Rappelons que les 12 photos qui illustrent le calendrier municipal 2021 ont été sélectionnées en novembre 2020 par un jury composé de fonctionnaires et d’élus.
Habituellement, le conseil municipal reçoit les photographes dans la salle municipale, afin de leur remettre leurs clichés encadrés et de dévoiler la photo sacrée «coup de cœur». Pandémie oblige, cette cérémonie a été remplacée par une remise de photo à domicile et la tenue d’une rencontre virtuelle.
Une photo coup de cœur de circonstance
De façon unanime, le jury a sacré la photo illustrant le mois d’avril 2021 comme photo coup de cœur. Empreint d’innocence et d’espoir, ce cliché démontrant un garçon tenant un bouquet de ballons multicolores dessinés à la craie sur l’asphalte est l’incarnation du mouvement «ça va bien aller», lancé au tout début de la pandémie en mars 2020. La citoyenne joséphoise Patricia Larose a reçu des chèques-cadeaux équivalant à 250 $ à dépenser dans les commerces de Saint-Joseph-du-Lac pour sa participation.
Le maire de Saint-Joseph-du-Lac, Benoit Proulx, tenait à souligner la participation de tous les citoyens au concours de photos. «Le conseil municipal et moi sommes toujours ravis de voir notre belle municipalité au travers du regard de nos citoyens. Je tiens à féliciter Mme Larose pour son cliché gagnant ainsi que tous les participants à l’édition 2020 du concours. J’ai hâte de voir ce que la population nous réserve pour 2021!»
Concours 2021: «Notre patrimoine»
Le concours de photos 2021 de la Municipalité de Saint-Joseph-du-Lac se poursuit jusqu’au 31 octobre 2021, sous le thème «Notre patrimoine». Les photographes de niveau amateur ou professionnel sont invités à soumettre leurs photos par le biais du formulaire en ligne sur le site [<a href="http://www.sjdl.qc.ca/concours">www.sjdl.qc.ca/concours</a>].

D’abord, le lectorat qu’elle s’était gagné avec Émeraude, premier tome d’une série appelée Gemme, sera sûrement heureux d’apprendre la sortie, prévue le 3 mars, d’un deuxième opus intitulé Améthyste, toujours aux éditions Andara, une maison blainvilloise spécialisée dans la littérature jeunesse.
Les lecteurs de 13 ans et plus y retrouveront le personnage de Caroline, plongée dans cet univers fantastique dont elle a pu voir se dessiner les contours, dans Émeraude, après qu’elle eut posé le pied à Rivière-du-Loup, pour se retrouver au cœur d’un étrange triangle amoureux.
Il est question d’amour, de pouvoir mystérieux et d’épreuves à surmonter dans ce roman de 384 pages qui en annonce un autre, bien évidemment, puisqu’il s’agit d’une trilogie. Apprenez-en davantage en vous rendant sur le site [andara.ca].
<h3>Le Sentier</h3>
Geneviève Boucher est aussi attachée à la maison longueuilloise Luzerne Rousse, spécialisée dans la littérature jeune adulte, avec qui elle a publié un premier roman-feuilleton, intitulé Le Briseur d’os, dans le cadre du Feuilleton des pousses, un exercice né de la présente pandémie et qui se destine à promouvoir malgré tout, et de façon originale, le talent des auteurs québécois.
Cette fois, Geneviève Boucher fait équipe avec sa fille de 16 ans, Charlie Gagnon, dans l’écriture d’un feuilleton intitulé Le Sentier, dont l’action se déroule à Saint-Eustache. On y parle de la  rencontre de deux jeunes gens, David et Rachelle. Le premier s’est littéralement remis à vivre en croisant la route de la seconde. À quel point sont-ils liés?
Voilà ce que vous découvrirez en vous abonnant à ce feuilleton qui, tel que son nom l’indique, vous parviendra par tranches, une fois par mois, pendant tout une année.
<h3>Les Bellatrices</h3>
Le nom de Geneviève Boucher apparaît aussi sur le premier tome d’une nouvelle série appelée Les Bellatrices, également publiée aux Éditions Luzerne Rousse. Encore une fois, on voyage du réel au fantastique, en mêlant l’amour et la violence, dans une histoire qui se déroule à Montréal, où la police tente de piéger un tueur en séries. Mais voilà, ce meurtrier n’est pas humain et il faudra l’intervention des Bellatrices, des chasseuses de démons créées par les anges pour protéger l’humanité, dont l’avenir est en péril.
Ce premier tome s’intitule L’âme du semi-démon et le bouquin a été lancé virtuellement le 12 février. Pour en savoir davantage, visitez le site [<a href="http://www.luzernerousse.com">www.luzernerousse.com</a>] ou rejoignez l’auteure sur sa page [<a href="http://www.facebook.com/Genevieveboucherauteure/">www.facebook.com/Genevieveboucherauteure/</a>].

Deux nouveaux titres et un feuilleton pour Geneviève Boucher

Claude Savignac était l’un de ceux-là et il a fait le grand tour du Québec, avant de ne pas remiser sa guitare, puisque l’auteur-compositeur-interprète eustachois a toujours un projet musical dans ses cartons.
Ces jours-ci, il pousse aussi fort qu’il peut sur le premier extrait d’un micro album à paraître incessamment, sous le titre Le goût du vent. La chanson qu’il promeut et qui est disponible sur toutes les plateformes possibles s’intitule J’ai ce que tu veux (Pauline), sorte de «déclaration de confiance» d’un bipède à sa bien-aimée. Le tout s’appuie sur une bonne grosse ligne de guitare rauque’n roll et s’écoute à répétition en dodelinant du chef.
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On vous l’a dit, il s’agit d’un premier extrait, dont le principal intéressé indique qu’il a résolument pris son envol, en espérant, dit-il, «qu’il atterrisse en lieu sûr». Auparavant, Claude Savignac a mis son paraphe sur trois autres albums : La bohême (1998), Où dans l’univers? (2013) et Voler haut (2016).

Saint-Joseph-du-Lac: les gagnants du concours de photos 2020 honorés