ORAM Mécanique du bâtiment de Mirabel s’est une fois de plus mis en évidence en remportant récemment le Mercure Formation et développement de la main-d’œuvre remis lors de la 42e&nbsp;édition du plus prestigieux concours d’affaires du Québec, Les Mercuriades.&nbsp;



Dans ce cas précis, il s’agit d’une première pour ORAM qui, souligne-t-on, a misé sur le développement de sa main-d’œuvre pour soutenir sa forte croissance des dernières années.&nbsp;



<h2>«&nbsp;Valorisation de nos talents&nbsp;»</h2>



Le prix «&nbsp;récompense les initiatives qui permettent aux entreprises d’accroître le développement des compétences de leur main-d’œuvre et leur productivité, notamment en favorisant ou en facilitant l’accès à l’apprentissage de compétences complémentaires ou additionnelles dans le poste occupé ou futur, ou en rendant les employés plus polyvalents, plus au fait des nouvelles technologies ou des nouveaux procédés de production&nbsp;».&nbsp;



D’ailleurs, pour Marie-Claude Allaire, coprésidente d’ORAM, la recette est simple&nbsp;:



« Notre succès passe depuis toujours par la valorisation de nos talents et nous sommes infiniment reconnaissants envers tous nos employés pour leur contribution à cette belle réussite, car ce prix est pour nous un encouragement à poursuivre sur notre lancée, une invitation à nous dépasser ».



<h2>Doubler les effectifs&nbsp;</h2>



Par ailleurs, dans un contexte incertain en raison de la pandémie, ORAM a su une fois de plus se distinguer en doublant son chiffre d’affaires et augmentant son effectif de 50 % en 2021, misant sur la croissance à l’interne «&nbsp;pour accroître la productivité de ses équipes et parvenir à mener de front un nombre de plus en plus élevé de projets de construction, d’envergure toujours plus grande&nbsp;».&nbsp;



Parmi les autres initiatives mises en place, on parle d’un programme de coaching de gestion pour les contremaîtres déjà en poste ainsi qu’un programme d’accompagnement de la relève potentielle pour les contremaîtres ont permis de les soutenir dans la gestion d’équipes plus nombreuses et de projets de plus en plus importants.&nbsp;« Nous sommes particulièrement fiers d’avoir reçu ce Mercure. Ce prix est une reconnaissance de nos efforts et de nos initiatives, qui nous distinguent du reste de l’industrie de la construction et font d’ORAM une entreprise prospère, capable de soutenir une forte croissance» indique, à cet égard, Olivier Mongrain, coprésident.&nbsp;

Au Complexe aquatique Saint-Eustache, le comptoir d’accueil sera ouvert le 23 mai de 12 h à 16 h et de 18 h à 21 h, et le comptoir de vente de titres de transport en commun (Exo) sera ouvert de 12 h 30 à 15 h 30 et de 18 h à 20 h. En ce qui concerne le bain libre, l’horaire régulier sera maintenu. La bibliothèque Guy-Bélisle sera fermée.



L’écocentre Saint-Eustache sera ouvert aux heures habituelles du lundi, soit de 8 h 30 à 16 h 30 (pour y accéder, la Carte citoyen est requise). Les collectes de rebuts (bacs verts, bacs bruns, bacs bleus) auront lieu comme prévu.



Pour rester informés et suivre les dernières nouvelles de la Ville de Saint-Eustache, consultez le site Web : saint-eustache.ca ou la page Facebook à facebook.com/VilleSaintEustache, ou pour toute question communiquez avec le SEM au 450 974-5000.

Journée des Patriotes: fermé ou ouvert

« C’était dans la nature de mon père que d’aider les gens. C’était quelque chose d’important pour lui. C’était un homme fier, bon organisateur, mais qui souhaitait d’abord rester dans l’ombre. Il était humble et il était là d’abord pour aider. De toutes ses contributions, deux points majeurs se dégagent : l’intérêt porté aux plus défavorisés et la promotion des activités sociales dans sa communauté. C’est sûr que tous les membres de la famille ont été bien fiers que l’on nomme la nouvelle fondation au nom de notre père, car elle correspondait à ses valeurs&nbsp;», se rappelle Jean-Pierre Laviolette, 81&nbsp;ans, qui a lui-même été membre du conseil d’administration de la Fondation Émile-Z.-Laviolette pendant une vingtaine d’années.



