La légionellose (aussi appelée maladie du légionnaire) est une infection pulmonaire qui s’attrape en respirant des microgouttelettes d’eau contaminées par la bactérie Legionella en suspension dans l’air. La maladie ne se transmet pas d’une personne à une autre. La source de contamination peut être de nature domestique (chauffe-eau, système de climatisation, spa, etc.) ou environnementale (tour de refroidissements, fontaine publique, brumisateur en épicerie, etc.).
Afin d’identifier une source potentielle, la direction de santé publique a ouvert une enquête. Pour le moment, aucune source de contamination n’a été identifiée. Une vérification des tours de refroidissement les secteurs concernés est en cours. Pour l’instant, aucune des tours évaluées ne présentaient de contamination. Une équipe de la direction de santé publique est à pied d’oeuvre afin de mener l’enquête et les actions nécessaires le cas échéant.
Les plus à risque 
Les personnes les plus à risques de contracter cette maladie sont les personnes dont le système immunitaire est plus faible (par exemple: cancer, transplantation), les fumeurs, les grands consommateurs d’alcool, les personnes âgées de plus de 50 ans et les personnes ayant une maladie chronique tel le diabète, une maladie respiratoire, une maladie cardiaque, etc. Les personnes en bonne santé présentent un faible risque de contracter la maladie.
Symptômes
Les symptômes associés à la légionellose peuvent être de nature respiratoire (toux sèche, douleurs thoraciques, crachat avec filet de sang, difficulté à respirer) et/ou digestive (perte d’appétit, douleur à l’abdomen, nausée et vomissements). La maladie peut aussi se présenter par des symptômes tels des maux de tête, de la fatigue, des douleurs musculaires et parfois des changements dans l’état mental (délire, confusion, désorientation et hallucinations).
Appelez Info santé 811 ou consultez rapidement un professionnel de la santé si vous présentez les symptômes ci-dessus, surtout en présence de facteurs de risque ou si vous présentez une détresse respiratoire.
Pour plus d’information sur la légionellose et sur les mesures de prévention, il est possible de visiter le Portail santé mieux-être du Gouvernement du Québec: [http://sante.gouv.qc.ca/problemes-desante/legionellose/].

