« Je me targue de la proximité que je suis capable de maintenir avec les nombreux acteurs de la circonscription » déclare d’emblée la députée. «Les citoyens de Mirabel m’ont élu et s’attende à ce que je sois la personne qui les représente le mieux à l’Assemblée et c’est ce qui me motive jour après jour» ajoute-t-elle. « Une étroite collaboration entre les différents protagonistes politiques, économiques et communautaires est souhaitable si l’on veut faire évoluer dans le bon sens notre région, et c’est ce rapprochement que je veux établir » explique madame D’Amours.
Autant la députée tente d’être présente en circonscription, autant elle tente de la faire rayonner à travers le Québec, « Énormément de jeunes familles viennent s’établir à Mirabel. La démographie ne cesse d’augmenter et il est de plus en plus primordial d’avoir voix au chapitre. C’est pourquoi je m’efforce de promouvoir notre région dans toutes mes actions » continue la députée. Le leadership de Mirabel a notamment été mis à profit dans la dénonciation de la hausse des tarifs qui affecte grandement ces jeunes familles, ou dans des dossiers agricoles tels que le combat contre le lait diafiltré ou l’analyse du phénomène de l’accaparement des terres.
D’ailleurs, il suffit de voir les nombreuses interventions de la députée à l’Assemblée nationale pour conclure que l’agriculture est loin d’être laissé pour compte dans le camp de la Coalition Avenir Québec, « Je crois être reconnue pour ma franchise et mon franc-parler. Je ne me gêne pas pour interpeller le ministre, surtout lorsque je crois que des actions devraient être prises. » estime la députée. « Il est temps de prendre des mesures concrètes pour aider l’économie agricole à être considérée à sa juste valeur dans l’économie québécoise» juge Sylvie D’Amours.
«La circonscription de Mirabel est reconnue pour son esprit communautaire et son développement social qui forment un tissu humain inestimable à mes yeux. Les citoyens, ainsi que leurs opinions, comptent plus que tout pour moi et c’est collectivement, par la participation citoyenne, que je
continuerai de travailler dans les deux prochaines années de mon mandat! C’est ça la nouvelle façon de faire de la politique» conclut la députée.