Cet événement a attiré plus de 40 enfants, toutous et coussins en main, accompagnés de leur famille. Mme Jetté leur a fait la lecture de l’histoire La petite souris, le Père Noël et le lapin de Pâques,  de Grégoire Horveno, illustrée par Claire Le Grand.
Pour ajouter au plaisir de lire, les enfants ont apporté leur livre préféré qu’ils ont partagé entre eux. Bref, une soirée qui a transporté petits et grands dans une aventure féérique originale et tout en humour où l’on voyait scintiller les yeux des auditeurs.
Le directeur de l’école, Martin Lafrenière, a tenu à remercier l’organisme de participation de parents (OPP) pour leur soutien, les «Super Parents» et Mme Jetté pour cette initiative.

Un conte de Noël en pyjama à l’école Sauvé

«Nous sommes toujours à la recherche de la meilleure solution. Tous les scénarios sont sur la table», a fait savoir M. Tessier qui préside le Comité de la maison Chénier-Sauvé, mis en place au printemps 2014, pour suivre l’avancement des projets de rénovation qui devaient être apportés, à l’époque, au bâtiment. Celui-ci a ajouté qu’il compte aussi relancer des discussions avec des intervenants concernés par ce dossier.
Des inquiétudes
En attendant, certaines personnes s’inquiètent justement du sort que la Ville de Saint-Eustache réservera à la maison Chénier-Sauvé, fermée au public depuis un peu plus d’un an pour des raisons de sécurité.
Même s’il réside à Sainte-Anne-des-Lac, Pierre Amesse est du nombre de ces personnes et soupçonne même la Ville de Saint-Eustache de vouloir démolir tout simplement le bâtiment qui a abrité quelques politiciens de la région, dont l’ex-député, ex-ministre et ex-premier ministre Paul Sauvé.
Si M. Amesse s’y intéresse, c’est que celui-ci était un proche de l’ex-député Pierre de Bellefeuille, décédé le 30 septembre dernier, à l’âge de 92 ans. Présent aux funérailles qui ont eu lieu le 20 octobre suivant, celui-ci en a profité pour se rendre à la maison Chénier-Sauvé, où sa femme a œuvré avec Thérèse Romer, épouse de M. de Bellefeuille, au sein des Amis et des propriétaires de maisons anciennes du Québec (APMAQ), un regroupement que Mme Romer a fondé, il y a une trentaine d’années.
«J’ai été surpris de l’état de la maison. On voudrait qu’elle se détériore, et on ne ferait pas autrement. Ça ne donne pas confiance», a-t-il mentionné, en entrevue téléphonique, en son nom personnel.
Ce dernier n’achète surtout pas la thèse voulant qu’il faille investir 2,4 M$ pour rénover le bâtiment qui a notamment appartenu, dans les années 1820, au docteur et député Jacques Labrie, beau-père du docteur et patriote Jean-Olivier Chénier, et a abrité le député Pierre de Bellefeuille. C’est notamment à cet endroit que celui-ci avait pris connaissance de son élection en novembre 1976 avec le Parti québécois dirigé par René Lévesque.
«C’est à pouffer de rire. À mon avis, il faudrait investir au maximum 200 000 $ pour rénover cette maison», d’avancer M. Amesse.
Le maire Pierre Charron commente
Interrogé pour commenter le dossier, le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, est cependant catégorique: pour rénover le bâtiment selon toutes les normes en vigueur, cela nécessiterait effectivement des déboursés de 2,4 M$, incluant une subvention gouvernementale de 959 000 $, annoncée en février 2014. À ce moment, on prévoyait compléter les travaux de réfection pour le début de l’année 2016.
«Cela implique que la Ville doit investir 1,8 M$. C’est beaucoup d’argent. À mon avis, le gouvernement a aussi une responsabilité, mais nous avons droit à un refus catégorique lorsqu’il est question d’une subvention plus importante. C’est pourquoi nous sommes à étudier toutes les options possibles», a mentionné M. Charron, tout en reconnaissant le caractère historique de la maison Chénier-Sauvé.
Une maison à sauvegarder
Pour sa part, la présidente de la Société d’histoire régionale de Deux-Montagnes, Vicki Onufriu, est d’avis que la maison Chénier-Sauvé doit être sauvegardée, et non démolie et reconstruite, ou faire place à une simple plaque commémorative.
«C’est un bâtiment patrimonial important non seulement pour la ville de Saint-Eustache, mais aussi dans l’histoire politique du Québec. Il faut se rappeler, en effet, que c’est Paul Sauvé qui a jeté les bases de ce qu’on a appelé la Révolution tranquille. Il n’était pas le premier ministre de Saint-Eustache, mais du Québec», a fait valoir celle-ci.
Rappelons, en terminant, que la maison Chénier-Sauvé, construite en 1890 dans sa forme actuelle, a été acquise en 2001 par la Fondation maison et jardins Chénier-Sauvé. Cinq ans plus tard, en 2006, la Ville de Saint-Eustache prenait possession de la maison et ses jardins.

