Cesser l’utilisation du glyphosate tueur d’abeilles, opposition ferme à tout nouveau projet d’oléoduc transportant le pétrole de l’Ouest canadien, électrification des transports, bonification de programme pour l’achat de véhicules électriques font partie du Plan vert du Bloc québécois.
«On a un plan sérieux pour réduire nos GES, pour lutter contre les changements climatiques. Les gens de la circonscription de Mirabel que je rencontre sont fiers de nos propositions», a indiqué le candidat du Bloc québécois.
Les provinces polluantes devront payer
Pour le député sortant et candidat de Mirabel, il est urgent d’envoyer un message clair pour que les provinces polluantes paient pour leur pollution et les provinces plus vertes que la moyenne canadienne soient payées pour leur bon comportement. «On veut que les provinces qui s’enrichissent en polluant paient leur part et que les provinces, comme le Québec, premier de classe, qui réduisent leur gaz à effet de serre (GES) soient payées pour leurs bonnes actions environnementales. On ne peut pas acheter un oléoduc à 4 milliards $ et parler de sauver la planète. Je suis tanné que Trudeau nous prenne pour des plantes vertes!», a plaidé Simon Marcil.
Le Québec affichait une production par habitant de 9,7 tonnes de GES ce qui le place premier de classe pour le plus faible taux de GES au Canada et le 7e État parmi les pays qui composent l’OCDE en 2016. «On comprend donc que le Québec a tout a gagner avec ce système. Le Québec recevrait d’importantes sommes d’argent pour financer notre transition énergétique», a conclu Simon Marcil.
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Simon Marcil
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élections fédérales 2019