Selon l’enquête menée par l’Équipe intégrée sur la sécurité nationale (EISN) de la Police fédérale de la GRC, M. Tribout aurait tenu des propos haineux contre la communauté juive dans un forum public du réseau social Telegram. Pascal Tribout aurait, par ailleurs, possédé et partagé des données informatiques permettant de fabriquer des armes à feu à l’aide d’une imprimante 3D. Les accusations déposées sont : 



&#8211; Trafic d’armes (fabrication) (C.c. 99 [1]) ;



&#8211; Possession d’une arme à feu prohibée (C. c. 92 [1] a) b) (3)) ;



&#8211; Possession d’un dispositif prohibé (C. c. 91 [2] [3] a)) ;



&#8211; Possession et distribution de données informatiques relatives à des armes à feu pouvant être utilisées avec une imprimante 3D à des fins de fabrication (C.c. 102.1 [1] et [2]) ;



&#8211; Fomenter volontairement la haine (C. c. 319 [2] a)).



Appel au public



La GRC prend au sérieux toutes menaces pouvant affecter le sentiment de sécurité. Aucun propos violent n’est toléré, qu’il soit transmis sur les médias sociaux, ou à travers tout autre moyen de communication. Les auteurs peuvent faire face à des accusations criminelles et sont passibles de peines sévères. Il est nécessaire de dénoncer de tels actes afin de contrer ce type de criminalité.



Vous avez des renseignements sur les activités illicites d’individus ou de groupes d’individus ? Communiquez avec la GRC au&nbsp;514-939-8300/1-800-771-5401&nbsp;ou avec votre service de police local.

Initialement, l’ambition de Mathilde était modeste, explique Maria Duculescu, sa conjointe&nbsp;: « Elle voulait faire ça dans son sous-sol. À l’époque, elle avait déjà un emploi de cheffe pâtissière à temps plein dans un autre établissement. Elle a finalement eu une opportunité pour un petit local. Rendue là, elle s’est dit que tant qu’à avoir pignon sur rue, aussi bien ouvrir la porte. »



Deux ans après l’ouverture, elle a déménagé dans un local plus grand, avec une terrasse, et c’est ainsi que, de fil en aiguille, elle a pu diversifier son offre. « La terrasse nous a permis de faire des cafés le soir et de pouvoir nous amuser un petit peu dans les créations saisonnières. Le tout s’est vraiment dessiné avec ce qu’Oka avait à offrir en fait », raconte Maria avec passion.



L’Obélix du chocolat Originaire d’Alsace, c’est dès sa petite enfance que Mathilde s’est plongée dans le commerce&nbsp;: « Mathilde, c’est l’Obélix du chocolat, rigole Maria. Petite, elle se levait aux petites heures du matin pour aider son père à faire des croissants. Elle a commencé à faire le commerce des petits pains dans la cour d’école et sa chambre, c’était l’atelier de chocolat de ses parents. »



Ce récit d’un romantisme inspirant n’est malheureusement pas épargné des défis du marché. « Beaucoup de commerces ferment sur la rue principale. On est un des rares qui a une pérennité, explique Maria. C’est sûr qu’on souhaiterait toujours que les gens encouragent plus le local. »&nbsp;



Maria voit la ville se développer avec ses nouveaux secteurs et les familles qui s’y installent comme une belle opportunité, mais déplore certains réflexes des consommateurs&nbsp;: « C’est plus facile pour les gens de sortir d’Oka pour aller faire leurs courses que de faire un petit détour dans le village pour venir chercher un gâteau au chocolat. » Malgré les défis, servir la communauté d’Oka reste une grande fierté pour Mathilde&nbsp;: « Ce sont des gens avec qui on parle dans le cadrage de porte. On connaît leurs familles, leurs habitudes, c’est important pour nous de servir les gens d’ici. »



Si vous souhaitez en savoir plus sur les produits de Mathilde Fays, vous pouvez visiter le site internet&nbsp;:&nbsp;<a href="https://fayschocolat.com/">https://fayschocolat.com</a>&nbsp;ou vous rendre directement sur place au 45, rue Notre-Dame, à Oka, pour profiter de ce qu’Oka a de mieux comme le dit si bien Maria.

Mathilde Fays et le terroir chocolaté

Cet événement est l’occasion rêvée de dénicher de vieux trésors et de plonger dans la nostalgie d’antan tout en profitant de l’ambiance énergisante et conviviale du site.



Inspiré par le regretté marché Finnegan de Hudson, le Marché antique d’Oka promet une expérience unique pour les passionnés d’histoire, les collectionneurs et les amateurs de découvertes. Les nombreux kiosques, regorgeant de trésors et de pièces rares, sauront émerveiller petits et grands, beau temps mauvais temps.&nbsp;



Le marché antique d’Oka doit son existence à Catherine Verdon, propriétaire de la boutique Instagram « Seconde Impression ». Passionnée par le marché Finnegan de Hudson, elle a proposé, l’année dernière, l’idée de recréer cette atmosphère pittoresque à Oka. Grâce à son initiative et au soutien de la municipalité, cette vision est devenue réalité, perpétuant ainsi l’héritage culturel et artistique des objets anciens pour une deuxième année consécutive.



Des kiosques de prêt-à-manger seront également présents, proposant des pizzas cuites au four à bois et des popsicles pour agrémenter la journée.&nbsp;



Pour plus d’informations, vous pouvez contacter Evelyne Sirois de Tourisme Basses-Laurentides au 450&nbsp;491-4444, ou suivre la page du Marché Public d’Oka sur Facebook et Instagram.

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