Le Projet circonflexe, mené par Loisirs Laurentides, deux parcs régionaux et dix nouvelles municipalités et villes des Laurentides récemment annoncées et auxquels s’ajouteront d’autres milieux au cours des trois prochaines années, vise à établir des centrales d&#8217;équipement accessibles et adaptées aux besoins spécifiques de la population québécoise. Ces centrales seront des ressources essentielles pour fournir des équipements spécialisés, offrir des conseils personnalisés et promouvoir l&#8217;inclusion dans les activités de loisirs pour tous.



En tant qu&#8217;organisme reconnu pour son engagement en faveur de l&#8217;inclusion et de l&#8217;accessibilité, l&#8217;ARLPHL jouera un rôle crucial en tant que ressource conseil pour les différentes centrales d&#8217;équipement qui seront établies dans la région des Laurentides. Son expertise et son dévouement à soutenir les personnes handicapées seront essentiels pour garantir que les équipements fournis répondent précisément aux besoins individuels de chaque utilisateur. De plus, l&#8217;ARLPHL agira en tant que point de service pour le prêt d&#8217;équipements adaptés, offrant ainsi un accès direct et pratique à la population.



« Nous sommes ravis de collaborer avec le Projet circonflexe – Prêt-pour-bouger pour renforcer l&#8217;accessibilité et l&#8217;inclusion dans notre région », a déclaré, dansv un communiqué de presse, Raphaëlle Morin, responsable des programmes à l’ARLPHL. « En travaillant ensemble, nous pouvons créer un environnement où chaque personne, peu importe ses capacités, a l&#8217;opportunité de participer pleinement aux activités de loisirs et de bénéficier d&#8217;une qualité de vie améliorée. »



« Loisirs Laurentides est fier de compter sur le partenariat et l’expertise de l’ARLPHL en matière d’équipements adaptés. Cet organisme saura guider les futures centrales d’équipement qui choisiront de rendre accessible ce type d’équipement dans l’un des <a href="https://loisirslaurentides.com/plein-air/circonflexe-pret-pour-bouger/pret-dequipement-dans-la-region-des-laurentides-dix-points-de-services-seront-developpes/">points de services</a> qu’elles développeront au cours des prochaines années et que nous avons récemment annoncés lors d’une conférence de presse », de mentionner Élaine Lauzon, directrice générale de Loisirs Laurentides.



Pour plus d&#8217;informations sur les initiatives de l&#8217;ARLPHL, veuillez contacter Raphaëlle Morin au 450 431-3388 poste 7; courriel : <a href="mailto:raphaelle@arlphl.org">raphaelle@arlphl.org</a>.



Pour en savoir plus sur le Projet Circonflexe – région des Laurentides, veuillez communiquer avec Sébastien Haineault, agent de développement – plein air à Loisirs Laurentides au 450 504-6080, poste 109; courriel : <a href="mailto:shaineault@loisirslaurentides.com">shaineault@loisirslaurentides.com</a>.

Le temps se réchauffe et le ménage du printemps arrive à grand pas. Les travaux de conformité électrique sont maintenant terminés et les meuniers ont bien hâte de retrouver leur moulin juste à temps pour l’entretien du printemps. Mais tout d’abord, ceux-ci doivent faire l’entretien des meules.



Le piquage, comme on l’appelle, est l’une des pratiques ancestrales que le moulin Légaré préserve. Aussi, bien qu’il existe aujourd’hui des piqueurs pneumatiques pour accomplir le travail en quelques heures, les meuniers du moulin Légaré utilisent encore la méthode traditionnelle, le marteau et l’huile de coude.



« Rappelons que le piquage des meules consiste à creuser des sillons au marteau sur toute la surface des meules, un procédé essentiel pour assurer la qualité de la mouture de nos farines de blé et de sarrasin que vous pouvez vous procurer à la boutique du moulin », de préciser Michel Goyer, président de PCVSE.



<h2>Sept visites spéciales au moulin Légaré</h2>



Ainsi, les 7, 9, 11, 16 et 18 avril prochains, les meuniers invitent les gens à assister, gratuitement, à l’une des sept visites spéciales au moulin, où il sera possible d’en apprendre davantage sur le piquage et les meuniers à l’ouvrage. Cette année, Martin Trudel, nouvellement meunier, guidera son assistant Kevin Lajoie dans son premier piquage. Cette année, les pierres qui passeront sous le marteau seront les meules de blé, les pierres originales du moulin. Bien qu’un nouvel assistant fait son arrivée, ces pierres ont connu tous les meuniers du moulin Légaré!



« L’invitation est lancée à tous les Eustachois et Eustachoises de venir admirer le savoir-faire de nos artisans, qui se transmet à Saint-Eustache de meunier en meunier depuis plus de 260 ans. Nous sommes fiers de perpétuer chez nous cette pratique ancestrale et de la faire découvrir aux enfants, qui seront assurément fascinés par cette plongée dans le passé », de conclure le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron.



