Les actions à l’international ont pris fin le 17 octobre, mais au Québec, les femmes se mobiliseront jusqu’à l’automne 2021. Le thème choisi est «Résistons pour vivre, Marchons pour transformer!».
Au cours des derniers mois, les femmes de partout dans le monde se sont réunies autour d’actions pour dénoncer les inégalités entre les femmes et les hommes afin de construire un monde basé sur la paix, la justice, l’égalité, la liberté et la solidarité. Au Québec, cette nouvelle série d’actions débute avec la diffusion d’une des cinq revendications qui avaient été dévoilées lors du lancement des activités, en mars dernier.
Cette dernière vise à poursuivre la lutte contre la pauvreté des femmes et des familles. Les participantes demandent de reconnaître pleinement la valeur du travail des femmes en assurant un revenu qui couvre tous les besoins essentiels, notamment, en haussant immédiatement le salaire minimum à 15$ de l’heure. «Le Réseau des femmes des Laurentides s’est attardé à l’enjeu de l’autonomie économique des femmes en réalisant un état des lieux sur le sujet, qui fut lancé en mars dernier. L’occasion nous semblait toute désignée aujourd’hui pour remettre en lumière cet outil précieux», nous rapporte Mélanie Hébert, présidente du RFL.
«&#8220;EMPREINTES DE FEMMES – Un pas de plus vers l’autonomie économique des femmes en situation de vulnérabilité ou de pauvreté&#8221; fait état de la situation économique et des facteurs d’appauvrissement des femmes de la région. L’état des lieux propose également diverses solutions aux élus et partenaires, dont celle de développer des logements abordables, accessibles et sécuritaires pour les femmes en situation de vulnérabilité ou de pauvreté», mentionne Vicky Langlais, coordonnatrice du RFL.
L’état des lieux est disponible gratuitement sur le site Web du RFL au: [<a href="http://www.femmeslaurentides.org/wp-content/uploads/2019/03/Etat-des-lieux-RFL-2019-FINAL.pdf">http://www.femmeslaurentides.org/wp-content/uploads/2019/03/Etat-des-lieux-RFL-2019-FINAL.pdf</a>].

Lancé le 1er juillet, le concours a pris fin le 31 octobre dernier. Kevin Bazinet – de même que les membres du comité du 50e de Mirabel – a donc maintenant à évaluer les chansons reçues et à déterminer la grande gagnante. Celle-ci, écrite en français par un Mirabellois, devra refléter les valeurs d’accueil, de dynamisme, de respect, de leadership et de responsabilité, propres à la Ville/MRC de Mirabel.
Le Québec a connu Kevin en 2015 après qu’il ait remporté La Voix comme interprète. Toutefois, il compose aussi ses propres chansons depuis qu’il est tout jeune.
«À l’âge de 12 ans, raconte Kevin, j’avais participé à un concours de chant à Mont-Laurier. En finale, j’avais interprété l’une de mes compositions. Je n’avais pas gagné, mais l’un des juges, Jonathan Painchaud (chanteur d’Okoumé à cette époque) m’avait donné le prix de cœur».
Ce prix consistait en une session d’écriture avec Jonathan Painchaud qui lui a alors enseigné les bases pour écrire une chanson.
«C’est pas mal lui qui m’a tout appris! Autant musicalement qu’avec les paroles! Je pars souvent d’un sujet pour ensuite écrire des paroles et finalement composer la musique, habituellement au piano. Tu peux écrire beaucoup de chansons avant de te dire que l’une d’elles vaut la peine d’être travaillée!»
<h3>Ce qu’il recherche</h3>
Kevin Bazinet a passé la majeure partie de sa vie à Mirabel et est emballé à l’idée de dénicher la chanson qui représente le mieux sa ville d’adoption. L’idée de faire découvrir une nouvelle artiste l’allume également énormément.
«C’est quelque chose que j’aime déjà faire avec mon école de chant. Ça allait donc de soi que ce projet était fait pour moi!», dit-il avant d’ajouter rechercher de la profondeur dans les chansons qui lui sont soumises pour évaluation.
«Je ne voulais pas quelque chose de trop spécifique. J’aime beaucoup le côté métaphorique. Je veux sentir que l’auteur a creusé pour s’éloigner du premier degré».
En plus de son école de chant à laquelle il consacre la majorité de son temps, Kevin Bazinet travaille actuellement à l’enregistrement d’un single, «en duo avec une artiste d’ici», dit-il (sans vouloir dévoiler son nom), et qu’il sera possible d’entendre sous peu à la radio. La chanson, bilingue, traite du racisme, un sujet bien d’actualité.
«Je voulais en parler dans une chanson et je crois avoir trouvé les bons mots pour le faire et la bonne artiste pour m’accompagner là-dedans !»
<h3>Les prix</h3>
La chanson du gagnant du concours Mirabel m’enchante sera dévoilée plus tard cet automne lors de l’événement Mirabel fête l’érable du Québec. Compte tenu de la situation actuelle liée à la COVID-19, il est possible que le dévoilement se fasse de façon virtuelle.
Une chose certaine toutefois, c’est que le gagnant sera invité à interpréter sa chanson lors de deux événements, soit à la Saint-Jean 2021 dans le secteur de Saint-Canut et à Mirabel en fête 2021.
D’autres prix tels qu’une bourse de 1 500 $, un panier cadeau d’objets promotionnels de la Ville de Mirabel, ainsi que la diffusion et promotion de la chanson sont aussi au menu.

