Ainsi, du 15 au 29 avril, les Marthelacquois de 65 ans et plus sont invités à remplir un sondage, lequel leur donnera l’occasion de s’exprimer sur les besoins et les défis reliés à leur bien‐être.
L’importance de la participation
La démarche MADA a pour objectif de développer des politiques et des services adaptés aux besoins et à la réalité des aînés afin de leur permettre de vieillir en restant actifs et impliqués dans leur communauté. La Ville invite donc les citoyens directement visés par cette démarche à participer en grand nombre au sondage afin de contribuer au succès de cette consultation.
La mairesse, Me Sonia Paulus, a affirmé: «Nous avons une communauté d’ainés très active, solidaire, et désireuse de s’épanouir à Sainte‐Marthe‐sur‐le‐Lac. Cette consultation nous permettra d’identifier des actions précises visant l’amélioration de leur qualité de vie et ultimement, de les aider à rester le plus longtemps possible ici, dans leur ville.».
Sondage dès le 15 avril
‐ En version électronique, sur le site Web de la Ville au [vsmsll.ca] sous l’onglet Actualités.
‐ En format papier à la réception du centre communautaire et de la bibliothèque Laurent‐Savage.
‐ Pour les citoyens désirant obtenir du soutien dans la procédure, présentez‐vous à la bibliothèque Laurent‐Savage, le 25 avril, entre 11 h et 15 h 30.
Le sondage peut être rempli par un proche aidant ou une personne qui prend soin d’un aîné.
Prix à gagner
Un tirage sera fait une fois tous les questionnaires reçus et les gagnants seront contactés par le comité de pilotage. Trois chèques‐cadeaux  de 100 $ du Tigre Géant seront tirés.
Cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre de la démarche Municipalité amie des aînés (MADA), est rendue possible grâce à un soutien financier du gouvernement du Québec.

Les bouchons récupérés servent à créer des objets en liège, notamment des blocs de yoga, des sandales ou encore des planches de surf. À ce jour, ReCork a recyclé plus de 100 millions de bouchons de liège.
Bien que ReCork compte plus de 3 000 partenaires partout en Amérique du Nord, Saint-Joseph-du-Lac est la première municipalité des Basses-Laurentides à se munir de boîtes de récupération du liège.
Le maire de Saint-Joseph-du-Lac, Benoit Proulx, se réjouit de ce projet: «Dans l’optique de notre Politique environnementale, nous cherchons toujours des façons d’innover pour réduire notre empreinte écologique. En plus de favoriser le développement durable, ce projet ne coûte absolument rien aux citoyens, puisque l’entreprise fournit les boîtes de récupération et acquitte les frais de transport. J’invite donc tous les résidents à déposer leurs bouchons dans l’une des trois boîtes de la Municipalité.»
Trois boîtes de récupération
Les citoyens désirant se départir de leurs bouchons de liège et contribuer à la mission écologique de la Municipalité et de ReCork peuvent le faire aux points de chute suivants:
Entrée principale de l’hôtel de ville (1110, chemin Principal)
Écocentre (4085, chemin d’Oka)
Pavillon Jean-Claude-Brunet (parc Paul-Yvon-Lauzon, rue Clément)

Saint-Joseph-du-Lac: Un point de chute pour la valorisation de bouchons de liège

En l’absence de M. Charette, c’est son attaché politique Nicolas Guay qui a reçu, en fin d’avant-midi, deux représentants de Taxi Deluxe de Saint-Eustache, pendant qu’une dizaine d’autres, qui avaient pris part à la manifestation déployée plus tôt en matinée sur l’île de Montréal, attendaient à l’extérieur.
<h3>Soixante familles en difficulté</h3>
Que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur, la demande était la même: que ce projet de loi soit tout simplement retiré; ce à quoi, on le sait maintenant, se refuse cependant le ministre des Transports, François Bonnardel.
Dans la région immédiate, 35 chauffeurs possèdent un permis de taxi payé parfois jusqu’à concurrence de 200 000 $. À ce nombre s’ajoutent 25 autres chauffeurs qui louent les permis en question (et les voitures) pour permettre un service continu sur un territoire de base qui s’étend de Saint-Eustache jusqu’à Oka.
«Nos fonds de retraite ne valent plus rien avec ce projet de loi. Le gouvernement va mettre 22 000 familles dans la rue, et 60 dans la région immédiate. La majorité d’entre nous va être obligée de déclarer faillite, car nos permis ne sont pas payés entièrement. Les mesures de compensation, c’est parce que Uber nous a fait perdre de l’argent. Ce n’est pas un dédommagement. En tout, ici, à Saint-Eustache, on va recevoir 16 000 $. Et on va rien dire? » , de lancer en colère Benoît Bélanger, chauffeur de taxi depuis 18 ans, qui indique que les règles ne seront pas, même après l’adoption du projet de loi, les mêmes pour eux que pour les chauffeurs d’Uber puisqu’ils devront respecter malgré tout la tarification imposée par le ministère des Transports du Québec, à savoir le coût de départ, le coût au kilométrage et le coût d’attente.
<h3>Un plongeon dans la précarité</h3>
Au sortir de bureau de circonscription du député Charette, où l’on a pris note de leurs revendications et recommandations, Pascale Provost, également chauffeuse de taxi depuis 20 ans, a ajouté aux propos de M. Bélanger, son conjoint.
«Cette loi-là nous plonge tous dans la précarité, car on va tous être au bord de la faillite à la minute où elle sera en vigueur. C’est une loi complètement inhumaine pour le monde du taxi. À l’âge que nous avons, 50, 60 et même 70 ans, on peut difficilement se revirer de bord. Moi, il me reste 80 000 $ à payer à mon gérant de banque. Lorsque la loi sera adoptée, je vais devoir continuer à le payer. C’est pas 8 000 $ de plus qui vont m’aider» , de lancer Mme Provost qui accuse le gouvernement d’avoir créé cette offre et demande des permis quand il a imposé des quotas en 1984 et contribué, du coup, à ce que la valeur des permis augmente.
<h3>Déçus du député Charette</h3>
Enfin, certains chauffeurs en avaient gros sur le cœur quant à l’attitude du député Benoit Charette pour qui ils ont travaillé durant la dernière campagne électorale. «Je l’ai appelé, mais ne m’a jamais rappelé. Je crois qu’il connaît très bien mon numéro de téléphone» , d’indiquer, déçu, Benoît Bélanger.
«Moi, j’ai travaillé pendant trois campagnes avec lui. J’étais à ses côtés tout le long. Depuis mercredi dernier [le 20 mars], j’essaie de le rejoindre et il ne répond même plus à mes appels. C’était un ami personnel. Là, il est élu, et on n’est plus importants. Je trouve ça assez ordinaire comme comportement…» , de conclure Pascale Provost.

Participation citoyenne requise des ainés marthelacquois pour un sondage