MasterChef Québec: La fin d’un rêve et le sentiment du devoir accompli pour Désirée Duchesne

Huitième à partir sur 16 participants, le départ de Désirée marque un trait en plein centre de cette première saison de MasterChef Québec. Elle raconte comment elle se sent choyée d’avoir fait partie de l’aventure.

« Ce qui est le fun de ces émissions-là, c’est que ça donne le goût de cuisiner et d’essayer de nouvelles choses. C’est pour ça à la base que j’écoutais les émissions MasteChef Australie; ça me donnait de l’inspiration. Là, c’était mon tour d’avoir la chance d’inspirer les gens à cuisiner », dit-elle.

Plus intense qu’il n’y parait

Pour ce qui est de l’intensité de la compétition, elle rappelle que parfois c’est encore pire que ce qu’on ne voit à l’écran. « Ce que vous regardez en quatre jours à la maison, nous on le vit en deux jours de tournage. Pour mon dernier défi, c’était la troisième fois que je cuisinais dans la journée ».

Cherchant à savoir si les commentaires des juges pouvaient parfois être durs, ce qu’elle retient est avant tout la bienveillance de ceux qui avaient leur sort entre les mains : « Sur le plateau, les juges étaient toujours dans la compassion et dans l’accompagnement. Ils prenaient le temps de nous demander si on avait déjà fait certaines préparations, de nous rassurer. Toujours de leur propre initiative. Ça aidait beaucoup »

La barre est haute

Sur les personnalités particulièrement attachantes qu’elle a eues à côtoyer et que les spectateurs ont appris à connaître depuis le début de la saison : « Chaque départ était intense. On est de vrais amis, on est une famille MasterChef, on se parle tous les jours, on a tous vécu la même chose en même temps, personnes d’autres ne comprend ce type de stress ». 

Désirée affirme avec sérénité : « Mon rêve était de vivre MasterChef, d’avoir du fun, participer et de rester le plus longtemps possible ». Et pour cela, elle a le sentiment du devoir accompli.

En conclusion, le message qu’elle veut livrer sur MasterChef : « La saison 2 s’en vient et elle aura besoin de nouveaux chefs, n’hésitez pas à vous inscrire! On ne sait jamais ce qui peut se produire vraiment ». Même si elle admet que la première mouture aura mis la barre haute pour les éditions à venir.