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Parc du Domaine vert: des changements qui feront du bien

De gauche à droite : Marie-Claude Colin, conseillère de la ville de Blainville et vice-présidente de la RIPDV, Sébastien Lalonde, directeur général du Parc du Domaine Vert et François Bélanger, conseiller de la ville de Mirabel et président de la RIPDV.

Parc du Domaine vert: des changements qui feront du bien

Publié le 02/03/2022

Des changements se préparent du côté du Parc du Domaine Vert. « Avec la crise sanitaire, il y a une recrudescence de gens, des nouvelles personnes ou des personnes qui faisaient déjà beaucoup de plein air, qui utilisent beaucoup le parc. » explique Sébastien Lalonde, directeur général du Parc du Domaine Vert.

Des changements se préparent du côté du Parc du Domaine Vert. « Avec la crise sanitaire, il y a une recrudescence de gens, des nouvelles personnes ou des personnes qui faisaient déjà beaucoup de plein air, qui utilisent beaucoup le parc. » explique Sébastien Lalonde, directeur général du Parc du Domaine Vert. Selon les observations des membres de la Régie Intermunicipale du parc du Domaine Vert (RIPDV), les gens des environs semblent avoir redécouvert le Parc du Domaine.

Un stationnement plus vert

Les stationnements du Parc seront réaménagés. « Un plan de mise en valeur et de protection avait été élaboré ici il y a 12 ans. Et une des recommandations c’était d’éliminé les îlots de chaleur dans le stationnement. » explique M. Lalonde.

L’idée est de végétaliser tout en gardant le même nombre d’espaces pour les véhicules. Pour une question écologique, l’asphalte poreux est ce qui serait utilisé. Cela permettrait à l’eau de s’infiltrer dans le sol au lieu de ruisseler. « On a fait les demandes de subvention pour les plans-concept de ces deux dossiers-là. » ajoute le directeur général.

Pour le moment, aucune date d’échéance n’est encore envisagée, comme les plans finaux ne sont pas encore faits. « On est proche d’avoir un plan qui ne perd pas de places de stationnements. L’enjeu est là. » explique François Bélanger, conseiller de la ville de Mirabel et président de la RIPDV.

La signalisation entière du parc sera également changée. L’ajout de balise d’urgence est également prévu. Un système déjà connu au Québec et utilisé dans plusieurs autres parcs. « Ça va rassurer les gens de savoir qu’ils peuvent être repérés n’importe où dans le parc. » affirme Marie-Claude Colin, conseillère à la ville de Blainville et vice-présidente de la RIPDV 

« S’il arrive un incident, les secours vont pouvoir être informés, confirme Sébastien Lalonde. Chaque balise est géoréférencée. (Les services d’urgence) vont savoir comment s’y rendre, avec quel type de véhicule. » Une autre subvention a été demandée à cet effet. Le tout devrait être installé dans la prochaine année.

Modifications des services

Un projet de corridors canins ouvert à l’année est également sur la table. De plus en plus de chiens sont vus sur le territoire du parc, justifiant la démarche. Des règlements liés à cette nouvelle réalité seront développés au cours des prochains mois. « C’est important que les gens qui sont avec leur chien respectent certaines règles. On a des problèmes dans notre parc où des gens entrent et les chiens sont libres. » explique M. Bélanger. 

La cohabitation entre les animaux et les autres bénéficiaires du parc est importante pour la régie. Le but est de mettre en place le projet dès cette année. « On va commencer par un projet pilote, voir à ce que la cohabitation se face bien pour tout le monde et que ce soit bien respecter. » ajoute Mme Colin à ce sujet.

Le nouveau conseil d’administration du Parc

Il est important de mentionner que le parc de Domaine Vert est géré par un conseil d’administration composé de 2 conseillers des 4 villes créatrices : Blainville, Boisbriand, Mirabel et Sainte-Thérèse. Le nouveau conseil commence tout juste son mandat de 4 ans. Chacune des villes aura la présidence et la vice-présidence, comme une rotation de ces rôles est faite chaque année. 

« Chacune des villes a envoyé un ancien élu avec un nouveau. Ça va permettre d’avoir une belle relève pour notre parc. Et d’avoir des gens qui sont sensibilisés dans chacun des conseils de ville. » ajoute M. Bélanger.

Actuellement, la composition du conseil compte 7 femmes et un homme, une première selon François Bélanger qui est à 16 ans à travailler pour le parc.

Deux villes sont récemment devenues partenaire du parc soit Rosemère et Ville Lorraine. Celles-ci permettent à leurs citoyens d’avoir accès gratuitement au terrain.