« Un grand merci aux 46 employés de l’école qui sèment le bonheur et l’apprentissage de nos enfants », a souligné la directrice de l’école, Nathalie Beaudry, « ainsi qu’aux parents-bénévoles ; que de générosité sans fin. »
Au coût de 12 millions$, l’école primaire a été construite selon les plans de l’école primaire des Grands-Vents de Sainte-Marthe-sur-le-Lac et a nécessité la mobilisation de plusieurs firmes professionnelles dont Viau Bastien Gosselin (concept architectural), Beaudoin Hurens (structure, aménagement extérieur, travaux de génie mécanique et d’électricité), et Unigertec Inc. (entrepreneur général).
Intervention
Aussi, six élèves ont été invités à poser une question à l’une des personnes impliquées à la construction de l’école afin de comprendre les différentes étapes menant à la finalité d’un tel projet. Ainsi, Jean-François Lachance, directeur général de la CSSMI, Stéphanie Bastien, architecte, Benoit Proulx, maire de Saint-Joseph-du-LaC, Sébastien Lauzon, attaché politique de la députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, Paule Fortier, présidente de la CSSMI, et Laurent Lamarche, artiste ont eu à répondre à plusieurs questions des élèves.
« Quels sont les avantages d’une nouvelle école ? Il faut savoir qu’entre 2006 et 2011, Saint-Joseph-du-Lac a bénéficié d’une croissance démographique de 25 %, et l’école Rose-des-vents ne répondait plus à la demande. Les citoyens de Saint-Joseph-du-Lac peuvent aussi bénéficier du gymnase de l’école pour des activités en soirée. De plus, nous avons fait un choix santé puisque la grande majorité de nos élèves sont des marcheurs ou encore ils viennent à l’école en vélo. », de dire le maire de Saint-Joseph-du-Lac, Benoit Proulx en réponse à la question d’une jeune élève.
Œuvre, logo et nom
Mentionnons que c’est l’artiste Laurent Lamarche qui a crée l’œuvre d’Art Prisma Explora dans l’atrium de l’école qui s’inspire de la méduse, une espèce qui évolue dans un environnement évolutif à l’image des enfants à l’école. Charli Goyer, un enfant de maternelle a gagné le concours du nom de l’école, soit l’École du Grand-Pommier et Léa Laflamme, une élève de première année, a réalisé le logo de l’école.

Saint-Joseph-du-Lac: Inauguration de l’école du Grand Pommier

Au total, pour l’ensemble de la région des Laurentides, l’objectif est d’amasser 40 000 $ à l’occasion de la 10e édition de cette Marche pour l’Alzheimer. À Saint-Eustache même, où la marche a été placée sous la présidence d’honneur du député de Deux-Montagnes, Benoit Charette, on estime que les participants pourraient contribuer à cet objectif à la hauteur de 5 000 $.
Comme de plus en plus de personnes seront atteintes de la maladie de l’Alzeihmer au cours des prochaines années, en raison notamment du vieillissement de la population, la Société Alzheimer Laurentides ne cache pas qu’elle a grandement besoin des sommes qui seront recueillies lors des différentes marches au programme de cette journée du 29 mai.
«Nous comptons utiliser cet argent pour financer notre service de répit-accompagnement-stimulation à domicile, ainsi que notre nouveau service de répit dépannage, offert depuis quelques mois à peine», d’indiquer Cynthia Dupont, intervenante pour la Société Alzheimer Laurentides qui dessert 6 000 personnes ayant reçu un diagnostique de la maladie de l’Alzheimer.
Au total, la région des Laurentides compte «officiellement» 7 500 personnes souffrant de la maladie, mais plusieurs autres en seront éventuellement atteintes puisque les premiers symptômes se manifestent cinq ans avant qu’un diagnostique soit établi. Et elles le seront de plus en plus jeunes.
Des moments de répit pour les personnes aidantes
Parmi les nombreux services offerts par la Société Alzheimer Laurentides, il y a celui du répit-accompagnement-stimulation à domicile, lequel s’adresse aux personnes atteintes et à leurs proches demeurant à domicile. Un accompagnateur se rend ainsi, selon un calendrier établi à l’avance, au domicile d’une personne aidante quatre heures chaque semaine ou aux deux semaines pour lui permettre de profiter d’un moment de répit. Pendant ces quatre heures, l’accompagnateur fait bénéficier la personne atteinte de la maladie d’Alzheimer d&#8217;activités adaptées selon ses goûts et ses capacités.
Quant au répit dépannage, il s’agit d’un service qui permet à une personne aidant de profiter, au besoin, d’un minimum de trois heures de répit à un moment de son choix, le jour, le soir ou les fins de semaine, selon la disponibilité des accompagnateurs.
Pour s’inscrire
Pour participer à cette Marche pour l’Alzheimer, il suffit de s’y inscrire en ligne via le [<a href="http://www.marchepourlalzheimer.ca">www.marchepourlalzheimer.ca</a>]. Une contribution de 15 $ par marcheur ou de 30 $ par famille (deux adultes et deux enfants âgés de moins de 12 ans) est demandée.
Aussi, il est possible d’être un «marcheur élite», moyennant sa contribution de 15 $ et un total de plus de 200 $ recueillis en dons. Le fait d’être un «marcheur élite» donne aussi la chance de gagner un forfait d’une valeur de 1 000 $ du Château Laurier, à Québec
Quant au programme de la journée, il prévoit l’arrivée et l’inscription des participants dès midi au manoir Globensky, situé au 235, rue Saint-Eustache. À 12 h 45, il y aura une période d’échauffement, puis, à 13 h, ce sera le départ pour une marche de 4,8 km.
Sur le site, il y aura du maquillage pour les enfants, vente de hot-dogs et rafraîchissements au profit de la Société Alzheimer Laurentides, kiosques de certains partenaires et tirage de présence.
Pour en savoir davantage sur la Société Alzheimer Laurentides: 1 800 978-7881 ou [<a href="http://www.alzheimerlaurentides.com">www.alzheimerlaurentides.com</a>].

