Les clichés retenus ont été sélectionnés à l’aveugle par un jury composé de conseillères municipales, de membres du personnel administratif et de citoyens.



Le maire, M. Pierre Charron, a souligné l’apport des participants : « Je suis très fier de ce calendrier municipal et je tiens à remercier chaque personne qui participe au concours de photographies. Vous collaborez à la qualité de vie de la population eustachoise par cet engagement. »



<h2>Les gagnants du concours sont :</h2>



&#8211; Janvier : Lucie Durocher&nbsp;



&#8211; Février: Simon Ruggeri



&#8211; Mars: Johanne Côté&nbsp;



&#8211; Avril: Julie Poirier&nbsp;



&#8211; Mai : Jean-François Leclerc&nbsp;



&#8211; Juin: Alain St-Pierre&nbsp;



&#8211; Juillet : Lyne Rouillard&nbsp;



&#8211; Août : Sophie Lévesque&nbsp;



&#8211; Septembre : Kalina Bacher René&nbsp;



&#8211; Octobre : Monique Vermette&nbsp;



&#8211; Novembre : Yanick Rochon&nbsp;



&#8211; Décembre: Suzanne Gaudreau&nbsp;



&#8211; Page couverture : Michelle-Audrey Bouchard&nbsp;



Chaque gagnant recevra un encadrement de sa photographie.&nbsp;



Mme Nicole Carignan-Lefebvre, présidente de la Commission des communications et des relations avec le citoyen, a révélé le thème du calendrier 2026, choisi par le public : « Saint-Eustache cocasse ». Elle a invité les citoyens à participer en grand nombre au prochain concours.



En raison de la grève de Postes Canada, le calendrier est actuellement disponible uniquement en ligne, et les détails du concours se trouvent dans la section « <a href="https://www.saint-eustache.ca/ville/informations/concours" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Concours</a> » du site Web de la Ville.

Cette mesure vise à mettre en place une stratégie nationale pour réduire le gaspillage alimentaire et les invendus commerciaux. 



« Plusieurs enquêtes révèlent que des entreprises jettent leurs invendus, alors que l’insécurité alimentaire frappe de plus en plus de Québécois. La situation est inacceptable. Le gouvernement peut agir dès maintenant pour enrayer une partie du problème », a déclaré M.&nbsp;Arseneau.&nbsp;



<h2>Un plan concret pour redistribuer les invendus</h2>



Le projet de loi prévoit des mesures pour obliger les entreprises à redistribuer ou revaloriser leurs invendus, qu’il s’agisse de nourriture, de vêtements, d’outils ou de jouets. Ces produits pourraient être remis à des banques alimentaires, à des organismes communautaires ou encore à des producteurs agricoles, plutôt que d’être détruits ou jetés.&nbsp;



<h2>Un geste essentiel avant les fêtes</h2>



Le gaspillage alimentaire représente un coût environnemental et social considérable. Produire, distribuer et éliminer des biens inutilisés pèse lourdement sur la société, particulièrement dans le contexte économique actuel.&nbsp;



Pour M.&nbsp;Arseneau, le temps presse. Noël&nbsp;2024 doit marquer un tournant&nbsp;: des produits encore consommables ne devraient plus se retrouver dans les sites d’enfouissement alors qu’ils pourraient bénéficier aux familles dans le besoin.&nbsp;

Gaspillage alimentaire : La CAQ pressée d’agir avant Noël

Dans le dernier mois, plusieurs événements se sont succédé autour de l’aéroport de Mirabel, en passant par l’inauguration de nouvelles installations pour la maintenance des Airbus A220, des manifestations de travailleurs pour leurs conditions de travail ainsi que l’acquisition par Aéroports de Montréal (ADM) d’un édifice pour y installer son pôle d’innovation.



<h2>De nouveaux appareils à maintenir</h2>



L’entreprise Avianor, une société affiliée à Drakkar, a inauguré ses nouvelles installations à la mi-novembre pour augmenter sa capacité et attirer de nouveaux clients. Même si l’entreprise était courtisée au sud de la frontière, le choix de Mirabel, avec l’accès à la piste, la proximité avec Dorval et le savoir-faire québécois, rend très heureux le chef d’exploitation Hugo Brouillard. «&nbsp;Les nouvelles installations permettront de doubler la capacité de maintenance de l’entreprise et créeront d’ici 2026 plus de 170 emplois stimulants, dans un hangar de 9200 mètres carrés à la fine pointe de la technologie.&nbsp;»



Avec une première pelletée de terre en octobre 2023, M. Brouillard trouve fantastique d’inaugurer l’installation 13 mois plus tard. L’hiver clément a sans doute accéléré la construction. L’arrivée sur le marché de nouvel appareil d’Airbus, le A220, a permis à l’entreprise de tirer son épingle du jeu. Il y avait un vide à combler, alors qu’Avianor fait déjà de la maintenance sur des Boeing 737 et des Airbus A320. À terme, il envisage collaborer avec les centres de formation des Basses-Laurentides et de l’Outaouais pour former des techniciens spécialisés.



<h2>Mandat de grève à Sonaca</h2>



Le 22 octobre, les travailleuses et travailleurs de Sonaca se dotaient d’un mandat de grève générale illimitée pour dénoncer la lenteur dans les négociations de leur convention collective et de l’écart de salaire entre l’usine de la multinationale belge et les autres entreprises aux alentours. C’est la seule usine canadienne à pouvoir construire des pièces en aluminium, surtout des ailes d’avion, de 18 mètres de long sur 3 mètres de large.



«&nbsp;Les Basses-Laurentides sont une région importante pour cette industrie ; il faut que Sonaca réalise qu’il est important d’attirer et de conserver sa main-d’œuvre spécialisée&nbsp;», indique Chantal Maillé, présidente du Conseil central des Laurentides-CSN. Le 4 décembre, après une vingtaine de séances de négociations, les employés ont manifesté devant leur usine. Les négociations avec la multinationale se poursuivent.



<h2>ADM prend sa part de Lion</h2>



Avec ses difficultés financières, l’entreprise de Saint-Jérôme Lion Électrique s’est départie de son centre d’innovation situé aux abords de l’aéroport de Mirabel le 6 décembre. C’est ADM qui y installera son propre pôle d’innovation pour l’Espace Aero. Lion conserve tout de même son usine de batterie à Mirabel et cherche encore à trouver l’argent nécessaire pour rembourser ses créanciers avant le 16 décembre.



À terme, l’édifice de presque 18&nbsp;000 mètres carrés réunira des industriels, des partenaires institutionnels et gouvernementaux de l’écosystème, des institutions académiques et de formation, des chercheurs et des étudiants pour la décarbonation de l’aviation et la mobilité aérienne avancée. Alors qu’ADM voulait construire un édifice à l’aéroport pour ses activités, Yves Beauchamp, président-directeur général d’ADM, explique que «&nbsp;cette opportunité d’affaires permettra de propulser ce projet encore plus rapidement&nbsp;».

Calendrier 2025 : Saint-Eustache dévoile les gagnants

Les gagnants du concours sont :