Malgré la première neige de l’année, c’est une quarantaine d’animateurs bénévoles qui se sont déplacés, , le 30 octobre dernier, au chalet Pauline-Vanier, à Saint-Sauveur, afin de recevoir une reconnaissance pour leur l’immense apport dans leur communauté.



Lors de cet événement, les animateurs bénévoles ont eu droit à une présentation du Réseau d’Éclaireurs qui ont fait une courte présentation sur l’importance de la santé psychologique.



<h2>Objectif du programme « Viactive »</h2>



Le programme « Viactive » offre un accès à des séances d’exercices gratuites ou à très bas prix aux ainés de la région des Laurentides. La clientèle rejointe par ce programme est bien souvent vulnérable et leur participation à ces groupes d’exercice a un impact positif sur leur santé physique, psychologique et leur implication sociale.



Le programme « Viactive » existe depuis la fin des années 1980 et les groupes d’exercices sont animés par des animateurs bénévoles ainés consciencieux et qualifiés. Il est important de valoriser et reconnaître l’immense apport des animateurs bénévoles Viactive dans leur communauté.



Viactive c’est :



• Près de 100 animateurs bénévoles • Environ 100 groupes d’exercice • Plus de 1 000 participants



Pour en savoir davantage sue ce programme, <a href="https://www.fadoq.ca/laurentides/activites/activites-physiques-et-sportives/programme-viactive-fadoq">CLIQUEZ ICI</a>.

Ce résultat, disent les trois députés dans un communiqué de presse conjoint, fruit d’un labeur sans relâche du milieu syndical et du Bloc québécois. Le parti souhaite bonifier le projet de loi en comité et rapidement colmater la brèche, afin que le « non-sens » que constitue le recours aux briseurs de grève puisse à jamais être banni.



« C’était le but du tout premier projet de loi déposé par le Bloc québécois, en 1990. Déjà à l’époque, le fédéral accusait un sérieux retard sur le Québec, qui a fait adopter une loi afin d’interdire le recours aux travailleurs de remplacement en 1977. En 2023, les libéraux sont littéralement 46 ans en retard pour le droit des travailleurs! C’est une avancée pour les droits des travailleurs, mais surtout un retard récupéré. Il faudra maintenant travailler rapidement, pour que le projet de loi soit en vigueur sans plus tarder. Dix-huit mois après la sanction royale c’est beaucoup trop long; il faut que justice soit faite pour les travailleuses et travailleurs », a fait valoir Mme Chabot.



En 33 ans et 11 projets de loi, les libéraux et les conservateurs ont tour à tour bloqué les projets de loi du Bloc. Dans cette même législature, le Bloc québécois avait d’ailleurs déposé le projet de loi C-276 en mai 2022, rappellent les trois députés bloquistes



« La lutte, ce sont les groupes syndicaux et le Bloc qui l’ont menée, à charges répétées, avec la force de nos convictions. Le projet de loi aura notamment une incidence au conflit au port de Québec, qui perdure depuis un an et où l’administration a recours à des travailleurs de remplacement, en toute légalité, en vertu de la législation fédérale actuelle », a ajouté la députée Chabot.



« Le recours aux travailleurs de remplacement vient directement affaiblir l’ultime moyen de pression que constitue la grève pour les travailleurs. Sous le code fédéral, les conflits de travail sont en moyenne deux fois plus longs que sous celui du Québec. Le recours aux travailleurs de remplacement lors d’un conflit de travail ne vient que rehausser la tension entre les parties plutôt que susciter le déblocage d’une négociation. Nous comptons bien talonner le gouvernement jusqu’au bout et travailler en comité le projet de loi déposé afin qu’il devienne rapidement loi », de conclure les députés Désilets et Garon.

Un projet de loi pour bannir les briseurs de grève: le Bloc québécois se réjouit

Ces abribus, modernes et plus facilement accessibles aux personnes ayant des limitations fonctionnelles, seront installés à Saint-Jérôme (4), Saint-Eustache (6), Lorraine (1), Oka (1) et Pointe-Calumet (1). Du nombre, 11 d’entre eux seront installés à de nouveaux emplacements, à des arrêts d’autobus très achalandés par la clientèle.



Les deux autres remplaceront des abribus existants ayant atteint leur fin de vie utile. Il s’agit, dans les deux cas, d’abribus situés à Saint-Jérôme, et plus précisément aux intersections des rues Latour et de&nbsp;Villemure, ainsi que des rues Laviolette et Bélanger.



<h2>Où seront situés les nouveaux abribus ?</h2>



Quant aux nouveaux abribus, leur répartition se détaille ainsi&nbsp;: à Saint-Jérôme, aux intersections de la 112e&nbsp;Avenue et de la rue Shulz, ainsi qu’à l’entrée no&nbsp;3 du Carrefour du Nord, près du marché d’alimentation Maxi; à Lorraine, sur le boulevard De&nbsp;Gaulle, face au centre commercial Place Lorraine; à Oka, à l’intersection de la rue Notre-Dame (route&nbsp;344) et la rue Terrasse Notre-Dame; à Pointe-Calumet, à l’intersection du boulevard de la Chapelle et de la montée de la Baie.



À Saint-Eustache, de nouveaux abribus seront aménagés sur le boulevard Industriel devant les numéros&nbsp;690 et&nbsp;500, tout comme face au numéro&nbsp;690, de même qu’aux intersections des rues Allée du Golf et Poirier, de la rue Poirier et du boulevard Industriel, ainsi que des rues des Sapins et des Érables, dans le quartier Rivière-Nord.



<h2>Des critères à prendre en considération</h2>



Le choix de ces emplacements n’est pas anodin puisque plusieurs critères sont pris en considération dans la décision d’installer un abribus à un nouvel endroit sur le réseau d’autobus, explique, en entrevue, Jean‑Maxime St‑Hilaire, conseiller en relations médias pour exo.



«&nbsp;Parmi ceux-ci, on retrouve l’achalandage observé à l’arrêt, l’exposition de l’arrêt aux intempéries et la proximité d’un autre abribus. Nous prenons, bien sûr, également en compte les suggestions des usagers et des élus dans cette décision&nbsp;», mentionne celui-ci.



«&nbsp;Les nouveaux abribus permettront à notre clientèle de se protéger des intempéries lors de ses déplacements à bord de nos autobus. Cette initiative témoigne de notre engagement envers nos usagers à leur offrir une expérience de déplacement confortable et plus accessible&nbsp;», ajoute Marie Hélène Cloutier, directrice exécutive &#8211; Engagement clients, partenaires et innovation en mobilité d’exo.



Enfin, précisons que le coût d’un abribus est d’environ 12 000 $ et que les 13 nouveaux abribus seront installés d’ici la fin de l’année 2023, selon ce qui est planifié à ce moment-ci par exo qui est, rappelons-le, la société de transport desservant principalement la Couronne Nord et la Couronne Sud de Montréal.

Les animateurs bénévoles du programme « Viactive » honorés

Objectif du programme « Viactive »