Une Marche pour l’Alzheimer à Saint-Eustache

La cause, qui a débuté en 2009 avec de premières plaintes contre Mme Doucet, a d’ailleurs fait l’objet de demandes d’injonction par la Ville pour forcer l’Eustachoise à respecter la règlementation en vigueur. Depuis, la Cour supérieure du Québec a, dans un jugement rendu le 15 avril dernier, ordonné à Mme Doucet «de se départir ou de disposer des chats et chiens hébergés […] à l’exception de deux chats et de deux chiens, et ce, dans les trente jours [jusqu’au 15 mai, au plus tard], du présent jugement».
À la recherche d’une «solution à l’amiable»
À moins d’une semaine donc de la date fatidique du 15 mai prochain, l’avocate Anne-France Goldwater s’est donc pointé à la séance ordinaire du mois de mai des membres du conseil municipal, lundi soir dernier, en compagnie de Nathalie Doucet. Autour de 70 citoyens étaient également présents dans la salle et plusieurs d’entre eux ont manifesté, à coups d’applaudissements, certaines des interventions en faveur de Mme Doucet.
Et c’est justement à la période de questions que l’avocate Goldwater a officiellement pris la parole, disant «ne pas vouloir la chicane», mais bien tenter de trouver «une solution à l’amiable», avant d’en appeler du jugement d’ici le 15 mai, une option qu’elle dit toujours considérer à ce moment-ci.
«Nous avons ici une situation où il n’y aucun problème d’insalubrité, de bruit, d’hygiène. Nous avons ici des chats qui sont bien soignés, stérilisés, vaccinés. Et nous avons aussi une nouvelle loi dans laquelle le gouvernement du Québec reconnaît que les animaux domestiques ne sont plus des biens et meubles. Devant ces faits, est-ce que la Ville est prête à reconsidérer son règlement en fonction du bien-être des animaux, et non de leur nombre?», a plaidé, dans un premier temps, l’avocate, pour ensuite, un peu plus tard, demander une dérogation au règlement pour permettre à Mme Doucet de conserver ses 27 chats.
Le maire Pierre Charron a répété la position qu’il a défendue la semaine dernière, voulant que la Ville n’en avait pas contre Mme Doucet personnellement, mais qu’il était important de faire respecter la règlementation en vigueur, et cela, afin d’être équitable vis-à-vis l’ensemble des contribuables eustachois. «Ce n’est pas une question d’euthanasier les chats. Ce n’est pas moi qui ai demandé cela. Il existe des solutions, mais c’est à Mme Doucet de les trouver, soit de déménager à la bonne place, soit de donner ses chats en adoption à de bonnes personnes. Ce n’est pas l’intention de la Ville de changer sa règlementation», a rétorqué M. Charron, ne laissant pas la porte s’entrouvrir plus qu’il ne le faut.
Un refuge pour animaux?
D’autres intervenants sont aussi venus plaider en faveur de Mme Doucet, certains disant ne pas comprendre l’acharnement de la Ville contre Mme Doucet qui, au contraire, a dit un citoyen, devrait plutôt être «citée en exemple».
Un autre, Guillaume Onsow, qui a ouvert, à Montréal, l’Arche de Guill et Lumy, laquelle oeuvre contre la cruauté envers les animaux domestiques, s’est informé s’il était possible d’ouvrir un tel refuge à Saint-Eustache. Il a aussi demandé si la Ville pouvait accorder à Mme Doucet un délai d’un an pour lui permettre de garder ses chats, le temps de mettre en place un tel endroit. Si un tel refuge pourrait être autorisé en zone agricole, M. Charron a cependant adressé un non catégorique à un tel délai.
L’intervention de l’avocate Anne-France Goldwater n’aura dons pas permis de trouver cette «solution à l’amiable» souhaitée par celle-ci. Cette dernière a cependant indiqué, une fois à l’extérieur de la salle, qu’elle tentera de communiquer directement cette semaine avec M. Charron pour discuter à nouveau de la situation.
«Je n’ai aucune gêne. Si cela peut apporter quelque chose, pourquoi pas?», de dire Mme Goldwater.

Nathalie Doucet et ses chats: L’avocate Goldwater s’immisce dans le dossier