Rappelons que le maire ainsi que les six conseillers et conseillères élus par acclamation avaient, pour leur part, été assermentés le 30 octobre dernier, puisque la Loi prévoit que toute personne élue, par acclamation ou au terme d’un scrutin, doit prêter serment dans les 30 jours suivant leur élection.



Ainsi, les quatre conseillers et conseillères élus à la suite des élections du 2 novembre 2025 ont déclaré sous serment que leurs fonctions seraient exercées dans le respect de la loi et du Code d’éthique et de déontologie des élus municipaux de la Ville de Saint-Eustache. Ils ont ensuite signé le Livre d’or de la Ville.



Le conseil municipal 2025-2029 de la Ville de Saint-Eustache est désormais composé des membres suivants :



<ul><li>Maire : Marc Lamarre;</li><li>Conseillère du district du Vieux-Saint-Eustache (district 1) : Michèle Labelle;</li><li>Conseiller du district du Carrefour-Nord (district 2) : Guillaume Lalonde;</li><li>Conseillère du district Rivière-Nord (district 3) : Sylvie St-Amour;</li><li>Conseiller du district des Érables (district 4) : Iann-Carlos Armijo;</li><li>Conseiller du district Clair Matin (district 5) : Karl Béliveau;</li><li>Conseiller du district de la Seigneurie (district 6): Pierre-François Hervieux;</li><li>Conseillère du district des Moissons (district 7) : Isabelle Lefebvre;</li><li>Conseiller du district des Îles (district 8) : Thomas Lebeau;</li><li>Conseillère du district du Plateau des Chênes (district 9) : Sylvie Mallette;</li><li>Conseiller du district des Jardins (district 10) : Yves Roy.</li></ul>



<h2>Séances du conseil municipal</h2>



Rappelons que les citoyens sont invités à participer aux séances ordinaires du conseil municipal qui se déroulent une fois par mois, les lundis, à 19 h, dans la salle du conseil municipal de la mairie de Saint-Eustache (145, rue Saint-Louis), selon <a href="https://www.saint-eustache.ca/evenements/vie-democratique">un calendrier déjà établi</a>.



Au besoin, des séances extraordinaires peuvent être ajoutées au calendrier. Leur tenue peut être confirmée par la greffière de la Ville.



L’ordre du jour d&#8217;une séance ordinaire est disponible en ligne au courant de la journée du vendredi précédant sa tenue. L&#8217;ordre du jour d&#8217;une séance passée est intégré dans le procès-verbal de celle-ci.



Une période de questions est prévue à l’ordre du jour de chaque séance. Seules les personnes présentes peuvent poser un maximum de trois questions lors d’une même séance. Aucune question adressée par courriel ne fera l’objet d’une réponse.



Enfin, il est bon de savoir que les <a href="https://www.youtube.com/watch?v=9eVsXnEoR6U&amp;list=PLkWiXs655B2tIHml7rnR3DtywmALbT--V">séances ordinaires sont accessibles en différé</a> dans les jours suivant leur tenue. Il faut noter qu&#8217;il faut accepter les fichiers témoins (cookies) de catégorie « Fonctionnels » pour afficher cette fonctionnalité.

Même dans sa mise à jour économique, le ministre des Finances, Éric Girard, n’a rien prévu pour ces travailleurs.



Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé de se faire entendre. Encore le 18&nbsp;novembre, des membres du Syndicat de l’enseignement des Basses-Laurentides sont sortis, affichant leurs revendications sur pancartes brandies du haut de leurs bras. Rassemblés à Saint-Eustache ainsi qu’à Boisbriand, ces travailleurs et travailleuses tentaient de rappeler au gouvernement les impacts des compressions budgétaires et de ses politiques d’austérité des dernières années.