Saint-Eustache: Le sort de la maison Chénier-Sauvé se décidera en 2016

C’est lors d’une récente rencontre de son comité des partenaires, que l’organisme, par la voix de son comité communication, a dévoilé et mise en ligne officiellement sa nouvelle plateforme Web au <a href="http://perseveronsensemble.com/">www.perseveronsensemble.com</a>.
«Il est d’une grande importance pour Persévérons ensemble de bien se positionner sur le Web afin de consolider les efforts de promotion de l’organisation et d’assurer la diffusion de ses multiples initiatives tout en reconnaissant le travail des nombreux partenaires gravitant dans la sphère de l’organisation», d’expliquer Sylvain Hébert, responsable de ce comité communication et coordonnateur au Carrefour jeunesse-emploi (CJE) Thérèse-De Blainville.
Au-delà d’avoir eu le souci de suivre les tendances du design Web dans ce travail de refonte, cette vision globale a guidé la redéfinition de la structure à adopter pour le site et a précisé le contenu pertinent à véhiculer.
Vitrine aux partenaires et nouveautés 
Au coeur de cette refonte, une place de choix est accordée à la reconnaissance des partenaires engagés au sein de Persévérons ensemble avec une section dédiée à la diffusion de leurs coordonnées et la présentation de leur organisation respective.
«Ces derniers représentent l’essence même de Persévérons ensemble et c’est grâce à leur expertise provenant de tous les milieux (scolaire, communautaire, municipal, employabilité, santé et services sociaux, citoyen et affaires) qu’une véritable concertation active notre mission de Persévérons ensemble», mentionne l’homme d’affaires Francis Charron, également président-fondateur de l’organisme.
Mur de la persévérance
Le nouveau site Web répond également à la volonté du regroupement de «créer l’effet Persévérons» avec la vitrine nommée Mur de la persévérance! L’objectif est de faire connaître et de valoriser les bons coups en matière de persévérance personnelle et scolaire. Le Mur de la persévérance est donc l’endroit dédié aux internautes souhaitant rendre hommage ou souligner la persévérance d’un individu ou le mérite d’une organisation.
C’est tout simple: il s’agit de compléter le formulaire disponible en ligne, d’expliquer brièvement pourquoi la personne mérite cette reconnaissance et Persévérons ensemble rendra public ce témoignage sur le [<a href="http://perseveronsensemble.com/">www.perseveronsensemble.com</a>].
Enfin, Persévérons ensemble invite aussi le grand public à visiter le [<a href="http://perseveronsensemble.com/">www.perseveronsensemble.com</a>] afin d’en connaître davantage sur les projets porteurs de l’organisation et d’épouser la cause de la persévérance scolaire et sociale.
Il est aussi possible de suivre l’organisme sur les médias sociaux en devenant adepte de la <a href="https://www.facebook.com/PerseveronsEnsemble/">page Facebook PerseveronsEnsemble</a>.

Persévérons ensemble: Lancement d’un nouveau site Web