Nous mentionnions, la semaine dernière, qu’une visite du centre de tri G&amp;R Recycling par un représentant du ministère de l’Environnement, en décembre 2016,  avait permis de constater un manquement à la Loi sur la qualité de l’environnement. On reprochait alors aux propriétaires du centre de tri, Robert et Gary Gabriel, d’avoir «exploité le centre de tri à l’extérieur de l’aire autorisée» . On leur donnait alors jusqu’à la mi-février 2017 pour se conformer, sous peine de se voir infliger une amende de 2 500 $.
Le ministère de l’Environnement, par le biais d’une conseillère en communication, Sophie Gauthier, a confirmé être retourné sur les lieux le 1er août 2017.
«Cette inspection, a indiqué Mme Gauthier, a permis de constater que le manquement observé le 20 décembre 2016, n’était toujours pas corrigé et que l’aménagement du site n’était pas conforme au certificat d’autorisation émis le 22 juin 2015.» 
Un avis de non-conformité a donc été transmis à nouveau à l’entreprise le 19 septembre 2017, tandis qu’une «sanction administrative pécuniaire de 2 500 $» , soutient la représentante du Ministère, a été imposée le 26 octobre 2017, en vertu de l’article 123.1 de la Loi sur la qualité de l’environnement.
Encore une fois, c’est le fait d’avoir exploité un centre de tri à l’extérieur de la zone autorisée qui est en cause.
«Ce dossier fait actuellement l’objet d’une enquête en vue de recours pénaux» , nous a toutefois assuré Sophie Gauthier, avant d’affirmer que, par conséquent, le Ministère n’émettra «aucun commentaire additionnel pour ne pas nuire au processus en cours» .
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Le ministère de l’Environnement poursuit ses démarches

Membre du Parti québécois (PQ) de Blainville, au sein duquel elle a occupé le poste de conseillère sur l’exécutif, celle-ci a été élue l’an dernier à titre de membre du conseil exécutif national du CNJPQ. Elle y occupe actuellement le poste de vice-présidente à l’organisation. Le CNJPQ est, précisons-le, une instance qui a pour rôles de défendre les intérêts de la jeunesse québécoise à l’intérieur de la formation péquiste et d’être le porte-parole du PQ auprès des jeunes de 16 à 30 ans.
<h3>Le PQ, sa famille</h3>
«Le PQ, c’est ma famille depuis que j’ai l’âge de m’acheter une carte de membre, C’est une famille qui m’a beaucoup appris, qui m’a permis de grandir et surtout qui m’a vu m’épanouir pour devenir l’aspirante présidente qui se tient devant vous aujourd’hui» , d’expliquer Chloé Bell, lors de l’annonce de sa candidature.
La jeune femme ajoute aussi avoir trouvé, au sein de la famille péquiste, «un vrai projet de société» , qui l’a fait instantanément rêver et qu’elle souhaite partager son «amour contagieux pour le PQ avec les jeunes d’un bout à l’autre du Québec» .
<h3>Deux premières propositions</h3>
Déjà, la candidate à la présidence, qui se présente avec une équipe complète, issue de huit régions administratives du Québec pour occuper les neuf postes du comité exécutif national, a des propositions bien précises en tête, lesquelles ont été dévoilées via les réseaux sociaux.
D’abord, celle-ci estime que le Comité national des jeunes doit prendre l’engagement de sortir de la région de Montréal plus souvent au profit de villes comme Québec et Sherbrooke.
«Trop souvent, le CNJ concentre ses actions dans la région métropolitaine de Montréal et laisse les autres régions de notre splendide Québec en reste. Qu’il s’agisse d’organiser des activités ou des réunions nationales jeunes, le dynamisme des jeunes péquistes hors de Montréal ne doit pas être laissé de côté» , juge-t-elle.
Également, la Blainvilloise entend rendre le Comité national des jeunes plus accessible et plus accueillant pour tous ceux et celles qui souhaiteraient y militer. «C’est pourquoi nous proposons de bâtir une trousse d’accueil qui sera remise à chaque représentant jeune afin de lui permettre de saisir plus facilement le fonctionnement de notre parti» , d’écrire sur Facebook celle qui a été présidente de la cellule étudiante du PQ au collège Lionel-Groulx en 2016-2017.
Il est possible de suivre la campagne de Chloé Bell et de son équipe sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram, à l’aide du #avecchloe.

Chloé Bell aspire à la présidence du Comité national des jeunes du PQ

Le début des travaux de construction a été souligné comme il se doit par le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron qui, le jeudi 22 mars dernier, a procédé à une pelletée de terre symbolique sur le site du futur bâtiment, à l’intersection des rues du Parc et Saint-Eustache, non loin de la sortie donnant accès à l’autoroute 640, direction est.
<h3>Des pompiers heureux</h3>
Celui-ci était accompagné pour l’occasion du conseiller municipal responsable de la Commission de la sécurité publique, Yves Roy, de membres de cette Commission, du directeur du Service de la sécurité incendie, Charles de Rouville, ainsi que des entrepreneurs et professionnels retenus et des pompiers eux-mêmes, tout sourire, eux, à l’idée d’occuper ces nouveaux lieux. En tout, le Service de sécurité incendie compte 27 employés, dont 17 pompiers à temps plein, et 36 pompiers à temps partiel.
«Nous nous retrouverons maintenant tous dans la même caserne, dans des espaces beaucoup plus grands et adaptés au goût du jour, dans un environnement entièrement neuf. On a bien hâte» , a notamment mentionné le lieutenant Pierre-Marc Girard, lors du coup d’envoi de ces travaux.
<h3>Une caserne de 8,3 M$</h3>
Construit au coût de 8,3 M$, à même un règlement d’emprunt et selon un concept de «design-construction» qui «évite le dépassement des échéanciers et assure le respect du cadre budgétaire» , le nouveau bâtiment aura une superficie de 2 340 mètres carrés. Il sera doté de 12 portes de garage pour les véhicules d’urgence, ainsi que de locaux administratifs et de divers autres espaces et équipements nécessaires aux opérations courantes.
«Cela fait 10 ans que l’on jase de ce projet. Il fallait trouver le terrain idéal et attendre l’entrée en vigueur du nouveau schéma de couverture de risques en sécurité incendie pour connaître les besoins à combler» , a commenté, dans un premier temps, le maire Pierre Charron, précisant que le site retenu a fait l’objet d’un échange de terrains avec GBD Construction qui en était le propriétaire.
Aussi, le maire Charron se félicite de la localisation de la future caserne. «La proximité et l’accès facile à l’autoroute 640 nous assurent une réponse encore plus rapide aux interventions d’urgence. Repositionner la caserne dans un lieu mieux desservi par les grands axes routiers nous permet même de remédier à certaines déficiences identifiées dans le schéma de couverture de risques» , de préciser celui-ci.
Enfin, précisons que le bâtiment abritant actuellement la caserne sera éventuellement mis en vente.