Cette mesure vise à mettre en place une stratégie nationale pour réduire le gaspillage alimentaire et les invendus commerciaux.
« Plusieurs enquêtes révèlent que des entreprises jettent leurs invendus, alors que l’insécurité alimentaire frappe de plus en plus de Québécois. La situation est inacceptable. Le gouvernement peut agir dès maintenant pour enrayer une partie du problème », a déclaré M. Arseneau.
Un plan concret pour redistribuer les invendus
Le projet de loi prévoit des mesures pour obliger les entreprises à redistribuer ou revaloriser leurs invendus, qu’il s’agisse de nourriture, de vêtements, d’outils ou de jouets. Ces produits pourraient être remis à des banques alimentaires, à des organismes communautaires ou encore à des producteurs agricoles, plutôt que d’être détruits ou jetés.
Un geste essentiel avant les fêtes
Le gaspillage alimentaire représente un coût environnemental et social considérable. Produire, distribuer et éliminer des biens inutilisés pèse lourdement sur la société, particulièrement dans le contexte économique actuel.
Pour M. Arseneau, le temps presse. Noël 2024 doit marquer un tournant : des produits encore consommables ne devraient plus se retrouver dans les sites d’enfouissement alors qu’ils pourraient bénéficier aux familles dans le besoin.
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Joël Arseneau