Le service des loisirs de Mirabel lance une première édition des Portes Découvertes le 19&nbsp;août prochain au centre culturel du Domaine-Vert Nord.&nbsp;



La Ville de Mirabel, de par son événement porte ouverte, veut donner une meilleure visibilité aux activités et cours qui sont donnés sur son territoire. « Ce n’est pas juste les services offerts par la Ville », explique Marianne Roffi, conseillère aux loisirs. Des activités, tels des jeux gonflables sont également prévus sur le site pour les plus petits.



« C’est une journée où on a invité tous nos professeurs de notre programmation pour venir parler de leur activité », ajoute-t-elle. Une quarantaine de kiosques seront ainsi attribués à des organismes et professeurs de tous les secteurs de Mirabel. Ceux-ci sont reconnus par la politique de reconnaissance des organismes et font déjà affaire avec la ville pour faire partie de la programmation officielle.



Il sera donc possible de voir des activités en tout genre&nbsp;: culturel, artistique, sportive et même communautaire. De 10&nbsp;h à 16&nbsp;h, les citoyens et autres visiteurs pourront poser toutes leurs questions. « Le cercle des fermières, c’est du loisir aussi pour tout le monde. C’est vraiment tous les organismes pour que les citoyens voient ce qui se passe à Mirabel », affirme Mélissa Bonami, conseillère aux loisirs.



<h2>Faire bouger la famille</h2>



Des essais de cours sont également prévus tout au long de la journée, dont certains sous le chapiteau. Les visiteurs pourront ainsi voir à quoi ressemblent réellement les cours et se faire une meilleure idée de ce qu’ils vivront en s’y inscrivant. « On a des ateliers d’un jour, entre autres, d’une personne qui nous montre à faire nos propres savons, shampoing, chandelles, etc. Elle va montrer comment c’est facile de faire des trucs comme ça à la maison », soutient Marianne.



L’événement vient d’une demande des professeurs de différents cours de Mirabel. « Ils sont très heureux de pouvoir être présents. Et ils pensent déjà à l’année prochaine, ce qu’ils veulent ajouter », confirme sa collègue.



Des idées sont déjà étudiées pour une prochaine édition. Mais déjà beaucoup d’idées sont déjà en place afin de faciliter l’étude par les citoyens. Un dépliant sera donc disponible délimitant les activités par secteur, chose qui est moins facile à voir sur le web.



« Pour l’année prochaine, on verra pour réajuster, mais pour cette année, on est vraiment contente de ce qu’on a fait », conclut Marianne.



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Citoyen du Domaine-Vert Nord, Michael Nault est également premier directeur aux programmes commerciaux chez Bell Textron. La compagnie spécialisée en aéronautique et plus particulièrement dans la construction et l’entretien d’hélicoptère nous ouvre ses portes.&nbsp;



Bien que le titre du travail ne donne pas beaucoup d’indices sur ses tâches, Michael Nault est majoritairement responsable de l’ingénierie. « C’est une grosse partie de mon travail. La moitié des ingénieurs qui travaillent sur le site sont dans mon équipe », affirme-t-il. Il a donc une vue d’ensemble sur l’ensemble des étapes de production. Des ingénieurs sont présents à chaque étape, de la conception à la particularisation, en passant par la production.



De l’autre côté, il est également responsable du côté commercial. L’entreprise étant cotée en bourse, il faut des résultats financiers. « On essaie d’optimiser nos produits, mais également nos coûts. On veut que ça coûte moins cher les bâtir pour éventuellement faire de meilleures marges de profit », explique le directeur, intereliant les deux parties de son travail. Les gros contrats sont également gérés par son équipe, permettant un suivi plus serré au travers du processus de production.



<h2>Une journée type… ou pas</h2>



Plus simplement, Michael Nault a des tâches très précises à faire dans la gestion de l’entreprise. Malgré tout, aucune journée n’est similaire. « Je ne peux pas dire que je rentre à 8&nbsp;h et finis à 16&nbsp;h. Je fais beaucoup d’heures, mais je suis passionné », souligne-t-il.



De nombreuses rencontres sont faites tout au long de la journée pour assurer la coordination de l’ensemble du travail qu’il dirige. « On est une entreprise de haute technologie, c’est vraiment complexe. Dans mon rôle aujourd’hui, je suis davantage un chef d’orchestre qu’autre chose », confirme le directeur, souriant en pensant aux journées où il a l’impression de n’avoir rien fait réellement de concret. Pourtant, il s’assure que chacun a ce qu’il lui faut pour faire son travail, assurant un lien entre les différents groupes.



Son poste l’amène également à voyager partout dans le monde, autant pour visiter des clients que des fournisseurs. Ingénieur de formation, il considère que son parcours met en confiance les clients avec qui il signe les plus gros contrats. « Je comprends l’aspect technique. Je suis capable de donner mon opinion et d’expliquer les choses, même si ce n’est plus moi qui fais les calculs et qui vais signer les plans », souligne-t-il. Ses connaissances l’aident ainsi à gérer les imprévus ou les mécontentements.



