Le 11&nbsp;août dernier, ce sont près de 10 000&nbsp;visiteurs qui ont célébré les festivités de la 31e&nbsp;édition de&nbsp;Mirabel en fête. Dès 15&nbsp;h, les Mirabellois ont profité d’une programmation énergique, riche en couleurs et pour toute la famille.



« C’est toujours un réel plaisir de célébrer la saison estivale tous ensemble grâce aux festivités de&nbsp;Mirabel en fête. Les membres du conseil et moi-même tenons à remercier le comité organisateur ainsi que tous les organismes et partenaires qui se sont impliqués afin que la journée soit une vraie réussite », affirme le maire de Mirabel, Patrick Charbonneau.



<h2>Une programmation variée</h2>



Tout au long de la journée, une panoplie d’activités familiales ont ravi les jeunes et les moins jeunes grâce aux maquilleurs professionnels, aux jeux gonflables, au trampoline géant et plus encore. Pour les gourmands, des camions de cuisine de rue offraient de la nourriture à bon prix, tandis qu’un mur d’eau était mis à disposition sur le site afin que tous puissent se rafraîchir.



Afin de plaire aux petits et aux plus grands, les festivités ont commencé en force avec le spectacle&nbsp;Le journal de&nbsp;Kalimba. La chanteuse et musicienne adorée des jeunes a offert aux spectateurs une performance hautement créative et interactive grâce à ses percussions.



Dès 20&nbsp;h, Mirabel eu la chance d’accueillir sur la scène principale, en première partie, Samantha Charbonneau-Vaudeville, auteure-compositrice-interprète qui a remporté le concours&nbsp;Mirabel m’enchante&nbsp;en 2020, suivi de Koriass, l’un des chefs de file du rap québécois.&nbsp;



Il a offert une performance dynamique mariant cynisme, humour et sensibilité. Il était entre autre accompagné de DJ Manifest.



La Ville de Mirabel tient à souligner que le succès de cette 31e&nbsp;édition n’aurait pas été possible sans la collaboration de plusieurs partenaires. La Ville les remercie chaleureusement pour leur grand soutien.&nbsp;



Le Club Optimiste de Saint-Canut a assuré la coordination du bar et les Chevaliers de Colomb de Saint-Janvier ont organisé la distribution du blé d’Inde. Plusieurs organismes de Mirabel, Concept Action&nbsp;55+, Tourisme Mirabel, la Maison de la famille de Mirabel, Magic Light, centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides, Service de l’environnement et du développement durable et Service de police ont également tenu des kiosques sur le site du festival.

Aussi, Antoine a obtenu par la même occasion un laissez-passer pour participer à la finale canadienne de l’Expo-sciences pancanadienne qui a suivi par après à Edmonton.



Alors élève en 1re secondaire à l’école secondaire Liberté-Jeunesse, située à Sainte-Marthe-sur-le-Lac, Antoine a imaginé, pour son projet, une serre souterraine doté d’un système de chauffage complètement naturel et très économique qui permettrait, grâce aux pneus utilisés à l’intérieur de la structure, la culture 12 mois par année, même dans des conditions climatiques nordiques.



Sa maquette a été créé à partir de matières recyclées, comme du carton et du plastique d&#8217;emballage.



Même si ces honneurs lui ont été attribués au printemps dernier, la conseillère municipale du district no 1, à Sainte-Marthe-sur-le-Lac, Priscilla Lamontagne, tenait à ce que la performance de l’ingénieux Marthelacquois soit malgré tout soulignée et soit source d’inspiration en vue de la prochaine année scolaire.

Un jeune Marthelacquois fort ingénieux !

Citoyen du Domaine-Vert Nord, Michael Nault est également premier directeur aux programmes commerciaux chez Bell Textron. La compagnie spécialisée en aéronautique et plus particulièrement dans la construction et l’entretien d’hélicoptère nous ouvre ses portes.&nbsp;



Bien que le titre du travail ne donne pas beaucoup d’indices sur ses tâches, Michael Nault est majoritairement responsable de l’ingénierie. « C’est une grosse partie de mon travail. La moitié des ingénieurs qui travaillent sur le site sont dans mon équipe », affirme-t-il. Il a donc une vue d’ensemble sur l’ensemble des étapes de production. Des ingénieurs sont présents à chaque étape, de la conception à la particularisation, en passant par la production.



De l’autre côté, il est également responsable du côté commercial. L’entreprise étant cotée en bourse, il faut des résultats financiers. « On essaie d’optimiser nos produits, mais également nos coûts. On veut que ça coûte moins cher les bâtir pour éventuellement faire de meilleures marges de profit », explique le directeur, intereliant les deux parties de son travail. Les gros contrats sont également gérés par son équipe, permettant un suivi plus serré au travers du processus de production.



<h2>Une journée type… ou pas</h2>



Plus simplement, Michael Nault a des tâches très précises à faire dans la gestion de l’entreprise. Malgré tout, aucune journée n’est similaire. « Je ne peux pas dire que je rentre à 8&nbsp;h et finis à 16&nbsp;h. Je fais beaucoup d’heures, mais je suis passionné », souligne-t-il.



De nombreuses rencontres sont faites tout au long de la journée pour assurer la coordination de l’ensemble du travail qu’il dirige. « On est une entreprise de haute technologie, c’est vraiment complexe. Dans mon rôle aujourd’hui, je suis davantage un chef d’orchestre qu’autre chose », confirme le directeur, souriant en pensant aux journées où il a l’impression de n’avoir rien fait réellement de concret. Pourtant, il s’assure que chacun a ce qu’il lui faut pour faire son travail, assurant un lien entre les différents groupes.



Son poste l’amène également à voyager partout dans le monde, autant pour visiter des clients que des fournisseurs. Ingénieur de formation, il considère que son parcours met en confiance les clients avec qui il signe les plus gros contrats. « Je comprends l’aspect technique. Je suis capable de donner mon opinion et d’expliquer les choses, même si ce n’est plus moi qui fais les calculs et qui vais signer les plans », souligne-t-il. Ses connaissances l’aident ainsi à gérer les imprévus ou les mécontentements.



<h2>Se diriger vers l’aéronautique</h2>



Bachelier en génie mécanique à la Polytechnique, il s’est concentré sur le volet aéronautique dès le départ. La dernière année et demie a donc été en concentration aéronautique. « J’ai gradué en 2006 et je suis entré directement chez Bell », souligne M.&nbsp;Nault.&nbsp;



Il savait qu’il voulait travailler dans ce domaine depuis sa plus tendre enfance. « J’ai toujours eu une fascination pour les avions. Quand j’étais jeune, on allait voir les avions décoller à l’aéroport », ajoute-t-il.&nbsp;



Après son embauche, il a pu faire partie d’un programme lui permettant de se promener dans les différentes sphères de la compagnie aux États-Unis. En revenant au pays, il a monté les échelons d’un poste à un autre en restant toujours dans les filiales de Bell Textron. « C’est ça qui est bien avec l’entreprise. Au final, j’ai travaillé pour cinq compagnies différentes, mais j’ai toujours gardé mes avantages et mon ancienneté », décrit-il.&nbsp;



Aujourd’hui, Michael Nault est toujours aussi motivé par son emploi. Il est fier de ce qu’il fait et s’assure de transmettre les valeurs à son équipe. « Je pense que pour être un bon gestionnaire, il faut comprendre l’aspect technique et ce que son équipe fait », conclut-il.



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Mirabel en fêteLe rap et le rythme à l’honneur

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