Mme Bandurko, qui était à Cuba lors du déclenchement de la guerre en Ukraine, a eu la chance de rencontrer des Québécois, dont Francine Leblanc et son conjoint Normand qui l’ont invitée au pays.
Les démarches de son retour de Cuba, son exil de deux mois en Pologne, l’attente de son visa avant son arrivée au Québec ont été fastidieuses. C’est la raison pour laquelle elle a fait appel au bureau de circonscription de M. Desilets pour obtenir du soutien.
Une entrevue filmée a été réalisée pour l’occasion afin de partager avec tous son histoire d’immigration en sol québécois et particulièrement son intégration dans la région.
« J’ai trouvé les Québécois gentils, polis, calmes. Quand je suis arrivée ici, je ne comprenais rien, tout le monde m’a aidée, j’ai trouvé un emploi, j’ai appris le français… », s’exprime Natalia Bandurko en entrevue. Elle a d’ailleurs remercié à plusieurs reprises toutes les personnes qui lui sont venues en aide pendant son intégration au Québec et à Deux-Montagnes.
« Notre accompagnement pour l’obtention de votre visa fait partie des services qu’offre mon bureau de circonscription. Je suis impressionné qu’en à peine huit mois, vous ayez appris le français », souligne, entre autres, Luc Desilets.
L’entrevue sera diffusée prochainement sur les réseaux sociaux et le YouTube du député Luc Desilets.
Au bureau de circonscription, on dit avoir une pensée particulière pour le fils de Mme Bandurko qui demeure au front dans cette guerre qui n’est pas encore terminée. Comme Natalia Bandurko le dit : « On doit continuer la vie malgré la guerre. »
MOTS-CLÉS
Saint-Eustache
Bloc québécois
Luc Desilets
Ukraine