De concert avec Fédération autonome de l’Enseignement et la Coalition Main rouge, les travailleurs se lançaient ainsi dans une démarche de solidarité afin de dénoncer de façon plus large les coupes budgétaires, celles touchant les services publics et les programmes sociaux.&nbsp;



« Les compressions qui s’accumulent et le gel des subventions décrété par le Conseil du trésor font craindre un nouvel affaiblissement du filet social et une aggravation des inégalités. Face à l’ampleur et la complexité des crises sociales qui frappent le Québec, elles et ils joignent aujourd’hui leur voix à celles de dizaines de groupes sociaux, communautaires et syndicaux aux quatre coins du Québec pour réclamer un véritable changement de cap. »



Les membres de cet élan solidaire sont pourtant d’avis qu’il existe des alternatives fiscales qui permettraient d’augmenter les revenus de l’État et, par la même occasion, de répondre aux besoins réels des citoyens.



<h2>Choix politique</h2>



« On nous rabat les oreilles depuis plus d’une décennie avec l’équilibre budgétaire. La réalité, c’est que c’est un choix politique et fiscal&nbsp;: on prive l’État de milliards avec des baisses d’impôt pour les plus riches, tout en trouvant toujours de l’argent pour des projets comme Northvolt ou des contrats au privé. Si on peut financer ça, on peut aussi financer la lutte contre la pauvreté et le renforcement du filet social ! », a martelé Valérie Lépine, porte-parole de la Coalition Main rouge.



Dans le milieu de l’éducation, on considère que les besoins des élèves, jeunes ou adultes, pâtissent fortement des coupures d’heures du personnel, d’achat de matériel, de réduction d’activités parascolaires et de projets. « Les besoins sont criants dans le réseau ! », insiste le Syndicat de l’enseignement des Basses-Laurentides.



« Le gouvernement de la CAQ justifie ses compressions dans les organismes publics, dont les Centres de services scolaires, par le contexte budgétaire et la capacité à payer des Québécoises et Québécois. Considérant qu’elle en est à son deuxième mandat, c’est indécent ! La CAQ est la responsable du contexte budgétaire actuel », affirme Dominique Sauvé, présidente du Syndicat de l’enseignement des Basses-Laurentides.



Pour les organisateurs de cette sortie publique du 18&nbsp;novembre, il est clair que le gouvernement doit revoir ses priorités. « Plutôt que de multiplier les mesures antidémocratiques et les projets à courte vue, il doit assumer sa responsabilité première, soit d’assurer le bien-être de la population. Celle-ci a déjà trop souffert du désengagement de l’État et des inégalités sociales qui en résultent. Des solutions fiscales alternatives permettant d’y remédier existent et leur adoption n’est qu’une question de volonté politique. »

« Les besoins sont criants dans le réseau ! » — SEBL

Cette mise en service constitue une étape déterminante pour la mobilité et le développement de l’ensemble du territoire couvert par la MRC. « Projet structurant et ambitieux, le REM représente un levier incontournable pour soutenir la croissance démographique, commerciale et économique de la région », fait valoir, dans un communiqué de presse, la MRC de Deux-Montagnes.



Grâce à cette nouvelle desserte rapide, les résidents, travailleurs, étudiants et visiteurs pourront désormais se rendre au centre-ville de Montréal en un peu plus de 35 minutes, un trajet qui prenait auparavant plus du double de temps.



<h2>Un tournant majeur pour la région</h2>



Offert 7 jours sur 7, 12 mois par année, le REM propose une solution de transport écoresponsable : en favorisant le transport collectif, l’ensemble de la collectivité contribue à la réduction de la congestion routière et des émissions de gaz à effet de serre.



« L’arrivée du REM à Deux-Montagnes marque un tournant majeur pour notre région. Il s’agit d’un investissement qui améliorera concrètement la qualité de vie de nos citoyens et renforcera l’attractivité de notre territoire pour les décennies à venir. Notre MRC tient à remercier l’ensemble des partenaires gouvernementaux, municipaux et institutionnels qui ont contribué à la concrétisation de ce projet d’envergure. », de souligner Denis Martin, maire de la Ville de Deux-Montagnes.



Enfin, la population est invitée à consulter <a href="https://rem.info/fr/se-deplacer">la section « Se déplacer » du site web du REM</a> afin d’obtenir toute l’information liée aux tarifs, horaires, correspondances et stations.

Assermentation des membres du conseil municipal 2025-2029 de la Ville de Saint-Eustache

Séances du conseil municipal