Comme toutes les îles méditerranéennes, les Baléares ont eu leur part d’invasions, de guerres, de prospérité et de famine. Elles furent longtemps le théâtre d’affrontement entre l’islam et la chrétienté.



Les Baléares ont traversé les siècles au rythme des différentes civilisations qui lui ont donné sa splendeur, son authenticité et un patrimoine culturel et historique impressionnant.



Avec son climat ensoleillé, ses plages de sable blanc, ses eaux cristallines, ses paysages sauvages, sa gastronomie, sa douceur de vivre et sa vie festive, les Baléares attirent chaque année des millions de visiteurs en quête d’évasion et de dépaysement, et Daniel Drion saura vous mener pour un voyage dans ces belles méditerranéennes.



<figure class="wp-block-embed is-type-video is-provider-vimeo wp-block-embed-vimeo wp-embed-aspect-16-9 wp-has-aspect-ratio"><div class="wp-block-embed__wrapper">
<iframe loading="lazy" title="Baléares_Extrait_GE2425" src="https://player.vimeo.com/video/926264973?dnt=1&amp;app_id=122963" width="580" height="326" frameborder="0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture; clipboard-write; encrypted-media"></iframe>
</div><figcaption>La bande-annonce du film « Les Baléares : Les belles méditerranéennes ».</figcaption></figure>



<h2>Rendez-vous avec Daniel Drion</h2>



Voyageur, navigateur, narrateur passionné, Daniel Drion partage ses passions par l&#8217;image et l&#8217;écriture. Riche d’un parcours atypique, Daniel Drion traverse la vie au gré de ses passions.



C’est d’abord la découverte de l’Afrique, durant dix années, en immersion totale au cœur des forêts tropicales, qu’il sera planteur. Une expérience unique qui lui apportera la maîtrise de deux langues indigènes, une grande connaissance de l’Afrique centrale et de ses peuples.



De retour en Europe, il réalisera par la suite l’un de ses rêves : un tour du monde à la voile. Une odyssée de dix années, 100 000 milles nautiques qui restent une référence dans le monde du nautisme. Le livre «&nbsp;Latitudes vagabondes&nbsp;», le récit de son tour du monde, est devenu un classique du genre.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="853" height="640" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/02/baleares_daniel_drion-853x640.png" alt="" class="wp-image-95580" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/02/baleares_daniel_drion-853x640.png 853w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/02/baleares_daniel_drion-291x218.png 291w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/02/baleares_daniel_drion-85x64.png 85w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/02/baleares_daniel_drion-768x576.png 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/02/baleares_daniel_drion.png 1024w" sizes="(max-width: 853px) 100vw, 853px" /><figcaption>Photo Les Grands Explorateurs (courtoisie) – Le réalisateur Daniel Drion.</figcaption></figure>



Le conférencier a réalisé de nombreux documentaires où la mer, les îles et les hommes sont ses sujets de prédilection. Ses films sont programmés à la tribune de « Connaissance du monde » pour la France et la Suisse, à « Exploration du monde » pour la Belgique et par « Les Grands Explorateurs » pour le Québec.



<h2>Billets et programmation à venir</h2>



Dans la région, le film « Les Baléares : Les belles méditerranéennes » sera à l’affiche de la salle Le Zénith Promutuel Assurance, située à Saint-Eustache, le mardi 1er avril prochain, à compter de 19 h 30.



Pour se procurer des billets, <a href="https://lezenithsteustache.ca/programmation/les-baleares">cliquez ICI</a>; pour en savoir davantage sur la saison 2024-2025 des Grands Explorateurs, <a href="https://lesgrandsexplorateurs.com/">cliquez ICI</a>.

Après plus de trente ans à fouler les scènes partout au Québec avec pour seule mission de faire rire, Martin Petit parle de son cinquième one man show, Un monde meilleur, comme d’une expérience née d’un processus fluide et sans douleur. Le spectacle se veut à la fois un hommage au monde des adultes et une réflexion sur la maturité, inspirée par son propre parcours de père.



