Cette acquisition a été rendue possible grâce à un don de 100 000 $ de l’entreprise Paccar, lequel a été jumelé à une contribution de 115 000 $ de la <a href="http://fondationhopitalsainteustache.com">Fondation Hôpital Saint-Eustache</a> (FHSE).



Le Fibroscan est un examen médical qui permet d’envoyer un ultrason sous forme de petites fréquences qui évalue l’élasticité du foie et qui permet ainsi de déterminer si celui-ci est fibrosé ou non. En offrant le service dans la région, les usagers peuvent avoir un rendez-vous trois fois plus rapidement.



« Le Fibroscan est un équipement qui avait été commandé en 2022 et qui a été reçu en 2023. Cet appareil était très attendu par le personnel du Département de gastroentérologie de l’Hôpital de Saint-Eustache. Il est important de noter que depuis les débuts de la Fondation, en 1986, la générosité de Paccar du Canada ltée se chiffre à 326 283 $ », souligne la directrice générale de la FHSE, Lyne Des Trois Maisons, tout en remerciant Paccar pour son généreux don.



Pour en savoir plus sur la Fondation Hôpital Saint-Eustache, pour faire un don ou pour participer à ses événements, visitez son <a href="http://fondationhopitalsainteustache.com">site web</a> ou communiquez avec son équipe au 450 974-8229.

Chèque de 100 00 $ de Paccar remis à la FHSE pour l'achat d'un fibrosan

Cette rencontre, organisée dans le cadre d’une tournée de consultations par la ministre Guilbault, portait sur le financement des transports collectifs. Outre la ministre, les échanges ont eu lieu en présence du maire de Deux-Montagnes et président de la TPÉCN, Denis Martin, du maire de Saint-Eustache et préfet de la MRC de Deux-Montagnes, Pierre Charron, de la mairesse de Blainville, Lisa Poulin, et du maire de L&#8217;Assomption et préfet de la MRC du même nom, Sébastien Nadeau.



Les élus municipaux présents à la table ont exprimé leur volonté de jouer un rôle davantage décisionnel concernant le transport collectif et ses processus budgétaires.



Plus particulièrement, les représentants de la TPÉCN ont rappelé qu’il est primordial de développer une offre de transport collectif structurante desservant les pôles d’emplois et d’activités, de même que la connectivité avec les autres secteurs du territoire métropolitain. Ils ont souligné que cela va de pair avec l’importance d’un financement permettant l’atteinte des objectifs communs en matière de planification des transports collectifs.

Geneviève Guilbault à Deux-Montagnes pour discuter transport

Dans la région immédiate, des villes et municipalités comme Mirabel, Saint-Eustache, Sainte-Marthe-sur-le-Lac, Oka, Boisbriand, Bois-des-Filion, Rosemère, Sainte-Thérèse, Blainville, Saint-Jérôme et Sainte-Sophie, mais des organisations comme Desjardins ou des organismes comme le Conseil des bassins versants des Mille-Îles (COBAMIL), ont décidé d’adhérer au mouvement initié par l’entreprise apicole Miel &amp; Co., située à Portneuf, et leurs fondateurs-propriétaires Christina Fortin-Ménard et David Lee Desrochers.



<h2>Le plein d’énergie pour les abeilles</h2>



En retardant ainsi la tonte des gazons et espaces verts, cela permettra aux abeilles et autres pollinisateurs de faire le plein d’énergie en se nourrissant de leur nectar et de leur pollen dont ils ont fortement besoin à la sortie de l’hiver.



Par exemple, on estime que les colonies d’abeilles passent généralement de 10&nbsp;000 à 15&nbsp;000 abeilles, à 30&nbsp;000 à 40&nbsp;000 abeilles. Or, depuis plusieurs années, le taux d&#8217;extinction des pollinisateurs serait de 100&nbsp;à 1&nbsp;000&nbsp;fois plus élevé que la normale, selon les experts, mais il est possible de freiner cette décroissance en fournissant aux pollinisateurs le pollen et le nectar dont ils ont besoin.



Le pissenlit, l’une des rares fleurs présentes en grand nombre au début du printemps, leur fournit précisément ces deux nutriments essentiels à leur survie, et par extension, à la nôtre, les insectes pollinisateurs étant essentiels pour la production de 35&nbsp;% des aliments se trouvant dans nos garde-manger, rappelle la Ville de Saint-Eustache dans un communiqué de presse.



<h2>Quelques actions ici et là</h2>



Pour aider ces abeilles, la Ville de Mirabel s’est ainsi engagée à préserver la pelouse de 25&nbsp;sites municipaux répartis dans huit secteurs, incluant l’hôtel de ville. Ainsi, un total de 20&nbsp;% de la superficie normalement tondue en sera exempté, et ce, sans compromettre la pratique d’activités sportives dans les parcs.



À Saint-Eustache, la tonte du gazon sera aussi retardée dans les espaces municipaux situés à la mairie, au manoir Globensky, au Service des travaux publics, au parc du Plateau-des-Chênes (à l’intersection des rues Yves et Lavoie) et au parc Pierre-Laporte (sur la rue Pierre-Laporte).



À Sainte-Thérèse, la Ville retardera également la tonte de gazon de nombreux sites municipaux. La superficie qui sera préservée représente près de 75&nbsp;% de la superficie qui est normalement tondue. Seuls les terrains servant à la pratique du sport feront exception pour ne pas compromettre la pratique des activités.



Également, la population est invitée à relever ce « Défi Pissenlits&nbsp;» en laissant la tondeuse à pelouse dans la remise ou le garage durant deux ou trois semaines, le temps de laisser les pissenlits pousser librement. Une fois la floraison terminée, il sera alors possible de couper les pissenlits.



Aussi, il est fortement recommandé de ne pas utiliser, sur la pelouse, de pesticides, d’herbicides ou tous autres produits chimiques pouvant mettre en péril les insectes qui assurent la pollinisation.



Pour en savoir davantage&nbsp;: <a href="https://mieletco.com/pages/defipissenlits">https://mieletco.com/pages/defipissenlits</a>.

Hôpital de Saint-Eustache: un meilleur suivi pour les patients atteints d’une maladie du foie