Avec la reprise des classes, l’achalandage sur le réseau routier augmentera en raison de la présence accrue d’autobus scolaires, de piétons, de cyclistes et de brigadiers. Il est donc essentiel de respecter les règles de sécurité routière pour protéger tous les usagers de la route&nbsp;:



Limite de vitesse&nbsp;: Les limites de vitesse dans les zones scolaires doivent être strictement respectées. Les amendes pour excès de vitesse sont doublées en période scolaire, de 7&nbsp;h à 17&nbsp;h, du lundi au vendredi, de septembre à juin.



Arrêt obligatoire&nbsp;: À l’approche d’un autobus ou minibus scolaire avec feux rouges intermittents ou signal d’arrêt déployé, tous les usagers, incluant les cyclistes, doivent s’immobiliser à plus de cinq mètres.



Respect des signaux&nbsp;: Les ordres et signaux des agents de la paix, brigadiers scolaires ou signaleurs lors de travaux priment sur la signalisation existante.



Passages piétons&nbsp;: Les automobilistes doivent s’immobiliser à l’approche d’un passage piéton lorsqu’un piéton manifeste son intention de traverser.



Il est également important de respecter la signalisation aux abords des écoles, notamment les zones réservées aux autobus et celles où le stationnement est interdit. Les parents déposant leurs enfants à l’école doivent le faire dans des endroits sécuritaires pour éviter les manœuvres imprudentes.



Pour plus d’informations sur la réglementation en vigueur, consultez le site de la SAAQ à l’adresse suivante&nbsp;:&nbsp;<a href="https://saaq.gouv.qc.ca/securite-routiere">https://saaq.gouv.qc.ca/securite-routiere</a>.

Une deuxième année scolaire arrive à nos portes. Mais c&#8217;est la première avec le nom école des Étoiles-Filantes.



C’est l’une des professeurs de l’école, Mme&nbsp;Emmanuelle Charbonneau qui a trouvé le nouveau nom de l’établissement. Appelé de manière populaire l’école Pablo-Picasso, pour le parc dans lequel elle se situe, le nom proposé par l’enseignante s’est inspiré des rues environnantes, désignant des artistes en tout genre. « C’est en l’honneur de Karl Tremblay, chanteur des Cowboys Fringants, devenu une étoile en novembre dernier. Il allait donc de soi qu’il allait s’imprégner à Saint-Augustin », explique Karine Beaulieu, directrice de l’école des Étoiles-Filantes.&nbsp;



Parents, élèves et membres du personnel étaient invités, l’automne dernier a lancé des idées pour le nom. Le comité de la direction a ensuite sélectionné trois noms, dont celui qui est maintenant officiel. « Il ne s’agit pas seulement d’un nom, mais d’une vision. Nous croyons fermement que chaque élève est une étoile, unique et brillante », spécifie cependant la directrice de l’école.&nbsp;



Lors de l’inauguration de l’école, de nombreux artisans à sa création étaient présents. Membres du conseil municipal, de l’équipe enseignante et du CSSMI en plus d’architectes, ingénieurs et constructeurs&nbsp;: chacun y avait mis un peu du sien pour la jeunesse de la région. « Ce n’est pas pour rien que l’on dit que ça prend un village pour élever un enfant », rappelle Mme&nbsp;Beaulieu.&nbsp;



Elisabeth Picard, qui a signé l’œuvre présente dans le grand air d’entrée, a également été présentée. Jardins suspendus, de son nom, vogue entre l’imaginaire et la réalité. La métaphore lie le jardin à l’enfant, s’épanouissant dans l’environnement scolaire, mais également à l’industrie maraîchère, très importante dans le secteur.



Des élèves de plusieurs niveaux ont également été mis de l’avant, posant chacun une question à un responsable d’une partie de la construction. Olivia et Maël Charbonneau, Louis-Francis Tessier, Mathéo Grenier et Raphaëlle Carrier ont ainsi pu éclaircir de nombreux points devant tous.&nbsp;



« Une nouvelle école, c’est un bon moyen de renforcer les tissus sociaux pour les enfants. Ils peuvent se faire des amis dans le quartier et se voir facilement après les heures de classe. Et ils peuvent s’approprier la cour d’école les soirs et week-ends », souligne le maire Patrick Charbonneau à la question de son fils, Maël.



Justine Mercier, élève de maternelle, a également pu demander, à sa façon, de voir le nouveau logo. Celui-ci a été décrit par la directrice de l’école, soulignant le rappel de l’œuvre dans l’école par les formes. « Ce que j’aime beaucoup, c’est la forme d’avion en papier qui va également chercher les pointes dans l’œuvre. Ça permet de penser qu’on file dans le temps avec les élèves », mentionne-t-elle.