Kevin Bazinet recherche la chanson parfaite pour les 50 ans de Mirabel

Ce projet est le résultat de la concertation, au cours des trois dernières années, du milieu du transport, des élus et de nombreux citoyens.
«Tout en tenant compte de la présente pandémie et des incertitudes qu&#8217;elle entraîne, le moment est venu de mettre au point, collectivement, une vision d&#8217;avenir du transport collectif et du transport adapté, sur un territoire où vit la moitié de la population du Québec, fait valoir Benoît Gendron, directeur général de l&#8217;ARTM. Le plan propose une amélioration des services de transport collectif à l&#8217;échelle métropolitaine, à partir d&#8217;une vision intégrée basée sur les besoins de la population. L&#8217;amélioration de la qualité de vie et de l&#8217;environnement ainsi que la vitalité économique sont au cœur de cette vision.»
Afin que tous s&#8217;investissent vers un horizon commun, une vision soutenue et active sur un horizon de 30 ans, le projet de PSD propose de convenir des stratégies et des actions à entreprendre. Pour planifier les dix prochaines années, il faut aussi porter le regard au-delà des effets de la pandémie puisqu&#8217;il y a toujours urgence d&#8217;agir pour répondre aux défis environnementaux tout en assurant la vitalité économique et sociale de la collectivité métropolitaine.
Les objectifs du projet de PSD visent à répondre aux orientations du Plan métropolitain d&#8217;aménagement et de développement (PMAD) de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et de la Politique de mobilité durable du Québec. En voici les principaux:
-Hausser à 35 % la part du transport collectif en pointe du matin d&#8217;ici 2031 à 2035, par rapport à 25 % présentement ;
-Augmenter l&#8217;offre de service de 60 % au cours des 10 prochaines années ;
-Favoriser un transfert des automobilistes vers les modes de transport collectif et actif en vue de réduire de 14 % les déplacements en auto pour la même période.
Le plan est construit autour de trois orientations qui se déclinent en six stratégies afin de relier les différentes communautés de la région métropolitaine à l&#8217;aide de services performants articulés autour du développement du Réseau de transport collectif structurant (RTCS), des services locaux et de l&#8217;aménagement du territoire, déployer des options de mobilité diversifiées offrant une expérience simplifiée et attrayante en se basant sur l&#8217;évolution des besoins, l&#8217;intégration des innovations et l&#8217;amélioration des services existants en complémentarité avec les modes actifs et le covoiturage et favoriser une utilisation efficiente des ressources tout en renforçant la résilience du système.
De grands projets sont déjà en cours, plusieurs études sont également bien avancées grâce au Plan des initiatives de développement du transport collectif 2018-2021 (PIDTC) initié en 2018, au Plan québécois des infrastructures 2020-2030 (PQI), et à la Proposition d&#8217;actions priorisées en transport collectif 2020-2023 déposée au gouvernement du Québec en mai 2020.
«Plus que jamais, notre gouvernement veut améliorer la mobilité dans la région métropolitaine, et cela se traduit par des actions concertées en transport collectif. Avec la relance économique et le projet de loi 66, nous voulons accélérer la réalisation de certains projets structurants, qui sont attendus par la population. Je me réjouis que, pour la première fois, les citoyens de la région métropolitaine soient invités à participer à cet exercice de consultation», soutient Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal
«Ces vastes consultations sont un exercice sans précédent. Chères citoyennes, chers citoyens, vous avez une occasion unique de venir exprimer vos attentes, votre vision de ce que doit être le transport collectif, et ce, pour les 30 prochaines années. C&#8217;est le moment de vous faire entendre et je compte sur vous pour y participer», renchérit Chantal Deschamps, mairesse de Repentigny, représentante de la couronne nord au conseil d&#8217;administration de l&#8217;ARTM et présidente du comité de la consultation publique
Plusieurs façons de participer
L&#8217;information sur le projet de PSD est disponible sur le site [<a href="http://www.repensonslamobilite.quebec">www.repensonslamobilite.quebec</a>] où il est également possible de transmettre un mémoire, des commentaires, un point de vue ou des propositions, en plus de s&#8217;exprimer directement sur les sujets proposés par l&#8217;ARTM. 
Les citoyens seront également invités à participer à l&#8217;une des quatre rencontres d&#8217;information en webdiffusion, au cours desquelles sera présenté le projet de PSD. Ces séances seront suivies par une plénière citoyenne où questions et commentaires seront bienvenus: le mardi 10 novembre, à 19 h, le mercredi 11 novembre, à 19 h, le lundi 16 novembre, à 14 h, et le mardi 17 novembre, à 19 h.
L&#8217;appel de mémoires se terminera le 14 décembre et les séances d&#8217;audition se tiendront entre le 13 et le 26 janvier 2021. L&#8217;ARTM sera accompagnée dans ce processus par l&#8217;Institut du Nouveau Monde, qui animera les rencontres et rédigera le rapport de consultation. L&#8217;ARTM a pour objectif de déposer le PSD au conseil d&#8217;administration en mars 2021.

Marche mondiale des femmes 2020: «Résistons pour vivre, Marchons pour transformer!»