<h2>Se diriger vers l’aéronautique</h2>



Bachelier en génie mécanique à la Polytechnique, il s’est concentré sur le volet aéronautique dès le départ. La dernière année et demie a donc été en concentration aéronautique. « J’ai gradué en 2006 et je suis entré directement chez Bell », souligne M.&nbsp;Nault.&nbsp;



Il savait qu’il voulait travailler dans ce domaine depuis sa plus tendre enfance. « J’ai toujours eu une fascination pour les avions. Quand j’étais jeune, on allait voir les avions décoller à l’aéroport », ajoute-t-il.&nbsp;



Après son embauche, il a pu faire partie d’un programme lui permettant de se promener dans les différentes sphères de la compagnie aux États-Unis. En revenant au pays, il a monté les échelons d’un poste à un autre en restant toujours dans les filiales de Bell Textron. « C’est ça qui est bien avec l’entreprise. Au final, j’ai travaillé pour cinq compagnies différentes, mais j’ai toujours gardé mes avantages et mon ancienneté », décrit-il.&nbsp;



Aujourd’hui, Michael Nault est toujours aussi motivé par son emploi. Il est fier de ce qu’il fait et s’assure de transmettre les valeurs à son équipe. « Je pense que pour être un bon gestionnaire, il faut comprendre l’aspect technique et ce que son équipe fait », conclut-il.



<figure class="wp-block-image size-full"><img loading="lazy" width="516" height="90" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/04/ijl-1.jpg" alt="" class="wp-image-84371" srcset="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/04/ijl-1.jpg 516w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/04/ijl-1-327x57.jpg 327w, https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2023/04/ijl-1-96x17.jpg 96w" sizes="(max-width: 516px) 100vw, 516px" /></figure>

Michael Nault, regarder l’aéronautique avec passion

Le contenu journalistique que vous lisez présentement sur papier ou à travers votre écran se verra bonifié de davantage de vidéos, entre autres grâce à une subvention de 30&nbsp;550$ offerte au Groupe JCL par le gouvernement du Québec. Alors qu’un pas de plus dans l’avancée numérique s’amorce pour l’entreprise, un regard à l’interne s’impose afin de dresser le portrait de ce qui est attendu au cours des prochains mois.



Le Nord Info, L’Éveil, Infos Laurentides, La Voix et Infos Mirabel sont tout autant d’hebdomadaires, de mensuels ou de bimensuels qui bénéficieront de la somme versée par le Programme d’aide à l’adaptation numérique des entreprises de la presse d’information écrite, qui offre un total de 2,8M$ à 18 projets à l’échelle de la province. Dès septembre, la quantité et la qualité du contenu vidéographique des divisions du Groupe JCL sera significativement augmentée, affirme le directeur général, Pierre-Marc Langlois.



« On est très fiers, parce que cette subvention-là va nous permettre d’améliorer notre modèle d’affaire pour répondre aux besoins de nos lecteurs qui demandent plus d’informations », ajoute-t-il.



Les fonds seront principalement investis dans l’acquisition d’équipement photo et vidéo. L’embauche d’un second vidéaste figure aussi parmi les plans, ainsi que la formation accrue des journalistes en la matière. Dans le meilleur des mondes, une section vidéo serait annexée à chaque contenu écrit, indique Pierre-Marc Langlois.



<h2>L&#8217;actualité bouge, les lecteurs aussi</h2>



Capturer mieux que jamais les instants qui comptent et permettre aux abonnés de les recevoir par le médium et le format qui conviennent à leur quotidien souvent mouvementé : voilà ce qui est visé.&nbsp;Le Groupe JCL espère se mouler aux préférences de plusieurs en donnant le choix entre la lecture et le visionnement de nouvelles, ou bien les deux.&nbsp;



« Au niveau du virage [numérique], on est déjà loin dans le processus, mais on a des grands défis encore devant nous », rappelle Pierre-Marc Langlois, précisant que l’entreprise doit demeurer en constante adaptation dans une industrie effervescente.



Et la roue ne s’arrête pas&nbsp;: selon un rapport de l’Observatoire de la culture et des communications du Québec publié en mai dernier, la proportion de Québécois ayant consommé des nouvelles sur internet est passée de 71,2 % à 81,1 % entre 2018 et 2020. Pierre-Marc Langlois soutient que le lancement des applications mobiles du Groupe JCL, de pair avec la refonte de ses sites web, a amené une vague de lecteurs jamais vue il y a trois ans. En date d’aujourd’hui, plus de 50&nbsp;000 téléchargements d’applications sont enregistrés pour les cinq journaux. Les imprimés, pour leur part, continuent de rejoindre des centaines de milliers de lecteurs d’une vaste partie de la Rive-Nord et sortiront eux aussi enrichis&nbsp;du renouvellement ; les codes QR à balayer sur leurs pages conduiront le lectorat à du contenu vidéo complémentaire.



« Le fait de recevoir cette aide-là renforcit notre détermination à continuer de donner de l’information de qualité et à soutenir nos salles de rédaction&nbsp;», résume Pierre-Marc Langlois, remerciant les abonnés pour la confiance qu’ils portent à l’entreprise, et ce, depuis 1969.

Journée Découverte: les loisirs de Mirabel se réunissent

Faire bouger la famille