Enfin, mentionnons que cette activité est réalisée grâce au soutien financier du gouvernement du Québec, de la Ville de Saint-Eustache et de la Caisse Desjardins de Saint-Eustache – Deux-Montagnes, partenaire présentateur du Quartier historique du Vieux-Saint-Eustache.



Pour d’autres renseignements : <a href="http://www.vieuxsainteustache.com/evenements/">www.vieuxsainteustache.com/evenements/</a> ou 450 974-5170.

Retour du traditionnel piquage des meules au moulin Légaré

Si ce périple représente un défi personnel, Guillaume Bélisle, qui aura 34 ans au cours du mois d’avril, souhaite aussi en profiter pour amasser 1 000 $ au profit de la Fondation Jean Lapointe.



«&nbsp;Mon voyage n&#8217;est pas seulement une quête de découvertes et d&#8217;aventure, mais aussi une mission dédiée à une cause qui me tient profondément à cœur : la lutte contre les problèmes liés à la consommation d&#8217;alcool. Mon engagement envers cette cause est profondément personnel. Ayant choisi de rester sobre tout au long de mon périple, je souhaite, à travers mon aventure, inspirer et encourager d&#8217;autres personnes à reconnaître l&#8217;importance de la sobriété pour le bien-être personnel et communautaire&nbsp;», explique celui qui a travaillé pour le Service de police de la Ville de Saint-Eustache pendant un an et la Régie de police du Lac des Deux-Montagnes pendant six ans.



<h2>Une opportunité à ne pas ignorer</h2>



Si l’idée au départ était, en mars 2023, de profiter de quelques semaines pour découvrir les routes de la Patagonie, en Amérique du Sud, Guillaume Bélisle mentionne que c’est à Quito, en Équateur, que l’idée de vivre cette aventure a véritablement germé. Et cela seul, avec le soutien indéfectible et les encouragements de sa conjointe Isabelle.



«&nbsp;L&#8217;appel de l&#8217;aventure a été le moteur de cette décision. Je me suis rendu compte que je me trouvais à un moment de ma vie où tout conspirait pour rendre ce rêve réalisable : la liberté d&#8217;être en Amérique du Sud, la possession d&#8217;une moto et la capacité de travailler à distance. Il s&#8217;agissait d&#8217;une opportunité inouïe que je ne pouvais absolument pas ignorer. En somme, la concrétisation d&#8217;un vieux rêve d’enfance!&nbsp;», révèle l’Eustachois par courriel, depuis Oaxaca, une ville touristique nichée non loin de Mexico City.



Si chacun des 18&nbsp;pays traversés à ce jour a laissé sa marque, Guillaume Bélisle dit avoir été particulièrement «&nbsp;ému&nbsp;» par les montagnes de la Patagonie, en Argentine, qui répondaient à sa passion pour les espaces naturels préservés et l’aventure en montagne.



«&nbsp;Cependant, parmi tous les endroits que j’ai eu le privilège de découvrir durant mon périple, la Bolivie se distingue comme le pays ayant laissé l’empreinte la plus profonde sur moi. Sa marque première réside dans son climat extrême&nbsp;: située à plus de 4&nbsp;000&nbsp;mètres d’altitude, la région m’a confronté à des nuits glaciales, où les températures chutaient jusqu’à -15°C, sans le moindre système de chauffage pour atténuer le froid&nbsp;», se souvient-il, non sans oublier «&nbsp;la résilience, la bienveillance et la profonde spiritualité de ses habitants qui ont été pour lui une source inestimable d’inspiration&nbsp;».



<h2>Des « échanges culturels uniques »</h2>



Aussi, poursuit l’Eustachois, ce voyage a été enrichi par des «&nbsp;échanges culturels uniques&nbsp;», notamment avec des policiers de chaque pays visité. «&nbsp;Grâce à la générosité de la Régie de police du Lac des Deux-Montagnes, j&#8217;ai pu partager des écussons avec mes homologues à l&#8217;international, tissant des liens d&#8217;amitié et de fraternité au-delà des frontières&nbsp;», souligne le motocycliste.



Ayant déjà plein de souvenirs et d’anecdotes dans ses bagages, celui-ci planifie d’ailleurs partager son aventure avec la communauté motocycliste locale à son retour. Et si l&#8217;intérêt est au rendez-vous, il aimerait inviter les motocyclistes de la région à se joindre à lui pour une journée de moto qu’il promet des plus inoubliables.



Il est possible de suivre Guillaume Bélisle dans son périple via sa page <a href="http://www.facebook.com/thecanadiangringo">www.facebook.com/thecanadiangringo</a> et sa chaîne <a href="https://www.youtube.com/channel/UCQeXsQH5FZNO41TRx7BNTaA">https://www.youtube.com/channel/UCQeXsQH5FZNO41TRx7BNTaA</a>.



On peut aussi toujours verser un don à la Fondation Jean Lapointe via le <a href="https://fevrier.defi28jours.com/account/equipe/41">https://fevrier.defi28jours.com/account/equipe/41</a>.

L’ARLPHL fière de participer au Projet circonflexe – Prêt-pour-bouger