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Photo courtoisie Dopamine médias Les élus de la région ont lancés le Salon du livre de Mirabel en grand, le 5 mai dernier.

Salon du livre de Mirabel: Une belle fin de semaine et un record d’achalandage

Publié le 24/05/2023

La fin de semaine du Salon du livre de Mirabel, du 5 au 7 mai dernier, s’achevait et il était déjà possible de souligner le succès de l’événement. 

Bien qu’il y ait eu un changement de date vis-à-vis des dernières années, le succès a fait briller les auteurs présents. En effet, l’achalandage a augmenté cette année. On approche en effet des 700 visiteurs, contre moins de 500 pour l’année dernière.

« On a plus de monde pour moins de journées », souligne Tricia Lauzon, organisatrice du Salon du livre de Mirabel et présidente de la maison d’édition Lo-Ély. Les objectifs n’ont pas été atteints, mais vu la température plus que clémente, l’organisatrice ne s’en étonne pas. 

Malgré tout, plusieurs auteurs se sont ajoutés au lot déjà bien rempli de la dernière édition. Plusieurs invités d’honneur ont également défilé afin d’offrir des dédicaces aux visiteurs passant à leur kiosque. « On avait entre autres Jocelyne Cazin qui n’avait pas pu être là l’année dernière à cause de la Covid », explique Tricia. Anne Robillard et Sylvie Payette ont également été présentes quelques heures.

Cette nouvelle souligne d’ailleurs la présence du salon la première fin de semaine de mai au centre culturel du complexe du Val-d’Espoir, encore pour plusieurs années. En effet, l’organisation a pu signer un contrat annuel avec la Ville de Mirabel pour ainsi s’assurer sa place dans la plage horaire du centre culturel au même moment. Cela permettra de continuer à offrir l’entrée gratuite aux gens de passage.

Devancer de quelques semaines

En devançant le salon en mai, Tricia Lauzon souhaite pouvoir attirer les écoles des environs à venir les visiter et donner le goût de la lecture à leurs élèves. Au mois de juin, c’était la période d’examen, alors l’idée de devancer devenait plus intéressante. « On était rendue en janvier pour envoyer des informations dans les écoles. Mais c’est trop tard pour eux. Il faut envoyer ça en septembre », affirme Tricia. Les dates fixes assureront donc une meilleure organisation plusieurs mois à l’avance. 

Pour l’instant l’idée est de rester à une fin de semaine de trois jours, au lieu des quatre jours de la dernière édition. Elle ne met cependant pas de côté la possibilité de rajouter une journée si l’engouement des écoles se fait sentir. « C’est sur que s’il y a une forte demande dans les écoles et qu’on est obligé d’être concentré uniquement le vendredi, on en rajoutera une autre », concède-t-elle.

« Plutôt que de faire une table ronde, les sous ont été mis sur la publicité pour encourager l’achalandage » ajoute l’organisatrice quant aux montants amassés par commandite. Une compagnie spécialisée a donc été engagée en plus de mettre des affiches pour être le plus visible possible. 

« Pour les deux ou trois prochaines années, on veut vraiment axer sur la publicité, pour que les gens sachent qu’on est là », conclut-elle.