Il l’admet d’emblée : il a adoré être père de jeunes enfants, mais c’est leur passage inévitable à l’âge adulte qui a été sa principale source d’inspiration : « Quand tu as des enfants, tu ne peux pas être dans l’énergie de l’apocalypse de demain. Si tu ne crois pas sincèrement que les choses vont s’améliorer, c’est un cadeau empoisonné que tu leur donnes ». En bref, Martin Petit se refuse tout pessimisme. Avec Un monde meilleur, il choisit d’insuffler de l’espoir, en misant sur un humour qui ne cherche pas à alimenter les angoisses collectives, mais plutôt à célébrer la résilience et la créativité humaine. « Il y a zéro l’énergie de l’apocalypse de demain ».



« Si jamais tu es pessimiste et que tu es parent, un des beaux cadeaux que tu puisses faire, c’est de te la fermer ». Mais lui n’a pas à se taire, parce que son regard sur l’avenir reste lumineux. Contrairement aux discours fatalistes qui s’imposent parfois, il demeure convaincu que l’humain saura toujours trouver des solutions : « Les conditions de vie qu’on a aujourd’hui, les outils incroyables qu’on possède, tout ça me rend confiant. L’être humain a toutes les ressources pour répondre aux défis qui se présenteront ».



<h2>Consécration et réflexion</h2>



La décennie 2010 a été particulièrement florissante pour Petit, d’abord avec son spectacle Le Micro de feu qui s’est mérité le Félix du meilleur spectacle d’humour, ainsi que les Oliviers du meilleur spectacle d’humour et des meilleurs textes (auteur de l’année) en 2011, en plus de se mériter un billet platine pour avoir vendu plus de 100&nbsp;000 billets. En 2015, c’est son émission les Pêcheurs qui sont démarquée aux prix Gémeaux avec quatre statuettes.&nbsp; Avant que son spectacle suivant, Pyromane, ne soit sabordé par la pandémie en 2020, le grand humoriste ressentait le besoin d’offrir une dose de bonheur à son public… et à lui-même! «&nbsp;Pendant la pandémie, j’ai eu le temps de réfléchir sur ce que j’aimais le plus faire. Et c’était clair : la scène. Peu importe ce qui arrive, c’est sur scène que je veux être&nbsp;», confie-t-il avec conviction.



« J’adore écrire, j’adore créer, mais j’adore surtout créer sans contraintes. Sur scène, il n’y a personne qui fait mes textes, il n’y a personne qui a mon public », explique-t-il. Cette liberté, il la chérit plus que jamais, conscient que l’instantanéité du spectacle vivant ne peut être remplacée par aucun autre médium.



<h2>Le bordel comme thermomètre</h2>



Peu importe le marasme ambiant, le monde de l’humour se porte bien, confirme Petit. Le Bordel Comédie Club, dont il est l’un des fondateurs, lui permet de prendre le pouls en direct. « Le thermomètre, je le vois au Bordel. Tout le monde vient tester des affaires, et ce qui marche, ce qui ne marche pas, on le sent tout de suite. » Pour lui, c’est la preuve que l’appétit pour la comédie est toujours bien présent.



« On ne peut pas imposer des jokes aux gens. Ça va bien ou ça va pas bien. Moi, je trouve que ça va bien, les gens qui sont sortis de la pandémie avec l’envie de rire, ils sont là. Ceux qui n’avaient plus envie de rire, eux, ils sont sur les réseaux sociaux. »Une chose est certaine : pour Martin Petit, Un monde meilleur, ça commence par un bon spectacle.

Martin Petit présente un monde meilleur à Saint-Eustache

Bassiste et chanteur du groupe, Stéphane Mackay est revenu sur cette soirée exceptionnelle en entrevue avec L’Éveil.



Le groupe assurait le divertissement de la soirée thématique grâce à deux sets lors des entractes du match opposant les Canadiens de Montréal aux Sabres de Buffalo. « Je sais pas d’où venait l’idée de faire une soirée Canadien-KISS, mais crime, quelle belle idée », s’exclame Stéphane Mackay.



