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Photo Stéphanie Prévost L’ensemble des adolescentes de la cohorte 2022-2023 du projet La deMOIs’aile à l’école secondaire de Mirabel ont participé d’une manière ou d’une autre à l’élaboration de la murale.

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Photo Stéphanie Prévost L’ensemble des adolescentes de la cohorte 2022-2023 du projet La deMOIs’aile à l’école secondaire de Mirabel ont participé d’une manière ou d’une autre à l’élaboration de la murale.

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Photo Stéphanie Prévost L’ensemble des adolescentes de la cohorte 2022-2023 du projet La deMOIs’aile à l’école secondaire de Mirabel ont participé d’une manière ou d’une autre à l’élaboration de la murale.

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Photo Stéphanie Prévost L’ensemble des adolescentes de la cohorte 2022-2023 du projet La deMOIs’aile à l’école secondaire de Mirabel ont participé d’une manière ou d’une autre à l’élaboration de la murale.

La deMOIs’aile: Une murale pour les cinq ans à Mirabel

Publié le 11/06/2023

Une nouvelle année scolaire se clôt pour la deMOIs’aile à l’école secondaire de Mirabel. Les jeunes femmes qui y ont participé à diverses activités mettant le thème de l’avant.

« Entreprenante », c’est le thème qui a été utilisé durant la dernière année. Les demois’ailes ont pu développer sur le sujet tout en mettant en place un projet pour souligner les cinq ans de travail dans l’école : une murale signer par chacune d’elles.

C’est lors d’un 5 à 7 que l’œuvre a été dévoilée, le 31 mai dernier. Marie-Ève D’Amours, fondatrice de La deMOIs’aile, ne l’avait d’ailleurs pas vu autrement qu’en croquis. Les participantes de l’année ont tenu à lui bander les yeux pour assurer la surprise totale.

« Quel travail les filles! Comme c’est beau dans une école », s’est-elle exclamée, émue.

La murale

Chaque élément de la murale est symbolique. Les adolescentes participant au projet ont mûrement réfléchi à ce qu’elle voulait en faire. De multiples images y sont présentes afin de rappeler le chemin de la vie, la femme qui est en chacune d’elle, mais aussi les mots d’encouragement qu’elles se sont lancés dans les dernières semaines. « La palette de couleurs que nous avons choisie se veut douce et apaisante », souligne l’une des deMOIs’ailes. Les couleurs rappellent celles du projet de Marie-Ève D’Amours tout en n’étant pas trop éclatantes. 

« On a commencé à la mi-avril et on a fini aujourd’hui », souligne une autre deMOIs’aile en expliquant la murale.

Chacune des adolescentes du projet y a participé d’une façon ou d’une autre, en donnant des idées et en peinturant la murale. « Ça nous arrivait de partir tard le soir pour bien avancer », souligne Mme Marineau qui a pris en main cette partie du projet.

La deMOIs’aile a 5 ans

Roxanne Dinel du carrefour jeunesse emploi et Isabelle Marineau, étaient présentes pour rappeler les premières années du projet. La mise en place n’a pas toujours été facile, surtout avec un projet qui ne touchait que les filles et non l’ensemble des étudiants. Malgré tout, celles-ci soulignent la joie qu’elles ont eue et qu’elles auront encore à participer au développement personnel des adolescentes qui participent au projet.

Elles supposent d’ailleurs le bien qu’elles ont pu faire contre le décochage scolaire auprès de ces jeunes filles. « Certains enseignants ont utilisé certains de vos textes en classe. Vous avez impressionné beaucoup d’adultes, de l’école ou même de l’extérieur », souligne Roxanne, rappelant qu’un des textes pendant la pandémie avait fait réagir le premier ministre, François Legault.