équipements qu’on ne retrouve pas nécessairement pas dans tous les laves-autos», précise l’homme d’affaires et nouveau papa d’un premier enfant.
<h3>Une panoplie de services</h3>
Sur place, Marouane Sdiri et son équipe offrent donc une panoplie de services sur mesure, qu’il s’agisse d’effectuer tout simplement un lavage extérieur, mais aussi, entre autres choses, de procéder à un shampoing intérieur ou à une décontamination à l&#8217;ozone pour enlever les mauvaises odeurs ou encore de voir à la correction et à la protection de la peinture. Et selon la saison, différents forfaits esthétiques sont offerts.
D’ailleurs, avec l’arrivée de l’hiver, Marouane Sdiri conseille de bien préparer sa voiture avec l’application d’un revêtement protecteur, comme une simple cire, et d’un revêtement pour pare-brise Aquapel qui améliore considérablement la visibilité par temps de pluie, neige et verglas. Et, enfin, il faut nettoyer le plus régulièrement possible l’extérieur de sa voiture pour en enlever les résidus de calcium, ce qui permettra de conserver la carrosserie en bonne condition.
Comme on est à même de le constater, une fois entre les mains de Perfoclean, votre voiture sera traitée, soyez-en certain, aux petits oignons et en ressortira rayonnante de beauté!

La Semaine des entrepreneurs à l’école bat son plein