Tout a commencé par un appel à leur agent. Le bleu blanc rouge voulait savoir s’ils étaient libres : « Si ça avait été un vendredi ou un samedi, il y aurait peut-être eu conflit d’horaire, mais un lundi comme ça […] on a répondu oui tout de suite! » Jouer au Centre Bell était déjà exceptionnel, mais un autre détail a certainement flatté l’ego du groupe hommage : « Il a fallu que les membres de KISS approuvent toute la soirée, parce que [les Canadiens] ont fait faire de la marchandise en plus à l’effigie de KISS. Il fallait aussi qu’ils nous approuvent comme groupe », explique fièrement le bassiste.  



<h2>L’expérience intégrale</h2>



Kissed, composé de Serge Savard (batterie/Peter Criss), Yvan Leclerc (guitare/Ace Frehley), François Gagné (Guitare, voix/Paul Stanley) et Stéphane Mackay (Basse, voix/Gene Simmons), a vu le jour en 2008 et propose depuis l’expérience totale pour les fans de Kiss&nbsp;: maquillage, semelles compensées ornées de têtes de dragons, pyrotechnie. L’investissement de chaque membre est monumental&nbsp;: «&nbsp;Les journées commencent tôt et finissent très tard. ‘Commitment’ est vraiment le bon mot. Musicalement c’est très complexe, énormément de voix. On doit être multi-tâches, on se charge nous-même de notre maquillage. Si le spectacle est à 20h, on commence le maquillage à 18h. Après le spectacle, c’est environ une heure de photo avec les fans. Quand tu enlèves tes bottes après tout ça&nbsp;: Aïe aïe aïe!&nbsp;», explique l’émule de Gene Simmons, qui crache aussi feu et sang pour garantir l’hommage le plus authentique qui soit.



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/03/db-kissed-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-95990" width="599" height="399" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/03/db-kissed-960x640.jpg 960w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/03/db-kissed-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/03/db-kissed-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/03/db-kissed-768x512.jpg 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/03/db-kissed-615x410.jpg 615w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2025/03/db-kissed.jpg 1024w" sizes="(max-width: 599px) 100vw, 599px" /><figcaption>Photo Arianne Bergeron / Club de hockey Canadien Inc Les membres du groupe n&#8217;étaient pas les seuls maquillés pour la soirée Kiss au Centre Bell le 3 mars.</figcaption></figure>



<h2>Des gars d’ici</h2>



Sous son maquillage et son costume, difficile de reconnaître Stéphane. Pourtant, bon nombre de musiciens de la région l’ont déjà croisé : il a travaillé sept ans chez Long &amp; McQuade – anciennement Francine Mondoux – sur le boulevard Saint-Laurent à Saint-Eustache.



S’imposant du haut de ses six pieds deux pouces (6pieds 8 pouces avec ses talons!) et coiffée d’une épaisse toison crépue, gageons que plusieurs se rappellerons l’avoir croisé en lisant ces lignes. «&nbsp;On est deux dans le groupe à venir de Deux-Montagnes. François Gagné, celui qui fait Paul Stanley, habite à cinq minutes de chez moi!&nbsp;». Le groupe se produira d’ailleurs à la fête du Canada 2025 pour la Ville de Deux-Montagnes, un rendez-vous incontournable pour célébrer la confédération dans la région.



Outre la fête du Canada, le groupe se produira avec son autre projet : Orkisstra, une version théâtrale à grand déploiement de leur hommage, le 22 mars au Capitole de Québec. « On a environ 16 musiciens avec nous sur scène. On ne fait que les théâtres parce que la production est vraiment grosse », conclu Mackay. Si vous êtes un fan de Kiss, ou simplement si vous voulez vivre une soirée de divertissement hors du commun, vous pouvez suivre les activités du groupe sur <a href="https://www.facebook.com/kissed.tribute/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">sa page Facebook</a>, au moins en attendant la prochaine soirée thématique Kiss au Centre Bell.

Grands Explorateurs : Les Baléares à la salle Le Zénith

Rendez-vous avec Daniel Drion

Billets et programmation à venir