<h2>De Montréal à Saint-Eustache</h2>



Né à Montréal le 17&nbsp;novembre 1917, Émile.Z. Laviolette, marié à Blanche Séguin, père de trois enfants, soit Yves (aujourd’hui décédé), Jean-Pierre et Hélène, a œuvré pendant plus de 30&nbsp;ans comme technicien en aéronautique pour la compagnie Canadair.



Pendant son séjour à Montréal, il a été, dès l’âge de 15&nbsp;ans, un membre actif de l’Association de la jeunesse canadienne catholique (ACJC.) de 1932 à 1934. Ce premier engagement, au plan religieux, l’amène à une implication dans le domaine social de 1933 à 1934. Il a fait partie de la Saint-Vincent-de-Paul des jeunes de la paroisse Saint-Jean-de-la-Croix. Toujours dans le domaine social en 1946, M. Laviolette devient président fondateur des Loisirs Saint-Vincent-Ferrier, à Montréal, mandat qu’il termine en 1949. Cet organisme mettait sur pied des activités sportives et des loisirs pour les jeunes de la paroisse. Quelques années plus tard, en 1953 et 1954, on le retrouve à la présidence de l’amicale Saint-Jean-de-la-Croix.



Arrivé à Saint-Eustache en 1954, il continue de s’impliquer à titre de bénévole dans sa nouvelle communauté d’accueil, tant du côté économique, que du côté social. Entre autres, il a fait partie du conseil 1814 des Chevaliers de Colomb de Saint-Eustache, dont il a été un membre actif durant plus de 25 ans. Il a d’ailleurs été nommé membre honoraire à vie de l&#8217;Ordre des Chevaliers de Colomb de Saint-Eustache et membre du 4e degré.



Également, il a joint les rangs de la Chambre de commerce de Saint-Eustache/Deux-Montagnes (1962 à 1983) –&nbsp;aujourd’hui connue sous le nom de Chambre de commerce et d’industrie MRC de Deux-Montagnes (CCI2M) &nbsp;– et en a été le président en 1966-1967, président de la Chambre de commerce régionale (1970-1971), administrateur de la Chambre de commerce de la province de Québec de (1969 à 1971), membre du conseil d’administration du Conseil régional de développement des Laurentides (1966 à 1972), en plus d’être administrateur pour le Centre d’entraide Racine-Lavoie (1981 à 1989).



<h2>Des honneurs</h2>



Même s’il préfère ne pas se retrouver sous les projecteurs, il est tout de même nommé président d’honneur de la campagne de financement de Centraide Laurentides en 1978, puis accède au conseil d’administrateur de l’organisme régional.



En 1983, il est nommé personnalité de l’année de la Chambre de commerce de Saint-Eustache/Deux-Montagnes; un honneur, dans ce dernier cas, qu’il refuse d’ailleurs à quelques reprises pour plutôt proposer d’autres noms que le sien. « Je ne cours pas après les honneurs, mais je mentirais si je disais que cela ne m’a pas fait plaisir », devait raconter à ce moment M. Laviolette.



Quelques années avant son décès, lors d&#8217;une cérémonie tenue à Ottawa le 6&nbsp;juin 1990, Émile Z. Laviolette recevait des mains du ministre de la Santé et du Bien-être social du Canada, Perrin Beatty, la médaille du Grand Prix du bénévolat 1990 du Canada, «&nbsp;en reconnaissance et comme encouragement aux services bénévoles exceptionnels qu&#8217;il avait rendus pour l&#8217;amélioration de la santé et la condition sociale de ses concitoyens et concitoyennes en 57&nbsp;ans de bénévolat&nbsp;».



Reconnu pour son ineffable sens de l’humour, son verbe abondant et coloré, M. Laviolette est décédé le 8 juillet 1992, à l&#8217;âge de 74 ans, après une longue carrière de près de 60 années de bénévolat.



Pas étonnant que la Fondation Émile-Z.-Laviolette porte aujourd’hui le nom d’un homme qui aura été dévoué presque toute sa vie. Certes, Émile-Z. n’aura pas ménagé son temps, ses énergies et ses ressources pour servir bénévolement sa communauté.

Formation et développement de la main-d’œuvre: Un Mercure pour ORAM

« Valorisation de nos talents »

Doubler les effectifs