Les citoyens de Pointe-Calumet, ainsi que des villes environnantes, étaient conviés à la rencontre des premiers répondants, soit de pompiers, policiers et ambulancier, lors d’une journée portes ouvertes organisée à la caserne de Pointe-Calumet, le samedi 13 octobre, sur le coup de 10 h.
Suite à une parade des services d’urgence, se tenant dans les rues de la municipalité, les familles de la région étaient invitées à la visite de la caserne, des véhicules et, par le fait même, des équipements divers utilisés dans le cadre de la sécurité civile, en plus d’assister à différentes simulations, afin d’acquérir «les bons réflexes en cas d’urgence» .
«Citoyens de Pointe-Calumet, Oka, Saint-Joseph-du-Lac, Sainte-Marthe-sur-le-Lac et Deux-Montagnes, je vous souhaite la bienvenue à cet événement, qui en est aujourd’hui à sa 5e édition et qui a pour thème: “C’est dans la cuisine que ça se passe!” Les statistiques nous montrent en effet que la majorité des incendies au Québec sont localisés dans la cuisine» , de mentionner d’entrée de jeu le chef des opérations du service d’incendie de Pointe-Calumet, Luc Davignon.
«Au cours de cette journée, vous pourrez visiter nos installations, assister à plusieurs simulations, dont une opération de désincarcération en temps réel, user des services de la cantine gérée par les conjointes de nos pompiers, et encourager vos premiers répondants en achetant le tout premier calendrier des pompiers de Pointe-Calumet!»
En ce sens, les gens intéressés à acquérir ce calendrier peuvent contacter le Service de sécurité incendie de la Municipalité de Pointe-Calumet en visitant sa page Facebook. Celui-ci est au prix de 10 $. Les profits, en entier, seront remis à la Maison des jeunes de Pointe-Calumet.
<h3>Simulation de tonneaux</h3>
Qu’arrive-t-il aux conducteurs et aux passagers ne portant pas leur ceinture de sécurité au moment d’un accident de la route? Les familles, présentes en grand nombre à la porte ouverte, ont trouvé réponse évidente à cette question.
Celles-ci ont assisté à une simulation d’accident réalisée au moyen d’un outil de sensibilisation original, le simulateur de tonneaux, qui démontre les conséquences du non-port de la ceinture de sécurité. L’activité a lieu dans le cadre de «Bouclez-la!» , une conférence interactive soutenue par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), en collaboration avec Opération Nez rouge.
«Nous allons procéder dès maintenant à la simulation d’un accident d’un véhicule roulant à 70 km/h, et qui fera des tonneaux. Nous avons des mannequins dans l’automobile. Cela nous donnera une bonne idée de ce qui arrive lors que nous avons un accident à cette vitesse et que nous ne portons pas notre ceinture de sécurité» , explique le sergent Carlos Medeiros, du poste de la Sûreté du Québec de la MRC Deux-Montagnes.
<h3>Un don apprécié de Desjardins</h3>
Les membres bénévoles de Garde côtière auxiliaire, unité 20, étaient parmi les représentants d’entités d’urgence sur place. Ils accueillaient les enfants à bord d’un exemple d’embarcation nautique utilisée lors de sauvetages en eau douce.
Conrad Chevalier, responsable de l’organisation, tenait à remercier, au nom de son équipe, les Caisses Desjardins de Saint-Eustache–Deux-Montagnes et du Lac des Deux-Montagnes, elles qui ont remis une commandite conjointe de 1 000 $ à ces premiers répondants, qui ont pour objectif de sensibiliser et de secourir les plaisanciers sur le lac des Deux Montagnes.
«Il s’agit ici d’un organisme à but non lucratif composé de bénévoles formés par la Garde côtière canadienne, spécialement pour des missions sur l’eau. Notre équipe, c’est 25 personnes dûment formées pour secourir ceux qui empruntent le lac des Deux Montagnes. Nous comptons maintenant plus de 67 missions réalisées cette année, en recherche et sauvetage» , de mentionner celui-ci, avant de spécifier que le don des Caisses servira à financer l’entretien du bateau utilisé lors des missions, pour l’amélioration de l’équipement entre autres.
«Nous devions justement changer nos deux moteurs sur l’embarcation. Cette contribution aide beaucoup pour la poursuite de notre mission! Sans ces donateurs généreux, nous n’irions pas très loin» , de conclure M. Chevalier, très reconnaissant envers ces partenaires de la communauté.
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Une activité familiale mettant en lumière le travail des premiers répondants

Cette clinique est un lieu privilégié pour les futurs parents qui peuvent discuter avec une infirmière clinicienne de leurs préoccupations et de leurs besoins concernant la grossesse, la naissance, l&#8217;allaitement et le retour à la maison.
Les futures mamans souhaitant obtenir des services de la clinique prénatale du CLSC doivent y être référées par le médecin effectuant leur suivi de grossesse. À la première rencontre, l’infirmière effectuera les prélèvements sanguins de routine, évaluera les besoins et préoccupations des parents et pourra les référer vers différentes ressources du CLSC et de la communauté.
L’intérêt de faire un suivi régulier est de contribuer à favoriser une expérience prénatale positive chez les futurs parents par la promotion de la santé globale et par la prévention de divers problèmes chez la femme enceinte, le bébé à naître et sa famille. «Nous sommes heureux d’offrir aux futurs parents ce nouveau service. L’arrivée d’un bébé heureux et en santé ça se prépare. Notre équipe d’experts est là pour offrir des conditions gagnantes aux familles», précise M. Jean-François Foisy, président-directeur général du CISSS des Laurentides.
Autres cliniques
Les autres cliniques prénatales du territoire de la région des Laurentides s’implanteront graduellement dans tous les CLSC en cours d’année.

Des personnes atteintes de légionellose dans la région