<h2>Tout bien pensé</h2>



Une vingtaine de classes ont été aménagées, chacune munie de grandes fenêtres. « On a orienté l’école pour profiter de la course du soleil, éclairant les classes et permettant de réduire l’utilisation de lumière artificielle », ajoute l’architecte de l’Atelier SENS, Stéphanie Bastien. La géothermie a également sa place, gardant au frais l’été et réchauffant pendant l’hiver. Un gymnase double et une salle multifonctionnelle serviront aussi les besoins des presque 400&nbsp;élèves.



Un maximum d’arbres a été gardé sur le terrain de l’école, certains ayant été plantés suite à la construction. Une classe extérieure également été aménagée par des roches naturelles.&nbsp;



« L’école a coûté 27,7&nbsp;M$. Mais on peut comparer. Il y a 10&nbsp;ans, on a ouvert 2&nbsp;autres écoles pour 12&nbsp;M$ chacun. J’oserais dire qu’un projet semblable qui débuterait aujourd’hui pourrait monter à 40&nbsp;M$ », souligne M.&nbsp;Roch-André Malo, directeur général du CSSMI.

École des Étoiles-Filantes: À l’aube d’une nouvelle année scolaire

<h2>Harmonie et cépages hybrides</h2>



Après la gamme Classique, conçue à partir de cépages rustiques et la gamme L’empreinte distinctive du vigneron, créée avec des cépages vinifera, l’arrivée des vins Harmonie fait tout son sens pour Daniel Lalande&nbsp;qui voulait unir celles-ci&nbsp;: « La gamme Harmonie, pour moi, est arrivée naturellement. Je voulais jumeler des cépages hybrides, que j’aime beaucoup, autant en blanc qu’en rouge. »



« On est inondé de toutes sortes de produits, que ce soit dans le vin, dans la bière, alors quand on décide de faire un nouveau produit, c’est qu’il a une raison d’être parmi notre gamme », ajoute-t-il.



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/cantina-harmonie-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-92189" width="506" height="337" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/cantina-harmonie-960x640.jpg 960w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/cantina-harmonie-327x218.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/cantina-harmonie-96x64.jpg 96w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/cantina-harmonie-768x512.jpg 768w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/cantina-harmonie-615x410.jpg 615w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2024/08/cantina-harmonie.jpg 1024w" sizes="(max-width: 506px) 100vw, 506px" /><figcaption>Les nouveaux vins de la gamme Harmonie assemblent des cépages vinifera et hybrides cultivés au Québec</figcaption></figure>



Avec de subtiles notes épicées et des arômes de fraise des bois, de cassis et de cerise, le vigneron décrit le Pinot &amp; Co comme un vin rouge de soif&nbsp;: « On est dans un fruité et dans une légèreté qui nous amène à notre deuxième et troisième gorgée. Ce n’est pas juste un bon rouge du Québec, mais un excellent vin rouge, tout court! »



Quant au Chardo &amp; Co, sa finesse et ses notes d’agrumes et de poire correspondent au profil d’un Chardonnay. « Nous avons travaillé très fort, dans l’élevage des deux produits pour sublimer les arômes, les saveurs. C’est un beau travail d’équipe », assure Daniel Lalande.&nbsp;



C’était toutefois un défi pour le vigneron qui tenait aux profils du Chardonnay et du pinot noir, tout en y intégrant des cépages hybrides&nbsp;: « On a dû s’ajuster en cours de route, parce qu’il y avait des cépages qui dominaient le Chardonnay, puis on s’est rétracté, car ça ne fonctionnait pas. Je pense que c’était ça le plus gros défi. »



<h2>Honorer la qualité des produits québécois</h2>



« Cette gamme me positionne beaucoup comme vigneron aujourd’hui », estime le propriétaire quand il repense à ses débuts, qui remontent à 25 ans déjà. À l’époque, Daniel Lalande travaillait uniquement avec des cépages hybrides et vinifiera, qui commençaient tout juste à s’implanter au Québec. « Aujourd’hui, ces cépages-là ont vraiment pris une place importante au Québec et on voit que de plus en plus les intentions de plantations pour ces cépages », constate-t-il.



Ce dernier se plaît d’ailleurs d’avoir fait sa place dans l’industrie vinicole qui a, plus que jamais, une bonne réputation au Québec&nbsp;: « Le client a pu voir la qualité des vins augmenter au Québec. Le consommateur qui, au départ, nous encourageait, aujourd’hui, il se fait plaisir. »



Sortie le 12 juin dernier, la gamme Harmonie est déjà disponible dans plus de 70 magasins de la SAQ et que chaque semaine, leur positionnement en magasin augmente. « On voit que les gens l’apprécient, car quand on gagne des places, c’est parce que les conseillers en magasin y ont goûté et qu’ils ont décidé de leur faire une place », soulève Daniel Lalande.



Il est également possible de goûter au Chardo &amp; Co et au Pinot &amp; Co au vignoble La Cantina, Vallée d’Oka qui est ouvert au public jusqu’à la mi-octobre. Visites guidées, dégustations et paniers pique-niques y sont disponibles. Pour plus de détails, visitez le [www.vignoblelacantina.ca].

Une rentrée en toute sécurité